Senegal News API

Supported Countries - 165

Get headlines from Senegal with our JSON API.

Country Parameter

The country paramter for the Senegal is SN.

Some example queries:

Below is the search query to fetch random 100 news-sources of Senegal.

https://newsdata.io/api/1/sources?country=sn&apikey=YOUR_API_KEY

Some of the well known sources

Live Example

This example demonstrates the HTTP request to make, and the JSON response you will receive, when you use the News API to get headlines from Senegal.

Headlines from Senegal

https://newsdata.io/api/1/latest?country=sn&apikey=YOUR_API_KEY

{
  • "status": "success",
  • "totalResults": 972,
  • -
    "results": [
    • -
      {
      • "article_id": "9bca283ef7861f12bee388d7ce5ad9c3",
      • "title": "125 milliards en jeu : Amadou Sall introuvable, son avocat décline toute implication",
      • "link": "https://senego.com/125-milliards-en-jeu-amadou-sall-introuvable-son-avocat-decline-toute-implication_1835022.html",
      • -
        "keywords": [
        • "convocation",
        • "société",
        • "politique",
        • "actualités",
        • "me amadou sall",
        • "sénégal",
        • "amadou sall"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mangoné KA"
        ],
      • "description": "Convoqué par le Pool judiciaire financier dans le cadre d’une enquête portant sur des transferts d’argent suspects évalués à 125 milliards de FCFA, Amadou Sall, fils de l’ancien président Macky Sall, ne s’est pas présenté à l’audition prévue. Une absence peu surprenante, l’intéressé étant actuellement hors du territoire. Sur les lieux, la brève apparition de [...]",
      • "content": "Convoqué par le Pool judiciaire financier dans le cadre d’une enquête portant sur des transferts d’argent suspects évalués à 125 milliards de FCFA, Amadou Sall, fils de l’ancien président Macky Sall, ne s’est pas présenté à l’audition prévue. Une absence peu surprenante, l’intéressé étant actuellement hors du territoire. Sur les lieux, la brève apparition de Me Amadou Sall, souvent identifié comme son avocat, a suscité l’attention. Ce dernier a toutefois précisé n’avoir reçu aucun mandat de la part d’Amadou Sall dans ce dossier. Interrogé par L’Obs , il affirme ne pas avoir été informé de la convocation, rappelant qu’un avocat ne peut intervenir qu’en présence effective de son client. « Je n’ai pas été informé de sa convocation... Et je ne suis même pas censé l’être, puisqu’il ne m’a pas mandaté », déclare-t-il, tout en s’interrogeant sur la notification de ladite convocation. Et d’ajouter : « Si le client ne se présente pas, je ne peux pas intervenir. L’assistance suppose la présence. Aucun avocat n’a accès à un dossier en l’absence de son client ».",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:20:55",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "30a126dba3251896c4b7eeb1a834f94e",
      • "title": "Nouvelle-Calédonie : Blocage lors des négociations sur l’avenir institutionnel du territoire",
      • "link": "https://senego.com/nouvelle-caledonie-blocage-lors-des-negociations-sur-lavenir-institutionnel-du-territoire_1835037.html",
      • -
        "keywords": [
        • "manuel valls",
        • "nouvelle-calédonie",
        • "sport",
        • "sénégal"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Abdou Nar Dia"
        ],
      • "description": "Aucune issue n’a été trouvée au terme des discussions à huis clos entre indépendantistes et non-indépendantistes concernant l’avenir de la Nouvelle-Calédonie. Le ministre français des Outre-mer, Manuel Valls, a déclaré jeudi 8 mai qu’aucun accord n’avait été conclu, selon nos confrères d’Anadolu. Lors d’une conférence de presse à Nouméa, Manuel Valls a affirmé : « Nous [...]",
      • "content": "Aucune issue n’a été trouvée au terme des discussions à huis clos entre indépendantistes et non-indépendantistes concernant l’avenir de la Nouvelle-Calédonie. Le ministre français des Outre-mer, Manuel Valls, a déclaré jeudi 8 mai qu’aucun accord n’avait été conclu, selon nos confrères d’Anadolu. Lors d’une conférence de presse à Nouméa, Manuel Valls a affirmé : « Nous devons constater avec franchise qu’aucun accord n’a été conclu ». Ce blocage persistant empêche de résoudre les questions essentielles de la composition du corps électoral et de l’exercice du droit à l’autodétermination, deux sujets de discorde majeurs qui avaient provoqué des émeutes l’année précédente. En l’absence d’accord, le Gouvernement devra prévoir l’organisation des élections provinciales selon le cadre actuel en vigueur, a précisé le ministre. Ces élections décisives, prévues avant fin novembre, détermineront la composition du gouvernement local. Durant les trois jours de négociations, deux projets avaient été examinés. L’État proposait un projet de souveraineté avec la France, tandis que les loyalistes défendaient un modèle fédéraliste au sein de la République française. Aucun consensus n’a pu être atteint, Manuel Valls déplorant le projet des loyalistes qui menaçait, selon lui, l’unité et l’indivisibilité de la Nouvelle-Calédonie avec une « partition de fait ». Les non-indépendantistes ont exprimé leur indignation, voyant dans le projet gouvernemental une reconnaissance de l’indépendance du territoire. De leur côté, les indépendantistes du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) réclament un accord menant à l’indépendance avant septembre 2025. L’accord de Nouméa, signé en 1998 pour un processus de décolonisation sur 20 ans, constitue un point de tension. Bien qu’il ait permis un important transfert de compétences, la question de l’indépendance reste irrésolue. Les loyalistes souhaitent une refonte du modèle institutionnel, estimant que cet accord n’a pas réussi à « construire un peuple calédonien ». Enfin, le gel du corps électoral, mis en place en 1998, fait l’objet de contestations. Les loyalistes demandent son élargissement, une requête qui a provoqué des violences en 2024, se soldant par quatorze morts et des milliards d’euros de dégâts, toujours selon Anadolu.",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:20:33",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "fashion and lifestyle"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "01af7d18399bb761e1f55ed92b846b63",
      • "title": "Célébrations de la qualification du PSG en finale de la LDC : une voiture fonce dans la foule...",
      • "link": "https://senego.com/celebrations-de-la-qualification-du-psg-en-finale-de-la-ldc-une-voiture-fonce-dans-la-foule_1835031.html",
      • -
        "keywords": [
        • "sports",
        • "football",
        • "ldc",
        • "actualités",
        • "psg",
        • "qualification"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mandaw Mbengue"
        ],
      • "description": "Mercredi soir, alors que de nombreux supporters du PSG célébraient la qualification de leur club en finale de la Ligue des Champions, une voiture a percuté la foule à proximité des Champs-Élysées. Trois personnes ont été blessées, dont un mineur en urgence absolue, dont le pronostic vital est engagé. L’incident s’est produit dans une rue [...]",
      • "content": "Mercredi soir, alors que de nombreux supporters du PSG célébraient la qualification de leur club en finale de la Ligue des Champions, une voiture a percuté la foule à proximité des Champs-Élysées. Trois personnes ont été blessées, dont un mineur en urgence absolue, dont le pronostic vital est engagé. L’incident s’est produit dans une rue perpendiculaire à l’avenue des Champs-Élysées, selon la préfecture de police de Paris. Les secours ont rapidement pris en charge les victimes : une en état critique et deux autres en urgence relative. Les circonstances exactes restent floues. À ce stade, aucun élément ne permet de qualifier l’acte de volontaire, indique la préfecture. Les premiers éléments de l’enquête suggèrent que le conducteur, paniqué face à la foule compacte, aurait tenté de fuir en fonçant avec son véhicule, selon une source proche de l’enquête citée par franceinfo . Le conducteur a pris la fuite après les faits. L’enquête a révélé qu’il s’agirait d’un véhicule de location, retrouvé un peu plus tard incendié avenue Marceau, non loin des Champs-Élysées. Une vidéo diffusée par un journaliste de Ici Paris Île-de-France montre une voiture Mercedes vide, en flammes.",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:20:28",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • "ai_tag": null,
      • "ai_region": null,
      • -
        "ai_org": [
        • "psg"
        ],
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "95e549ffc7ccd3fd058243f59a2bbe21",
      • "title": "Les confidences surprenantes de l’avocat de Amadou Sall : « Il ne m’a rien dit »",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/les-confidences-surprenantes-de-lavocat-de-amadou-sall-il-ne-ma-rien-dit_540190.html",
      • -
        "keywords": [
        • "amadou sall",
        • "sénégal - actualités",
        • "politique"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Modou Mamoune Tine"
        ],
      • "description": "Convoqué dans une affaire de transferts d'argent suspects portant sur 125 milliards de FCFA, Amadou Sall, fils de l'ancien président Macky Sall, a brillé par son absence au Pool judiciaire financier. Me Amadou Sall, présenté comme son conseil, pourtant présent sur les lieux, assure n'avoir jamais été saisi. Il en a profité pour dénoncer les procédures biaisées de la CENTIF, surtout dans le cas de ses deux autres clients : Farba Ngom et Tahirou Sarr.Son absence n’est pas une surprise majeure. Le fils de l’ancien président Macky Sall est actuellement hors du pays. Et hier matin, le silence autour de son nom au Pool judiciaire financier a semblé confirmer son absence. Convoqué, Amadou Sall ne s’est pas présenté à l’heure fixée. Aucune trace de lui tout au long de la journée. Les radars postés à chaque entrée n’ont jamais capté sa silhouette. Les véhicules de luxe qui se sont succédé n’ont laissé apparaître que des visages étrangers à l’affaire.À l’intérieur du bâtiment jaune à cinq étages de Sacré-Cœur, avocats et justiciables vont et viennent, ponctuant la matinée d’un ballet silencieux. Ce n’est qu’à 10 heures que l’apparition de Me Amadou Sall rompt la monotonie. Annoncé comme son conseil, sa présence ravive l’attention. L’ancien ministre franchit les portes et en ressort quelques minutes plus tard, visiblement pressé. « Je ne suis pas au courant de ce dossier, je suis ici pour d’autres affaires », répond-il aux journalistes à propos des interrogations sur la convocation d’Amadou Sall. Difficile, sur l’instant, d’en savoir plus. Il faudra l’appeler plus tard dans la journée pour obtenir davantage d’éléments.Joint au téléphone, Me Sall répète inlassablement la même rengaine : « Je ne suis pas au courant de sa convocation... Je ne suis même pas censé le savoir, puisque je n’ai pas été saisi par Amadou Sall », concède-t-il, tout en s’interrogeant sur le fait que le fils de l’ancien président ait ou non reçu cette convocation. « Si le client ne vient pas à l’audition, je ne peux pas l’assister. On n’assiste qu’une personne présente. Aucun avocat n’a accès à un dossier en l’absence de son client », conclut-il, avant de s’attaquer à un autre sujet qui lui tient visiblement à cœur : les procédures de la CENTIF qui ont conduit à l’inculpation de ses deux autres clients.Mais au fil de l’échange, l’avocat élargit le débat, pointant d’un doigt accusateur les méthodes de la CENTIF et remettant en cause une mécanique qui, selon lui, mène à des inculpations hâtives sans respect du contradictoire. « Les dossiers de la CENTIF sont, à bien des égards, inacceptables. Ils portent atteinte au droit de la défense et aux principes de justice, car tout repose sur des soupçons, des déclarations de banques ou des transactions douteuses, sans jamais fournir aux accusés des preuves tangibles ou des explications », déclare-t-il.Pour illustrer ses propos, Me Sall souligne, dans L’Observateur, le manque total de transparence dans le traitement du dossier de Tahirou Sarr. Il déplore que, bien que des montants colossaux de 91 milliards de FCFA aient été transférés du Trésor public vers des comptes associés à des sociétés liées à son client (Sofico SA), aucune réponse n’a été fournie par le Trésor sur les raisons de ces paiements. « Le Trésor a été sollicité pour expliquer pourquoi il a versé une telle somme, mais n’a jamais répondu. Et pourtant, on a incarcéré mon client », dénonce-t-il.Selon lui, Tahirou Sarr n’a jamais été interrogé à propos de ces virements et a été placé en détention sans explication ni justification de la part des autorités. Même situation pour Farba Ngom, affirme Me Sall dans des propos relayés par L’Observateur, qui évoque une incarcération fondée uniquement sur des transactions bancaires jugées suspectes. « Le cas de Farba Ngom est tout aussi troublant. On l’a mis en prison sur la base de transactions financières douteuses, mais jamais on ne lui a donné l’opportunité de s’expliquer ou de justifier la provenance de ces fonds. »Me Sall met en lumière ce qu’il considère comme un profond manque de rigueur dans la procédure judiciaire, où les accusés sont traités comme des coupables dès les premières dénonciations. « On ne peut pas faire d’une personne un coupable sans preuve solide. Dans ces dossiers, il y a un fondement de manipulation, et il est impératif de remettre en question cette manière systématique de traiter les accusations », insiste-t-il dans une interview accordée à L’Observateur.Enfin, l’avocat dénonce l’aspect discriminatoire de ces pratiques, où la présomption d’innocence semble systématiquement contournée au profit de la spéculation. Une dérive, selon lui, qui fragilise davantage le système judiciaire du pays. « La manière dont ces enquêtes sont menées viole les principes fondamentaux du droit », conclut-il, tout en réclamant un audit indépendant de la CENTIF, une requête qu’il avait déjà formulée dans L’Observateur le mois dernier.",
      • "content": "Convoqué dans une affaire de transferts d’argent suspects portant sur 125 milliards de FCFA, Amadou Sall, fils de l’ancien président Macky Sall, a brillé par son absence au Pool judiciaire financier. Me Amadou Sall, présenté comme son conseil, pourtant présent sur les lieux, assure n’avoir jamais été saisi. Il en a profité pour dénoncer les procédures biaisées de la CENTIF, surtout dans le cas de ses deux autres clients : Farba Ngom et Tahirou Sarr. Son absence n’est pas une surprise majeure. Le fils de l’ancien président Macky Sall est actuellement hors du pays. Et hier matin, le silence autour de son nom au Pool judiciaire financier a semblé confirmer son absence. Convoqué, Amadou Sall ne s’est pas présenté à l’heure fixée. Aucune trace de lui tout au long de la journée. Les radars postés à chaque entrée n’ont jamais capté sa silhouette. Les véhicules de luxe qui se sont succédé n’ont laissé apparaître que des visages étrangers à l’affaire. À l’intérieur du bâtiment jaune à cinq étages de Sacré-Cœur, avocats et justiciables vont et viennent, ponctuant la matinée d’un ballet silencieux. Ce n’est qu’à 10 heures que l’apparition de Me Amadou Sall rompt la monotonie. Annoncé comme son conseil, sa présence ravive l’attention. L’ancien ministre franchit les portes et en ressort quelques minutes plus tard, visiblement pressé. « Je ne suis pas au courant de ce dossier, je suis ici pour d’autres affaires », répond-il aux journalistes à propos des interrogations sur la convocation d’Amadou Sall. Difficile, sur l’instant, d’en savoir plus. Il faudra l’appeler plus tard dans la journée pour obtenir davantage d’éléments. Joint au téléphone, Me Sall répète inlassablement la même rengaine : « Je ne suis pas au courant de sa convocation... Je ne suis même pas censé le savoir, puisque je n’ai pas été saisi par Amadou Sall », concède-t-il, tout en s’interrogeant sur le fait que le fils de l’ancien président ait ou non reçu cette convocation. « Si le client ne vient pas à l’audition, je ne peux pas l’assister. On n’assiste qu’une personne présente. Aucun avocat n’a accès à un dossier en l’absence de son client », conclut-il, avant de s’attaquer à un autre sujet qui lui tient visiblement à cœur : les procédures de la CENTIF qui ont conduit à l’inculpation de ses deux autres clients. Mais au fil de l’échange, l’avocat élargit le débat, pointant d’un doigt accusateur les méthodes de la CENTIF et remettant en cause une mécanique qui, selon lui, mène à des inculpations hâtives sans respect du contradictoire. « Les dossiers de la CENTIF sont, à bien des égards, inacceptables. Ils portent atteinte au droit de la défense et aux principes de justice, car tout repose sur des soupçons, des déclarations de banques ou des transactions douteuses, sans jamais fournir aux accusés des preuves tangibles ou des explications », déclare-t-il. Pour illustrer ses propos, Me Sall souligne, dans L’Observateur, le manque total de transparence dans le traitement du dossier de Tahirou Sarr. Il déplore que, bien que des montants colossaux de 91 milliards de FCFA aient été transférés du Trésor public vers des comptes associés à des sociétés liées à son client (Sofico SA), aucune réponse n’a été fournie par le Trésor sur les raisons de ces paiements. « Le Trésor a été sollicité pour expliquer pourquoi il a versé une telle somme, mais n’a jamais répondu. Et pourtant, on a incarcéré mon client », dénonce-t-il. Selon lui, Tahirou Sarr n’a jamais été interrogé à propos de ces virements et a été placé en détention sans explication ni justification de la part des autorités. Même situation pour Farba Ngom , affirme Me Sall dans des propos relayés par L’Observateur, qui évoque une incarcération fondée uniquement sur des transactions bancaires jugées suspectes. « Le cas de Farba Ngom est tout aussi troublant. On l’a mis en prison sur la base de transactions financières douteuses, mais jamais on ne lui a donné l’opportunité de s’expliquer ou de justifier la provenance de ces fonds. » Me Sall met en lumière ce qu’il considère comme un profond manque de rigueur dans la procédure judiciaire, où les accusés sont traités comme des coupables dès les premières dénonciations. « On ne peut pas faire d’une personne un coupable sans preuve solide. Dans ces dossiers, il y a un fondement de manipulation, et il est impératif de remettre en question cette manière systématique de traiter les accusations », insiste-t-il dans une interview accordée à L’Observateur. Enfin, l’avocat dénonce l’aspect discriminatoire de ces pratiques, où la présomption d’innocence semble systématiquement contournée au profit de la spéculation. Une dérive, selon lui, qui fragilise davantage le système judiciaire du pays. « La manière dont ces enquêtes sont menées viole les principes fondamentaux du droit », conclut-il, tout en réclamant un audit indépendant de la CENTIF, une requête qu’il avait déjà formulée dans L’Observateur le mois dernier.",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:09:08",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2025/02/amadou-sall.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "4fb13923e138694f78f7280077d1987f",
      • "title": "Plus de 47 interpellations et trois blessés après la qualification du PSG en finale de la Ligue des champions",
      • "link": "https://www.pressafrik.com/Plus-de-47-interpellations-et-trois-blesses-apres-la-qualification-du-PSG-en-finale-de-la-Ligue-des-champions_a289137.html",
      • "keywords": null,
      • -
        "creator": [
        • "Moussa Ndongo"
        ],
      • "description": "En marge des scènes de liesse provoquées par la victoire du Paris Saint-Germain face... www.pressafrik.com",
      • "content": "En marge des scènes de liesse provoquées par la victoire du Paris Saint-Germain face à Arsenal mercredi soir, 47 personnes ont été interpellées dans la nuit. Trois personnes ont également été blessées par une voiture qui les a percutées près des Champs-Elysées. Si de nombreux supporters parisiens ont fêté la victoire du PSG face à Arsenal en demi-finale de la Ligue des Champions, la victoire a aussi entraîné de fortes tensions. Quarante-trois personnes ont été interpellées dans la nuit de mercredi à jeudi après la qualification du club en finale de la compétition, a indiqué la préfecture de police (PP) de Paris. Trois personnes ont également été blessées par une voiture qui les a percutées près des Champs-Elysées. Les faits se sont déroulés \" dans une rue perpendiculaire à l'avenue des Champs-Elysées lorsqu'un véhicule a, dans des circonstances indéterminées à ce stade (acte volontaire non avéré en l'état), percuté trois personnes \", a précisé la PP. Les blessés ont été pris en charge, un en urgence absolue, deux en urgence relative. Le véhicule aurait été ensuite incendié avenue Marceau, non loin des Champs-Elysées, selon des vidéos publiées sur les réseaux sociaux. Une journaliste de l' AFP a constaté la présence d'une voiture incendiée dans cette avenue. Une autre journaliste de l' AFP a vu un véhicule de la mairie de Paris incendié dans une autre rue, également près des Champs-Elysées. De nombreux supporters sans billets aux abords du Parc des Princes et des scènes de liesse Durant la rencontre, de nombreux supporters sans billets s'étaient massés aux abords du Parc des Princes. Après le premier but parisien, les esprits se sont échauffés et les forces de l'ordre sont intervenues pour rétablir la circulation porte de Saint-Cloud, mais sans \" aucun incident majeur \", selon la PP. Au total, plus de 2 000 policiers étaient déployés mercredi soir à Paris. Chants, claps, cornes de brumes, fumigènes, cris, feux d’artifice... Au-delà de ces tensions, la victoire du PSG a provoqué des scènes de liesse, dont plusieurs milliers d'entre eux se sont rassemblés sur les Champs-Elysées. Peu avant minuit, des milliers de personnes ont remonté l'avenue, chantant \" On est en finale ! \" ou \" Ici, c'est Paris ! \". La qualification du club a aussi été fêtée dans le métro parisien. La dernière fois que le PSG a atteint une finale de Ligue des Champions, c'était en 2020, en plein Covid. Le club affrontera l'Inter Milan le 31 mai à Munich. Avec Franceinfo Autres articles Ligue des champions : le PSG s'impose face à Arsenal et rejoint l'Inter Milan en finale Play-offs NBA : Haliburton punit Cleveland, les Warriors gagnent mais Curry sort blessé Ligue des champions : PSG-Arsenal, dernière bataille pour une place en finale face à l’Inter Ligue des champions : L’Inter Milan élimine Barcelone et file en finale après un match spectaculaire Beach Soccer – Mondial 2025 : Le Sénégal survole la phase de groupes et file en quarts",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:09:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.pressafrik.com/photo/art/grande/88417923-62630304.jpg?v=1746695510",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "pressafrik",
      • "source_name": "Pressafri",
      • "source_priority": 2858342,
      • "source_url": "https://www.pressafrik.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/pressafrik.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • -
        "ai_org": [
        • "psg"
        ],
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "61170e1658812ab565f9aef658ac1cb5",
      • "title": "Wally Seck cité dans un scandale de blanchiment : Voici ce que lui reproche le parquet financier",
      • "link": "https://senego.com/wally-seck-cite-dans-un-scandale-de-blanchiment-voici-ce-que-lui-reproche-le-parquet-financier_1835023.html",
      • -
        "keywords": [
        • "sénégal",
        • "convocation de wally seck",
        • "faits divers",
        • "actualités",
        • "wally seck",
        • "affaire amadou sall wally seck",
        • "justice"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Diéry DIALLO"
        ],
      • "description": "Le chanteur sénégalais Wally Seck se retrouve cité dans une vaste enquête judiciaire sur des soupçons de blanchiment de capitaux et d’association de malfaiteurs en bande organisée. Ce n’est pas son statut de célébrité qui attire l’attention des enquêteurs, mais des mouvements financiers jugés suspects dont il aurait bénéficié ou qu’il aurait facilités, selon des [...]",
      • "content": "Le chanteur sénégalais Wally Seck se retrouve cité dans une vaste enquête judiciaire sur des soupçons de blanchiment de capitaux et d’association de malfaiteurs en bande organisée. Ce n’est pas son statut de célébrité qui attire l’attention des enquêteurs, mais des mouvements financiers jugés suspects dont il aurait bénéficié ou qu’il aurait facilités, selon des sources relayées par Walf Quotidien. D’après les éléments versés au dossier, le parquet financier soupçonne Wally Seck d’avoir été lié à un réseau tentaculaire impliquant des figures déjà incarcérées comme Farba Ngom et Tahirou Sarr. Il ne s’agit pas de simples transferts d’argent : ces flux financiers, non justifiés, auraient transité par des comptes personnels, des sociétés-écrans et des canaux utilisés pour masquer l’origine réelle des fonds, selon un rapport complémentaire de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) remis fin mars. Le parquet estime que le chanteur pourrait avoir contribué, sciemment ou non, à la dissimulation de fonds illicites, ce qui justifie sa demande de mise en examen et de placement sous mandat de dépôt. Le nom de l’artiste apparaîtrait à plusieurs reprises dans les pièces du dossier examinées par le juge d’instruction. Pour les autorités, il ne s’agit pas simplement d’une affaire médiatique. Si ces soupçons sont confirmés, Wally Seck pourrait être inculpé dans les prochains jours et faire face à des poursuites pour blanchiment aggravé, une infraction passible de lourdes peines. Du côté du chanteur, le silence est de rigueur. Ses avocats s’organisent pour construire une défense basée sur la présomption d’innocence, et attendent d’avoir accès à l’intégralité du dossier. Mais l’affaire pourrait avoir de lourdes conséquences, tant sur la carrière que sur l’image publique d’un des artistes les plus populaires du pays.",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:04:50",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "a189ea1f5a17f6b249f934e0f26dce5a",
      • "title": "Yaye Dior va longtemps regretter d’avoir utilisé un faux passeport pour rejoindre son époux en Italie",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/yaye-dior-va-longtemps-regretter-davoir-utilise-un-faux-passeport-pour-rejoindre-son-epoux-en-italie_540189.html",
      • -
        "keywords": [
        • "société",
        • "sénégal - actualités",
        • "yaye dior"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Thierno Gueye"
        ],
      • "description": "Reconnue coupable de faux et usage de faux, Yaye Dior Guèye avait réussi, avec le concours d'Éric Goudiaby, chef d'entreprise, à se doter de faux documents français pour rejoindre son mari établi en Italie.Pour Yaye Dior Guèye, tous les moyens étaient bons pour vivre aux côtés de son homme. Mariée à un émigré sénégalais installé depuis plusieurs années en Italie, elle n’a pas hésité à s’attacher les services d’un réseau de faussaires afin de se procurer de faux documents administratifs. L’objectif : se faire passer pour une citoyenne française, dans l’espoir de faciliter son entrée sur le territoire italien. En avril dernier, selon L’Observateur, Yaye Dior a contacté Éric Goudiaby, un chef d’entreprise basé à Dakar. Elle lui expose son désir de partir en Europe, plus précisément en Italie. Après discussions, Éric la rassure sur la possibilité de lui fournir un passeport français. Il s’agit de « vrais faux » documents, capables de lui permettre de voyager sans entraves, en échange d’un paiement de 4,5 millions de francs CFA. Sans hésiter, Yaye Dior verse la somme.Quelques jours plus tard, Éric lui remet le fameux passeport français. Yaye Dior entame alors son périple vers l’Italie. Tout se passe bien dans un premier temps, jusqu’à ce que, lors de son transit au Maroc, sa supercherie soit découverte. À l’aéroport, alors qu’elle tente d’accomplir les formalités d’usage, la police des frontières remarque l’irrégularité du document. Interpellée, elle est aussitôt placée en garde à vue par les autorités marocaines. L’Observateur rapporte que la ressortissante sénégalaise a été rapatriée peu après au Sénégal, où elle a de nouveau été cueillie par la police dès sa descente d’avion.Lors de son audition, elle finit par livrer le nom de son complice présumé. Les deux sont placés sous mandat de dépôt à la prison de Mbour. Hier, à la barre du tribunal de grande instance de la capitale de la Petite-Côte, ils se sont accusés mutuellement. Selon Éric Goudiaby, Yaye Dior était parfaitement consciente que les documents étaient faux. Il explique que les 4,5 millions versés servaient à rémunérer ses collaborateurs, installés en France, qui se chargeaient de la confection du passeport frauduleux. D’après les éléments révélés par L’Observateur, les membres de la bande se partageaient également cette somme entre eux. Yaye Dior, pour sa part, a réclamé le remboursement intégral de l’argent versé. À la barre, elle a déclaré avoir fait appel à Éric Goudiaby après de nombreux refus de visa essuyés auprès des ambassades européennes à Dakar.Le plan initial était pourtant bien huilé : Yaye Dior devait embarquer pour le Maroc avec son passeport sénégalais, puis présenter le faux document français au moment de franchir la frontière vers l’Europe. Un subterfuge qui n’a pas résisté à la vigilance des forces de sécurité marocaines. Le procureur, lors de son réquisitoire, a demandé une peine d’un mois de prison ferme contre Yaye Dior Guèye, et six mois contre Éric Goudiaby. Comme le souligne L’Observateur, les deux prévenus ont été déclarés coupables par le tribunal, qui a toutefois fixé la date du délibéré au 17 juin.",
      • "content": "Reconnue coupable de faux et usage de faux, Yaye Dior Guèye avait réussi, avec le concours d’Éric Goudiaby, chef d’entreprise, à se doter de faux documents français pour rejoindre son mari établi en Italie. Pour Yaye Dior Guèye, tous les moyens étaient bons pour vivre aux côtés de son homme. Mariée à un émigré sénégalais installé depuis plusieurs années en Italie, elle n’a pas hésité à s’attacher les services d’un réseau de faussaires afin de se procurer de faux documents administratifs. L’objectif : se faire passer pour une citoyenne française, dans l’espoir de faciliter son entrée sur le territoire italien. En avril dernier, selon L’Observateur, Yaye Dior a contacté Éric Goudiaby, un chef d’entreprise basé à Dakar. Elle lui expose son désir de partir en Europe, plus précisément en Italie. Après discussions, Éric la rassure sur la possibilité de lui fournir un passeport français. Il s’agit de « vrais faux » documents, capables de lui permettre de voyager sans entraves, en échange d’un paiement de 4,5 millions de francs CFA. Sans hésiter, Yaye Dior verse la somme. Quelques jours plus tard, Éric lui remet le fameux passeport français. Yaye Dior entame alors son périple vers l’Italie . Tout se passe bien dans un premier temps, jusqu’à ce que, lors de son transit au Maroc, sa supercherie soit découverte. À l’aéroport, alors qu’elle tente d’accomplir les formalités d’usage, la police des frontières remarque l’irrégularité du document. Interpellée, elle est aussitôt placée en garde à vue par les autorités marocaines. L’Observateur rapporte que la ressortissante sénégalaise a été rapatriée peu après au Sénégal, où elle a de nouveau été cueillie par la police dès sa descente d’avion. Lors de son audition, elle finit par livrer le nom de son complice présumé. Les deux sont placés sous mandat de dépôt à la prison de Mbour. Hier, à la barre du tribunal de grande instance de la capitale de la Petite-Côte, ils se sont accusés mutuellement. Selon Éric Goudiaby, Yaye Dior était parfaitement consciente que les documents étaient faux. Il explique que les 4,5 millions versés servaient à rémunérer ses collaborateurs, installés en France, qui se chargeaient de la confection du passeport frauduleux. D’après les éléments révélés par L’Observateur, les membres de la bande se partageaient également cette somme entre eux. Yaye Dior, pour sa part, a réclamé le remboursement intégral de l’argent versé. À la barre, elle a déclaré avoir fait appel à Éric Goudiaby après de nombreux refus de visa essuyés auprès des ambassades européennes à Dakar. Le plan initial était pourtant bien huilé : Yaye Dior devait embarquer pour le Maroc avec son passeport sénégalais, puis présenter le faux document français au moment de franchir la frontière vers l’Europe. Un subterfuge qui n’a pas résisté à la vigilance des forces de sécurité marocaines. Le procureur, lors de son réquisitoire, a demandé une peine d’un mois de prison ferme contre Yaye Dior Guèye, et six mois contre Éric Goudiaby. Comme le souligne L’Observateur, les deux prévenus ont été déclarés coupables par le tribunal, qui a toutefois fixé la date du délibéré au 17 juin.",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:03:02",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2025/02/whatsapp-image-2025-02-11-at-08.58.52-1.jpeg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "428a050f47cec19848b6e8a5f4ea95f4",
      • "title": "Boy Djiné : encore un report pour l’audience en appel à Dakar",
      • "link": "https://senego.com/boy-djine-encore-un-report-pour-laudience-en-appel-a-dakar_1835028.html",
      • -
        "keywords": [
        • "dakar",
        • "boy djiné",
        • "people",
        • "buzz",
        • "actualités"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Faty BA"
        ],
      • "description": "Le célèbre Baye Modou Fall, plus connu sous le nom de Boy Djiné, a récemment été extrait de sa cellule de la prison de Rebeuss pour comparaître devant la Cour d’appel de Dakar. Toutefois, l’audience prévue ce mardi 6 mai a été de nouveau reportée à une date indéterminée. Cette décision a été motivée par [...]",
      • "content": "Le célèbre Baye Modou Fall, plus connu sous le nom de Boy Djiné, a récemment été extrait de sa cellule de la prison de Rebeuss pour comparaître devant la Cour d’appel de Dakar. Toutefois, l’audience prévue ce mardi 6 mai a été de nouveau reportée à une date indéterminée. Cette décision a été motivée par l’absence d’un garde pénitentiaire clé, actuellement en mission à l’étranger, ainsi que par la requête du procureur général qui souhaite un examen approfondi du dossier. Le parcours judiciaire de Boy Djiné est notable. Après avoir été condamné à une peine de six mois fermes en 2021, il avait été relaxé des charges d’association de malfaiteurs. Insatisfait de cette décision, le parquet avait décidé de faire appel. Ce report signale donc un nouvel épisode dans cette affaire judiciaire complexe. C’est en parcourant le site de nos confrères de Kawtef que nous avons pu lire ces informations, nous assurant de la fiabilité des sources pour apporter un éclairage sur cette affaire.",
      • "pubDate": "2025-05-08 09:00:36",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "fef55db6b4b65e5bbe7a0df06873cb85",
      • "title": "Le Vatican en effervescence : une nouvelle étape pour l’Église universelle",
      • "link": "https://senego.com/le-vatican-en-effervescence-une-nouvelle-etape-pour-leglise-universelle_1835025.html",
      • -
        "keywords": [
        • "élection du pape",
        • "sénégal",
        • "vatican",
        • "actualités"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Abdou Nar Dia"
        ],
      • "description": "Hier après-midi, le Vatican a été le théâtre d’une intense activité spirituelle alors que les cardinaux, réunis dans le conclave, ont débuté le processus d’élection du nouveau Pape. Auparavant, ils s’étaient rassemblés en la Basilique Saint-Pierre pour célébrer la messe Pro eligendo Pontifice, marquant ainsi le début de cette période de prière et de discernement [...]",
      • "content": "Hier après-midi, le Vatican a été le théâtre d’une intense activité spirituelle alors que les cardinaux, réunis dans le conclave, ont débuté le processus d’élection du nouveau Pape. Auparavant, ils s’étaient rassemblés en la Basilique Saint-Pierre pour célébrer la messe Pro eligendo Pontifice, marquant ainsi le début de cette période de prière et de discernement pour l’Église universelle. Une fois entrés en conclave, les cardinaux se sont isolés du monde extérieur, sans accès à Internet ni contact téléphonique, afin de garantir une réflexion purement intérieure, à l’abri de toute influence, et de laisser place à l’Esprit Saint. Toute l’attention mondiale se tourne désormais vers la chapelle Sixtine et sa cheminée emblématique , d’où la fumée blanche annoncera l’élection du nouveau leader de l’Église catholique. Ce moment de vacance du Siège apostolique est bien plus qu’une simple transition institutionnelle. C’est une pause spirituelle invitant chaque croyant à participer par la prière et l’intercession. Même si seuls les cardinaux votent, l’ensemble des fidèles est appelé à s’engager spirituellement dans ce moment décisif. L’importance de cette élection va au-delà des considérations religieuses ou géopolitiques. Elle souligne l’universalité de l’Église, une institution millénaire ancrée dans l’histoire mais résolument tournée vers l’avenir et ses défis actuels. Dans ce climat de recueillement, les fidèles se rappellent le précédent pontificat et son impact profond. Cependant, cet attachement ne doit pas entraver l’élan de foi nécessaire pour accueillir un souffle nouveau, comme le rapporte Sud Quotidien. L’élection d’un nouveau pape est perçue non pas comme un simple choix humain, mais comme une œuvre de l’Esprit Saint, avec le nouveau Souverain Pontife vu comme un don providentiel. Un fidèle confie ses sentiments, disant que chaque transition papale a, pour lui, révélé « l’homme que Dieu nous donne » en réponse aux besoins de l’époque. Ce moment appelle ainsi à une prière collective et à l’espérance. Que chacun puisse s’unir pour accueillir un pasteur selon le cœur de Dieu, qui saura guider l’Église avec sagesse et miséricorde à travers les défis contemporains. Ce texte a été partagé par nos confrères de Sud Quotidien.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:55:55",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "vatican"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {},
    • -
      {},
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "b73ccda03f41dd30b8258c76ee0711ca",
      • "title": "Dialogue national : Vers une rationalisation en profondeur des partis politiques, ce qui va changer",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/dialogue-national-vers-une-rationalisation-en-profondeur-des-partis-politiques-ce-qui-va-changer_540185.html",
      • -
        "keywords": [
        • "partis politiques",
        • "sénégal - actualités",
        • "a-la-une notification",
        • "politique"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Modou Mamoune Tine"
        ],
      • "description": "Le gouvernement entend rationaliser l'espace politique national. Selon une source officielle, le dialogue politique à venir portera, entre autres, sur la rationalisation du calendrier républicain, une réforme en profondeur du fonctionnement des partis politiques, ainsi que sur le financement de ces derniers. Cette volonté s’inscrit dans une dynamique de modernisation de la démocratie sénégalaise.D’après les informations recueillies par Walf Quotidien, l'exécutif souhaite frapper un grand coup dans la fourmilière des partis politiques. Une source officielle affirme que l’objectif général du dialogue national est d’organiser des concertations inclusives pour parvenir à des consensus solides. Il s'agit de renforcer la démocratie sénégalaise tout en assurant une stabilité institutionnelle, notamment à travers une meilleure régulation des formations politiques et une réorganisation des processus électoraux.Concrètement, le ministère chargé des Élections précise que les débats porteront sur la réforme du système électoral, la définition d’un véritable statut pour l’opposition et son chef, ainsi que sur l’inscription automatique sur le fichier électoral dès l’établissement de la carte nationale d’identité biométrique CEDEAO à l’âge de la majorité. Cette grande messe politique devrait également permettre de revoir le système de parrainage et d'examiner le rôle des autorités en charge des élections, ainsi que celui des médias.Selon une analyse de Walf Quotidien, les discussions devront aussi aborder la place de la justice dans le processus électoral, la rationalisation du calendrier républicain et surtout celle des partis politiques. Ce dialogue constitue également une occasion pour encadrer le financement des partis politiques et procéder à une révision du Code électoral. Toujours selon la même source, il sera aussi question de reconnaître officiellement le statut de l'opposition et de son chef, une revendication ancienne de plusieurs acteurs politiques.Ces réformes institutionnelles visent à adapter le système électoral au contexte politique sénégalais. Il est prévu d’examiner la place de la justice dans le processus électoral et de mieux structurer l'organisation des scrutins à venir. Le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, le Général Jean Baptiste Tine, insiste sur la nécessité d'une approche stratégique et consensuelle. D’après Walf Quotidien, le document envoyé aux partis politiques souligne que le dialogue doit déboucher sur des recommandations « largement consensuelles », permettant de renforcer le système démocratique à travers la clarification des modalités d’organisation des élections, la redéfinition du rôle des autorités électorales et des médias, et la révision du Code électoral.Toujours selon les informations publiées par Walf Quotidien, la rationalisation de l’existence des partis politiques passera par une clarification des critères de création, de fonctionnement et de financement, afin d'éviter les dérives et de garantir une représentativité effective. À noter que trois échéances majeures attendent le Sénégal : les élections territoriales en 2027, la présidentielle en 2029, et les législatives la même année.",
      • "content": "Le gouvernement entend rationaliser l’espace politique national. Selon une source officielle, le dialogue politique à venir portera, entre autres, sur la rationalisation du calendrier républicain, une réforme en profondeur du fonctionnement des partis politiques, ainsi que sur le financement de ces derniers. Cette volonté s’inscrit dans une dynamique de modernisation de la démocratie sénégalaise. D’après les informations recueillies par Walf Quotidien, l’exécutif souhaite frapper un grand coup dans la fourmilière des partis politiques. Une source officielle affirme que l’objectif général du dialogue national est d’organiser des concertations inclusives pour parvenir à des consensus solides. Il s’agit de renforcer la démocratie sénégalaise tout en assurant une stabilité institutionnelle, notamment à travers une meilleure régulation des formations politiques et une réorganisation des processus électoraux. Concrètement, le ministère chargé des Élections précise que les débats porteront sur la réforme du système électoral, la définition d’un véritable statut pour l’opposition et son chef, ainsi que sur l’inscription automatique sur le fichier électoral dès l’établissement de la carte nationale d’identité biométrique CEDEAO à l’âge de la majorité. Cette grande messe politique devrait également permettre de revoir le système de parrainage et d’examiner le rôle des autorités en charge des élections, ainsi que celui des médias. Selon une analyse de Walf Quotidien, les discussions devront aussi aborder la place de la justice dans le processus électoral, la rationalisation du calendrier républicain et surtout celle des partis politiques. Ce dialogue constitue également une occasion pour encadrer le financement des partis politiques et procéder à une révision du Code électoral. Toujours selon la même source, il sera aussi question de reconnaître officiellement le statut de l’opposition et de son chef, une revendication ancienne de plusieurs acteurs politiques. Ces réformes institutionnelles visent à adapter le système électoral au contexte politique sénégalais. Il est prévu d’examiner la place de la justice dans le processus électoral et de mieux structurer l’organisation des scrutins à venir. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, le Général Jean Baptiste Tine, insiste sur la nécessité d’une approche stratégique et consensuelle. D’après Walf Quotidien, le document envoyé aux partis politiques souligne que le dialogue doit déboucher sur des recommandations « largement consensuelles », permettant de renforcer le système démocratique à travers la clarification des modalités d’organisation des élections, la redéfinition du rôle des autorités électorales et des médias, et la révision du Code électoral. Toujours selon les informations publiées par Walf Quotidien, la rationalisation de l’existence des partis politiques passera par une clarification des critères de création, de fonctionnement et de financement, afin d’éviter les dérives et de garantir une représentativité effective. À noter que trois échéances majeures attendent le Sénégal : les élections territoriales en 2027, la présidentielle en 2029, et les législatives la même année.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:39:10",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2024/10/vote-senegal-e1731774705254.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "d10063e6f5a2c31f5bd83da25c67a3ff",
      • "title": "Résultats de l'enquête Afrobarometer : Les bons et les mauvais points du nouveau régime",
      • "link": "https://www.leral.net/Resultats-de-l-enquete-Afrobarometer-Les-bons-et-les-mauvais-points-du-nouveau-regime_a380982.html",
      • "keywords": null,
      • -
        "creator": [
        • "MD"
        ],
      • "description": "Le Consortium pour la recherche économique et sociale (Cres)atenu un atelier de présentation des résultats de l'enquêt...",
      • "content": "La gouvernance économique, la gouvernance politique, la corruption et la liberté d'opinion sont les principaux thèmes de l'étude menée par Afrobarometer, dont les conclusions ont été présentées ce mardi. Mais pourquoi une telle initiative ? Abdoulaye Diagne, directeur exécutif du Cres, souligne que l’objectif était de donner une image de l'opinion des Sénégalais sur la situation économique et sociale du pays. “Les résultats obtenus démontrent que les attentes sont présentes, même si, globalement, les populations observent encore ce temps de grâce à l'endroit de la nouvelle équipe gouvernementale. Cependant, ce n'est rien de nouveau, car chaque fois qu'un nouveau régime arrive, l'optimisme est très fort, mais avec le temps, cet optimisme diminue. Il reste crucial pour l'État de connaître les problèmes dès à présent pour pouvoir agir et corriger”, explique M. Diagne. Le délégué du ministre du Travail, de l'Emploi et des Relations avec les institutions soutient la pertinence de l'étude, car elle constitue une boussole supplémentaire pour des systèmes économiques plus pertinents. “Le moins que l'on puisse dire est que ce genre d'étude est toujours utile. Pour le gouvernement, il s'agira sans doute d'utiliser ces conclusions afin de mieux redéfinir ses politiques de développement. On a toujours besoin d'un regard extérieur”, souligne le directeur de cabinet du ministre du Travail, Mouhamed Dia. Selon lui, afin de garantir la prise en compte des préoccupations d'un maximum de Sénégalais, l'expérience doit être démocratisée. “Mais il faudrait, dans l'optique des huit pôles économiques que le gouvernement compte mettre en place, apporter la même étude aux autres contrées du pays. Chaque région est spécifique et les besoins peuvent varier d'une zone à une autre”. Gouvernance économique : des avis mitigés Mamadou Abdoulaye Diallo, chercheur au Cres, a présenté les chiffres relatifs à la gouvernance économique. “Deux tiers (67 %) des Sénégalais disent que leur pays se dirige dans la bonne direction. Près de quatre citoyens sur dix (38 %) estiment que la situation économique du pays est bonne et la moitié (52 %) en disent autant sur leurs propres conditions de vie” Il poursuit : “Six répondants sur dix ont vécu une pauvreté modérée (34 %) ou élevée (28 %).” Monsieur Diallo apprend également qu’aux yeux des Sénégalais, l'augmentation du coût de la vie est le problème le plus important auquel le gouvernement devrait s'attaquer. En outre, souligne Mamadou Abdoulaye Diallo, “la majorité des citoyens approuvent la performance du gouvernement dans la gestion de l'économie (54 %), mais la désapprouvent quant à la création d'emplois (67 %), la stabilité des prix (64 %), l'amélioration des conditions de vie des pauvres (59 %) et la réduction du fossé entre riches et pauvres (58 %)”. Mais comment procède Afrobarometer ? Le chargé de communication de l'institution, Hassana Diallo, renseigne : “Dans chaque pays d'Afrique, nous avons un représentant et pour le cas du Sénégal, c'est le Cres. Toutefois, nous essayons toujours de porter notre choix sur une institution neutre, mais qui dispose également de ressources humaines de qualité.” Rappelons que l'étude, qui s'est aussi intéressée aux questions de jeunesse, à la corruption et aux questions de genre, a permis d'interroger 1 200 Sénégalais (600 hommes et 600 femmes) sélectionnés de façon aléatoire sur l’ensemble du territoire national, selon le professeur Abdoulaye Diagne, directeur exécutif du Cres.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:36:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.leral.net/photo/art/grande/88417587-62630120.jpg?v=1746693986",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "leral",
      • "source_name": "Leral",
      • "source_priority": 604651,
      • "source_url": "https://www.leral.net",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/leral.jpg",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • "ai_tag": null,
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "2c1538abe92c2e7998debde91d2084f9",
      • "title": "Mines- Enfouissement du silex, un bien de l’Etat par les ICS : le ministre Birame Soulèye Diop menace de sévir",
      • "link": "https://www.leral.net/Mines-Enfouissement-du-silex-un-bien-de-l-Etat-par-les-ICS-le-ministre-Birame-Souleye-Diop-menace-de-sevir_a380981.html",
      • "keywords": null,
      • -
        "creator": [
        • "MD"
        ],
      • "description": "Au moment où il salue la réhabilitation des terres par Gco (Grande Côte opérations), Birame Soulèye Diop, ministre de l’Energie...",
      • "content": "Les Industries chimiques du Sénégal, quand elles exploitent le phosphate qui se trouve dans le sous-sol, il en découle de grosses pierres appelées silex. La roche est donc un déchet qui appartient à l’Etat et non aux Ics. Mais pendant des années, dénonce le ministre de l’Energie, du pétrole et des mines, les Ics vendaient ces pierres à 1500 le mètre cube brut transporté. «On leur avait demandé d’arrêter de vendre ce silex qui est un matériau de construction. Depuis un moment, elles l’enterrent. Quand je suis parti en visite sur place, je leur ai dit que le silex appartient à l’Etat, de ne plus l’enterrer, mais ils ont continué à le faire. Nous avons envoyé des équipes sur place pour leur demander d’arrêter d’enterrer ce matériau. Je leur ai envoyé un courrier pour leur interdire de remblayer avec le silex. Malgré tout, elles persistent. J’ai fait venir un huissier pour faire les constations et on fera les procédures nécessaires pour cela, parce qu’il faut qu’on apprenne à respecter la loi. On fera ce que la loi nous permet de faire», a déclaré le ministre de l’Energie, du pétrole et des mines, qui procédait à la clôture d’un atelier sur la gouvernance du secteur extractif organisé par son département en partenariat avec l’Association des journalistes pour la transparence dans les ressources extractives et la préservation de l’environnement (Ajtrepe) Parallèlement, Birame Soulèye Diop a réagi par rapport aux accusations contre Grande côte opérations (Gco). Interpellé sur la réhabilitation des sites miniers lors de cette rencontre, le ministre de l’Energie, du pétrole et des mines a salué le travail qu’effectue cette société d’exploitation minière spécialisée dans l’extraction du zircon, du rutile et de l’ilménite. «L’eau utilisée par Gco n’est pas tirée de la nappe phréatique, mais de la nappe maastrichtienne. Gco est la seule entreprise au Sénégal qui fait de la réhabilitation permanente. Elle utilise une drague qui ne cape que 2% du sable décapé. Tout le reste est rejeté automatiquement. Cette information est confirmée par le ministère de l’Environnement. Elle a fait de la réhabilitation et a replanté des arbres. Ils m’ont montré des arbres qui poussaient sur place. Une étude a démontré que l’eau n’a pas été infectée. Lorsqu’il y a la clameur, le président de la Commission de l’énergie et des ressources minérales à l’Assemblée nationale, le député Babacar Ndiaye, a fait le déplacement. Il a fait les mêmes constatations, idem pour le Comité national Itie», a déclaré le ministre à la clôture d’un atelier sur la gouvernance du secteur extractif organisé par son département en partenariat avec l’Association des journalistes pour la transparence dans les ressources extractives et la préservation de l’environnement (Ajetrepe). Dans le cadre de ses activités, Gco est accusée d’avoir porté atteinte à l’environnement et à la nappe phréatique. «Nous avons visité les villages impactés pour échanger avec tout le monde. On ne s’en est pas limités là. On a envoyé une mission conduite par le Directeur général des mines et de la géologie pour s’enquérir de l’évolution, mais le constat est le même. Ils ont fait des efforts, mais nous allons continuer le suivi», assure Birame Soulèye Diop. Pour lui, les efforts de transparence qui sont en train d’être faits dans le domaine du pétrole seront poursuivis et élargis aux autres sous-secteurs, notamment l’énergie et les mines, sans occulter les impacts environnementaux des projets qu’ils ont la responsabilité de suivre de très près pour en assurer la gouvernance responsable. «L’exploitation des hydrocarbures, la richesse de notre sous-sol et notre potentiel en énergies renouvelables nous placent devant une immense opportunité. Mais cette richesse naturelle ne vaut que par la manière dont elle est gouvernée. Car si les ressources sont un don, la bonne gouvernance, elle, est un choix. Et ce choix, nous l’avons fait : celui de la transparence, de la responsabilité et du dialogue citoyen», a dit le ministre lors de son discours d’ouverture de l’atelier.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:32:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.leral.net/photo/art/grande/88417443-62630061.jpg?v=1746693367",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "leral",
      • "source_name": "Leral",
      • "source_priority": 604651,
      • "source_url": "https://www.leral.net",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/leral.jpg",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "côte"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "3b49b2e12cae6fe432ba7941226ab895",
      • "title": "Mise en accusation ce jeudi : Les 5 ministres dans l’antichambre de la Haute Cour de justice",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/mise-en-accusation-ce-jeudi-les-5-ministres-dans-lantichambre-de-la-haute-cour-de-justice_540186.html",
      • -
        "keywords": [
        • "haute cour de justice",
        • "sénégal - actualités",
        • "a-la-une",
        • "politique"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Thierno Gueye"
        ],
      • "description": "L’Assemblée nationale se réunit ce jeudi pour examiner la résolution portant mise en accusation de cinq anciens ministres devant la Haute Cour de justice. Cette résolution a déjà été validée en commission des Lois, sans qu’aucun document explicatif n’ait été officiellement communiqué.Ce sera l’ultime étape d’une procédure entamée depuis le 28 avril dernier à l’Assemblée nationale, à la suite de la réunion du bureau et de la conférence des présidents. À l’issue de ces rencontres, le Parlement avait fixé le calendrier de la mise en accusation de cinq membres du gouvernement de l’ancien président Macky Sall.Aujourd’hui, en séance plénière, les députés vont se prononcer sur les projets de résolution visant à traduire devant la Haute Cour de justice les anciens ministres suivants : Mansour Faye, Aissatou Sophie Gladima, Ndèye Saly Diop Dieng, Moustapha Diop et Ismaïla Madior Fall.La commission des Lois avait déjà adopté ces projets lors d’une réunion organisée à la suite de la levée de l’immunité parlementaire de Ndèye Saly Diop Dieng et Moustapha Diop, tous deux actuellement députés. Ainsi, au cours de cette plénière, les parlementaires devront approuver ou rejeter la demande du Garde des Sceaux relative à la mise en accusation de ces anciens ministres.Le vote, qui se fera à bulletin secret, permettra à chaque député de se prononcer librement. Cependant, avec une Assemblée nationale largement dominée par la majorité présidentielle — forte de 130 députés —, il est permis d’anticiper que la résolution sera adoptée sans difficulté.Il convient de préciser que les députés membres de la Haute Cour de justice — soit huit juges titulaires et huit suppléants — ne prendront pas part à cette séance plénière, afin de respecter le principe fondamental de séparation des fonctions entre juge et partie.Ce n’est qu’après le vote de mise en accusation que la commission d’instruction de la Haute Cour de justice entrera en scène. Cette commission, présidée par le Premier président de la Cour d’appel de Dakar, pourra alors ordonner le placement sous mandat de dépôt des ministres mis en cause et poursuivra les investigations nécessaires.À l’issue de son enquête, le président de la commission d’instruction pourra rendre soit une ordonnance de non-lieu, soit un renvoi devant la Haute Cour de justice, pour l’ouverture d’un procès en bonne et due forme.Il faut enfin rappeler que, parmi les cinq anciens ministres concernés, seul Ismaïla Madior Fall, ex-Garde des Sceaux, n’est pas cité dans le rapport 2022 de la Cour des comptes relatif à la gestion du Fonds Force-Covid-19. Les quatre autres le sont, et c’est sur la base de ce rapport accablant que la procédure a été enclenchée.",
      • "content": "L’Assemblée nationale se réunit ce jeudi pour examiner la résolution portant mise en accusation de cinq anciens ministres devant la Haute Cour de justice. Cette résolution a déjà été validée en commission des Lois, sans qu’aucun document explicatif n’ait été officiellement communiqué. Ce sera l’ultime étape d’une procédure entamée depuis le 28 avril dernier à l’Assemblée nationale, à la suite de la réunion du bureau et de la conférence des présidents. À l’issue de ces rencontres, le Parlement avait fixé le calendrier de la mise en accusation de cinq membres du gouvernement de l’ancien président Macky Sall. Aujourd’hui, en séance plénière, les députés vont se prononcer sur les projets de résolution visant à traduire devant la Haute Cour de justice les anciens ministres suivants : Mansour Faye, Aissatou Sophie Gladima, Ndèye Saly Diop Dieng, Moustapha Diop et Ismaïla Madior Fall. La commission des Lois avait déjà adopté ces projets lors d’une réunion organisée à la suite de la levée de l’immunité parlementaire de Ndèye Saly Diop Dieng et Moustapha Diop, tous deux actuellement députés. Ainsi, au cours de cette plénière, les parlementaires devront approuver ou rejeter la demande du Garde des Sceaux relative à la mise en accusation de ces anciens ministres. Le vote, qui se fera à bulletin secret, permettra à chaque député de se prononcer librement. Cependant, avec une Assemblée nationale largement dominée par la majorité présidentielle — forte de 130 députés —, il est permis d’anticiper que la résolution sera adoptée sans difficulté. Il convient de préciser que les députés membres de la Haute Cour de justice — soit huit juges titulaires et huit suppléants — ne prendront pas part à cette séance plénière, afin de respecter le principe fondamental de séparation des fonctions entre juge et partie. Ce n’est qu’après le vote de mise en accusation que la commission d’instruction de la Haute Cour de justice entrera en scène. Cette commission, présidée par le Premier président de la Cour d’appel de Dakar, pourra alors ordonner le placement sous mandat de dépôt des ministres mis en cause et poursuivra les investigations nécessaires. À l’issue de son enquête, le président de la commission d’instruction pourra rendre soit une ordonnance de non-lieu, soit un renvoi devant la Haute Cour de justice, pour l’ouverture d’un procès en bonne et due forme. Il faut enfin rappeler que, parmi les cinq anciens ministres concernés, seul Ismaïla Madior Fall, ex-Garde des Sceaux, n’est pas cité dans le rapport 2022 de la Cour des comptes relatif à la gestion du Fonds Force-Covid-19. Les quatre autres le sont, et c’est sur la base de ce rapport accablant que la procédure a été enclenchée.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:30:04",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2025/05/whatsapp-image-2025-05-08-at-08.29.07-e1746692984423.jpeg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "aeeb39983d843ba7d0343117ff0e2608",
      • "title": "Vol d'objets religieux au cimetière de la corniche : La grosse colère de la communauté catholique de Saint-Louis",
      • "link": "https://www.leral.net/Vol-d-objets-religieux-au-cimetiere-de-la-corniche-La-grosse-colere-de-la-communaute-catholique-de-Saint-Louis_a380980.html",
      • "keywords": null,
      • -
        "creator": [
        • "MD"
        ],
      • "description": "Censé être un lieu de repos et de commémoration, le cimetière catholique de la Corniche de Saint‐ Louis est malheureusemen...",
      • "content": "Ce qui a pour conséquence d’écœurer l’Eglise et les proches des défunts. Dans la ville tricentenaire, le sommeil des pensionnaires du cimetière catholique de Marmiyal est perturbé par des vivants. En effet, situé dans le quartier populeux de Darou Médine, le cimetière catholique de la Corniche subit depuis quelques temps une profanation sans commune mesure de malfaiteurs qui n’hésitent pas, non contents de violer la sacralité des lieux en bafouant la quiétude des défunts, à voler les objets de valeur trouvés sur les tombes. « Au‐delà du pillage de ce cimetière, patrimoine religieux et humain du pays, c’est une profanation d’un site religieux chrétien qui a pour vocation d’honorer nos fidèles défunts », a indiqué l’Abbé Louis Gomis, chancelier du Diocèse de Saint Louis Face à cette situation, le religieux alerte et lance un appel à la société, à l’opinion publique et aux autorités pour qu’une solution soit vite trouvée, pour faire respecter la mémoire des disparus. « Ce phénomène honteux continue de gangréner nos relations avec la population locale. Je lance un appel aux autorités et à toutes personnes de bonne volonté, de nous aider pour empêcher aux enfants de la rue et aux malfaiteurs de faire leur for‐ fait dans ce lieu saint qui est notre dernière demeure. Nous sollicitons les autorités de ce pays qui n’ont pour l’instant apporté aucune solution à cette situation. L’hommage à nos vaillants devanciers dans la vie éternelle, au paradis est un acte d’adoration au DIEU créateur, mais aussi la reconnaissance pour l’œuvre qu’ils ont accomplie et dont nous sommes les héritiers. C’est pourquoi je lance un appel aux autorités et à toutes personnes de bonne volonté, de nous aider pour empêcher aux enfants de la rue et aux malfaiteurs de commettre leurs forfaits dans ce lieu saint qui est notre dernière demeure «, a‐t‐il confessé. À Saint‐Louis, c’est la tristesse et la désolation Les citoyens de toutes les confessions condamnent avec la dernière énergie ces actes qu’ils qualifient de vandalisme. Ils demandent aux autorités locales comme centrales, de trou‐ ver des solutions à ce phénomène et de sanctionner sévèrement les auteurs de ces actes délictueux qui suscitent des inquiétudes quant à la sécurité des lieux de sépulture, appelant à des me‐ sures, afin de lutter contre ces vols d’objets de valeur dans les cimetières.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:28:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.leral.net/photo/art/grande/88417371-62630046.jpg?v=1746693131",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "leral",
      • "source_name": "Leral",
      • "source_priority": 604651,
      • "source_url": "https://www.leral.net",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/leral.jpg",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "00cb991aae07933c98746ff0b7518051",
      • "title": "Danemark : réaction face à l’espionnage américain au Groenland",
      • "link": "https://senego.com/danemark-reaction-face-a-lespionnage-americain-au-groenland_1835020.html",
      • -
        "keywords": [
        • "sport",
        • "sénégal",
        • "espionnage",
        • "danemark"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Abdou Nar Dia"
        ],
      • "description": "Le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, a exprimé son intention de convoquer l’ambassadeur des États-Unis au Danemark. Cette décision fait suite aux révélations du quotidien américain The Wall Street Journal sur l’augmentation de l’espionnage américain au Groenland, déclaration réalisée le mercredi 7 mai. Le Groenland est en effet un territoire que le [...]",
      • "content": "Le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, a exprimé son intention de convoquer l’ambassadeur des États-Unis au Danemark. Cette décision fait suite aux révélations du quotidien américain The Wall Street Journal sur l’augmentation de l’espionnage américain au Groenland, déclaration réalisée le mercredi 7 mai. Le Groenland est en effet un territoire que le président Donald Trump avait convoité, suscitant quelques inquiétudes. Depuis Varsovie, où se tenait une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, le chef de la diplomatie danoise a exprimé ses préoccupations. Selon Le Monde, il a déclaré : « Cet article inquiète beaucoup, parce qu’on ne s’espionne pas entre amis. » Le ministre a ajouté que cette situation était « très grave » et a annoncé vouloir un entretien avec l’ambassadeur américain au ministère des Affaires étrangères. Il a expliqué vouloir que ces informations puissent être réfutées ou, à tout le moins, « faire très clairement savoir quelle est la position du Danemark à ce sujet. » Selon The Wall Street Journal , les agences de renseignement américaines ont reçu des directives pour collecter des informations sur le mouvement indépendantiste du Groenland. Elles devaient également étudier les positions concernant l’exploitation des ressources naturelles par les États-Unis. En outre, les agences étaient appelées à identifier les partisans des ambitions américaines tant au Groenland qu’au Danemark pour ce territoire autonome danois. Donald Trump a souvent manifesté son intérêt à prendre le contrôle du Groenland, affirmant agir pour des raisons de sécurité. Il aurait même considéré l’idée de recourir à la force pour annexer l’île. Cette position avait engendré des tensions diplomatiques entre Copenhague et Washington. Selon un sondage récent cité par Anadolu, une large majorité des 57 000 habitants du Groenland souhaite l’indépendance totale et rejette toute annexion par les États-Unis. Cette information a été relevée sur le site de nos confrères de l’agence Anadolu.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:20:29",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "denmark,maine,united states of america,north america",
        • "united states of america,north america",
        • "denmark,south carolina,united states of america,north america",
        • "denmark,wisconsin,united states of america,north america"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "d139df3f895d792c539c92d9b0906a6d",
      • "title": "Go : Quand Queen Biz trompe son monde",
      • "link": "https://www.rewmi.com/go-quand-queen-biz-trompe-son-monde/",
      • -
        "keywords": [
        • "queen biz",
        • "une",
        • "go",
        • "décryptage"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mohamed"
        ],
      • "description": "Quand on est un « boy Dakar » chronique et sans relief comme un milliardaire de banlieue ou de Tivaouane comme Azou Siam le gros importateur de riz, on peut facilement se gourer sur le compte de la chanteuse. Avec sa taille de guêpe, chacun nourrit des fantasmes, comme il veut, mais personne ne sait qui est ...Cet article Go : Quand Queen Biz trompe son monde est apparu en premier sur Rewmi.com.",
      • "content": "Quand on est un « boy Dakar » chronique et sans relief comme un milliardaire de banlieue ou de Tivaouane comme Azou Siam le gros importateur de riz, on peut facilement se gourer sur le compte de la chanteuse.Avec sa taille de guêpe, chacun nourrit des fantasmes, comme il veut, mais personne ne sait qui est cette Coumba Diallo qui se cache derriere le pseudonyme de Queen Bizz, ni ce quelle fait réellement dans la vie. Et pourtant, c’est simple à savoir pourvu qu’on sache garder ses préjugés aux oubliettes. La chanteuse Queen Biz est une intello pure et dure, qui vient, récemment d’être nommée PCA du Théâtre National Daniel Sorano. La décision a été prise il y a trois à quatre mois par le Président de la République.« Licence en droit, Maîtrise en droit international, Master en sciences politiques, diplomatie et relations internationales, voilà pour le parcours de la nouvelle PCA de Sorano qui milite au Pastef depuis 2022, et qui ne semble pourtant pas très connue dans ce pays trop politicien, ou l’on rencontre facilement des politiciens déjantés comme un nommé Dr Madior Ly, un chroniqueur politique genre Kader Dia de Sen Tv, par le grand gabarit qui rappelle un ancien roi des arènes, originaire de Fadiouth ou de Bassoul.Et que reproche ce Madior ( encore inconnu au bataillon ) à Queen Bizz ? Sans aucune délicatesse , la nomination de « Queen Biz », comme présidente du Conseil d’administration (PCA) du réputé Théâtre national Daniel Sorano, semble lui être restée au travers de la gorge. Pour lui, toutes ces dernières nominations de Diomaye dénotent de la volonté des dirigeants du Pastef de se partager le pouvoir.......Mais lui-même, est-il bien placé pour parler de médiocrité, lui dont le parti politique la RÉPUBLIQUE DES VALEURS, n’a même pas pu convaincre les Sénégalais avec un score de moins 1% , et un patron « Nda guay rée ba T.A.S ), accusé de « ndioudj-ndiadj » par Farba Ngom et qui tarde à répondre à des accusations de détournement de biens publics ? » Deugue deugue, koudoo gnémé guar ! »SébéCet article Go : Quand Queen Biz trompe son monde est apparu en premier sur Rewmi.com.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:18:28",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.rewmi.com/wp-content/uploads/2025/05/xCapture-decran-2025-05-08-081927-660x330.png.pagespeed.ic.YkGeSSm_fl.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "rewmi",
      • "source_name": "Rewmi",
      • "source_priority": 3382429,
      • "source_url": "https://www.rewmi.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/rewmi.jpg",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "075f15a0cd6647d40f02ce1b91280c65",
      • "title": "Vente de 67 parcelles : Mass Thiam visé par les enquêteurs pour avoir versé 5 milliards FCFA à Amadou Sall",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/vente-de-67-parcelles-mass-thiam-vise-par-les-enqueteurs-pour-avoir-verse-5-milliards-fcfa-a-amadou-sall_540182.html",
      • -
        "keywords": [
        • "politique",
        • "sénégal - actualités",
        • "a-la-une notification",
        • "amadou sall"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Modou Mamoune Tine"
        ],
      • "description": "Sous le règne de Macky Sall, le foncier est devenu le moyen le plus rapide et le moins épuisant pour s’enrichir. Avec la complicité de certains maires, de la Commission de Contrôle des Opérations Domaniales (CCOD), de plusieurs directeurs des impôts, de ministres de l’Urbanisme et des Finances, ainsi que de gouverneurs, préfets et sous-préfets, des proches des différents régimes se sont accaparé des terres publiques dans des conditions opaques pour en faire un business juteux.Selon Yoor Yoor, des figures bien connues comme Farba Ngom, Tahirou Sarr et Macky Sall ont utilisé à leur profit le foncier de l’État sénégalais, accumulant des richesses colossales. Des domaines appartenant à l’État ont été cédés dans des conditions défiant toute transparence. N’avait-on pas entendu Mamadou Gueye, ex-directeur des Domaines, déclarer à la télévision Sen TV qu’il avait offert plusieurs terrains à des tiers ? Yoor Yoor rappelle qu’il s’est également attribué des parcelles, malgré ses dénégations grotesques.Abdoulaye Wade, pour sa part, s’était octroyé de vastes espaces pour les redistribuer à ses proches, notamment en les délogeant de la zone pyrotechnique afin d’y ériger la Cité Keur Gorgui. D’après une enquête menée par Yoor Yoor, plusieurs membres de sa famille et de son entourage y ont reçu des parcelles sans avoir déboursé un franc. Le siège actuel du PDS y a même été implanté.Le Stade Léopold Sédar Senghor, le CICES et d’autres lieux publics n’ont pas échappé à l’appétit vorace des prédateurs fonciers de Wade et Macky Sall. Ce dernier, à son tour, a distribué sans retenue des terres appartenant à l’État, souvent à des proches chargés de leur gestion. Comme l’a documenté Yoor Yoor, l’intégralité de la façade maritime est aujourd’hui entre les mains de proches des anciens régimes, en violation flagrante des lois foncières.C’est dans ce contexte que le fils de l’ex-président, Amadou Sall, a été introduit dans le cercle fermé des businessmen du foncier. Sans métier clairement identifié, il a bénéficié de plusieurs hectares dans le cadre du lotissement de la BOA, qui fut, selon Yoor Yoor, une véritable « vache à lait » pour le régime déchu. Ce lotissement a permis à des individus comme Farba Ngom de s'enrichir discrètement.Amadou Sall disposait autour de lui d’un réseau de courtiers et de fidèles dont la mission exclusive était de vendre des parcelles et de lui verser l’argent liquide, évitant ainsi toute traçabilité. Yoor Yoor affirme que plusieurs comptes bancaires appartenant à des proches étaient utilisés pour capter les virements, lesquels étaient ensuite reversés à Amadou Sall. Ces courtiers touchaient en retour des commissions de plusieurs millions de francs CFA.La Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) a retracé les flux financiers suspects transitant par ces comptes, qui finissaient par atterrir dans les coffres d’Amadou Sall. D’après les révélations obtenues par Yoor Yoor, des montants faramineux ont circulé sans aucune justification légale ou fiscale, nourrissant une véritable économie parallèle au sommet de l’État.Au cœur de ce réseau figure Mass Thiam, décrit comme le courtier le plus percutant de la galaxie Sall. Ce jeune homme de moins de 30 ans aurait, à lui seul, vendu 67 parcelles allant de 200 m2 à 500 m2, pour un total de 5.732.000.000 FCFA. Connu pour circuler dans une Mercedes-Benz G63 AMG d’une valeur de 200 millions FCFA, il symbolise, selon Yoor Yoor, la nouvelle génération de « courtiers millionnaires » issus de la spéculation foncière.Après une période d’absence hors du territoire, Mass Thiam est récemment rentré au pays, dans une discrétion absolue. Mais le Pool Judiciaire Financier (PJF), qui démantèle actuellement le réseau mis en place par Amadou Sall, l’aurait désormais dans son viseur. Yoor Yoor précise que des documents compromettants liés à ses transactions auraient été saisis dans le cadre d’une opération conjointe menée par le PJF et la CENTIF.À Ouakam, les populations locales sont aujourd’hui dépossédées de leurs plages, devenues inaccessibles à cause de privatisations illégales par de nouveaux occupants. Yoor Yoor révèle que plusieurs plaintes de collectifs citoyens sont actuellement entre les mains de la justice, qui commence à s’intéresser aux complicités administratives et politiques ayant rendu ces privatisations possibles.Le scandale du lotissement BOA, désormais entre les mains du PJF, pourrait bien être le point de départ d’une vaste opération de reddition des comptes sur les pratiques foncières du régime précédent. Si les faits sont établis, les ramifications de cette affaire risquent de secouer durablement l’ancien cercle présidentiel et ses hommes de confiance. Comme l’analyse Yoor Yoor, cette affaire illustre crûment le pillage organisé des ressources foncières publiques au Sénégal, transformées en instruments d’enrichissement privé.",
      • "content": "Sous le règne de Macky Sall, le foncier est devenu le moyen le plus rapide et le moins épuisant pour s’enrichir. Avec la complicité de certains maires, de la Commission de Contrôle des Opérations Domaniales (CCOD), de plusieurs directeurs des impôts, de ministres de l’Urbanisme et des Finances, ainsi que de gouverneurs, préfets et sous-préfets, des proches des différents régimes se sont accaparé des terres publiques dans des conditions opaques pour en faire un business juteux. Selon Yoor Yoor, des figures bien connues comme Farba Ngom, Tahirou Sarr et Macky Sall ont utilisé à leur profit le foncier de l’État sénégalais, accumulant des richesses colossales. Des domaines appartenant à l’État ont été cédés dans des conditions défiant toute transparence. N’avait-on pas entendu Mamadou Gueye, ex-directeur des Domaines, déclarer à la télévision Sen TV qu’il avait offert plusieurs terrains à des tiers ? Yoor Yoor rappelle qu’il s’est également attribué des parcelles, malgré ses dénégations grotesques. Abdoulaye Wade, pour sa part, s’était octroyé de vastes espaces pour les redistribuer à ses proches, notamment en les délogeant de la zone pyrotechnique afin d’y ériger la Cité Keur Gorgui. D’après une enquête menée par Yoor Yoor, plusieurs membres de sa famille et de son entourage y ont reçu des parcelles sans avoir déboursé un franc. Le siège actuel du PDS y a même été implanté. Le Stade Léopold Sédar Senghor, le CICES et d’autres lieux publics n’ont pas échappé à l’appétit vorace des prédateurs fonciers de Wade et Macky Sall. Ce dernier, à son tour, a distribué sans retenue des terres appartenant à l’État, souvent à des proches chargés de leur gestion. Comme l’a documenté Yoor Yoor, l’intégralité de la façade maritime est aujourd’hui entre les mains de proches des anciens régimes, en violation flagrante des lois foncières. C’est dans ce contexte que le fils de l’ex-président, Amadou Sall, a été introduit dans le cercle fermé des businessmen du foncier. Sans métier clairement identifié, il a bénéficié de plusieurs hectares dans le cadre du lotissement de la BOA, qui fut, selon Yoor Yoor, une véritable « vache à lait » pour le régime déchu. Ce lotissement a permis à des individus comme Farba Ngom de s’enrichir discrètement. Amadou Sall disposait autour de lui d’un réseau de courtiers et de fidèles dont la mission exclusive était de vendre des parcelles et de lui verser l’argent liquide, évitant ainsi toute traçabilité. Yoor Yoor affirme que plusieurs comptes bancaires appartenant à des proches étaient utilisés pour capter les virements, lesquels étaient ensuite reversés à Amadou Sall. Ces courtiers touchaient en retour des commissions de plusieurs millions de francs CFA. La Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) a retracé les flux financiers suspects transitant par ces comptes, qui finissaient par atterrir dans les coffres d’Amadou Sall. D’après les révélations obtenues par Yoor Yoor, des montants faramineux ont circulé sans aucune justification légale ou fiscale, nourrissant une véritable économie parallèle au sommet de l’État. Au cœur de ce réseau figure Mass Thiam, décrit comme le courtier le plus percutant de la galaxie Sall. Ce jeune homme de moins de 30 ans aurait, à lui seul, vendu 67 parcelles allant de 200 m2 à 500 m2, pour un total de 5.732.000.000 FCFA. Connu pour circuler dans une Mercedes-Benz G63 AMG d’une valeur de 200 millions FCFA, il symbolise, selon Yoor Yoor, la nouvelle génération de « courtiers millionnaires » issus de la spéculation foncière. Après une période d’absence hors du territoire, Mass Thiam est récemment rentré au pays, dans une discrétion absolue. Mais le Pool Judiciaire Financier (PJF), qui démantèle actuellement le réseau mis en place par Amadou Sall, l’aurait désormais dans son viseur. Yoor Yoor précise que des documents compromettants liés à ses transactions auraient été saisis dans le cadre d’une opération conjointe menée par le PJF et la CENTIF. À Ouakam, les populations locales sont aujourd’hui dépossédées de leurs plages, devenues inaccessibles à cause de privatisations illégales par de nouveaux occupants. Yoor Yoor révèle que plusieurs plaintes de collectifs citoyens sont actuellement entre les mains de la justice, qui commence à s’intéresser aux complicités administratives et politiques ayant rendu ces privatisations possibles. Le scandale du lotissement BOA, désormais entre les mains du PJF, pourrait bien être le point de départ d’une vaste opération de reddition des comptes sur les pratiques foncières du régime précédent. Si les faits sont établis, les ramifications de cette affaire risquent de secouer durablement l’ancien cercle présidentiel et ses hommes de confiance. Comme l’analyse Yoor Yoor, cette affaire illustre crûment le pillage organisé des ressources foncières publiques au Sénégal, transformées en instruments d’enrichissement privé.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:10:41",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2025/04/img_4265.jpeg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • -
        "ai_org": [
        • "fc fa"
        ],
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "cf42d067afae7029e62c80c1831f08bd",
      • "title": "Irak : Le Premier ministre Soudani au colloque Türkiye-Irak à Ankara",
      • "link": "https://senego.com/irak-le-premier-ministre-soudani-au-colloque-turkiye-irak-a-ankara_1835017.html",
      • -
        "keywords": [
        • "sport",
        • "sénégal",
        • "türkiye-irak",
        • "colloque"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Abdou Nar Dia"
        ],
      • "description": "Le Premier ministre irakien, Mohammed Shia al-Soudani, est attendu ce jeudi à Ankara pour participer au colloque « FOCUS : Relations Türkiye-Irak ». Cet événement est organisé par l’Agence Anadolu et se focalisera sur les relations bilatérales entre la Turquie et l’Irak, ainsi que sur les implications régionales et internationales de ce partenariat. L’agence Anadolu nous informe [...]",
      • "content": "Le Premier ministre irakien, Mohammed Shia al-Soudani, est attendu ce jeudi à Ankara pour participer au colloque « FOCUS : Relations Türkiye-Irak ». Cet événement est organisé par l’Agence Anadolu et se focalisera sur les relations bilatérales entre la Turquie et l’Irak, ainsi que sur les implications régionales et internationales de ce partenariat. L’agence Anadolu nous informe que cette rencontre est particulièrement pertinente dans le contexte actuel du Moyen-Orient. Lors de ce colloque, les discussions aborderont de manière analytique les dimensions politiques, économiques et sécuritaires des relations entre ces deux pays. Elles prendront en compte les développements récents et leurs répercussions sur la région. L’évaluation de Soudani portera sur les enjeux actuels et sur la collaboration future entre la Turquie et l’Irak. Selon les informations traduites du turc par Tuncay Çakmak, et lues sur le site de l’Agence Anadolu, ce colloque est d’une importance significative pour les deux pays. Il s’inscrit dans un effort plus large de coordonner et de renforcer les liens entre Ankara et Bagdad face aux défis régionaux communs.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:10:27",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "ankara,turkey,asia/europe",
        • "turkey,asia/europe",
        • "iraq,asia",
        • "sudan,africa"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "97cb38565d576d0288c2a4c861add65d",
      • "title": "Pool Judiciaire Financier : Après Amadou Sall, les deux autres enfants de Macky Sall cités dans des scandales financiers",
      • "link": "https://senego.com/pool-judiciaire-financier-apres-amadou-sall-les-deux-autres-enfants-de-macky-sall-cites-dans-des-scandales-financiers_1834995.html",
      • -
        "keywords": [
        • "amadou sall",
        • "justice",
        • "politique",
        • "actualités",
        • "macky sall",
        • "président"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mandaw Mbengue"
        ],
      • "description": "L’enquête menée par la Division des investigations criminelles (DIC) dans l’affaire impliquant Amadou Sall franchit une nouvelle étape. Après la mise en cause du fils aîné de l’ancien président Macky Sall, deux autres membres de la fratrie, Mohamed Ibrahima Sall et Khatum Derwiche Sall, sont désormais également cités dans le dossier. Selon les informations révélées [...]",
      • "content": "L’enquête menée par la Division des investigations criminelles (DIC) dans l’affaire impliquant Amadou Sall franchit une nouvelle étape. Après la mise en cause du fils aîné de l’ancien président Macky Sall , deux autres membres de la fratrie, Mohamed Ibrahima Sall et Khatum Derwiche Sall, sont désormais également cités dans le dossier. Selon les informations révélées ce jeudi par Wal Fadjri et reprises par Seneweb , les trois enfants de l’ancien chef de l’État sont associés au sein d’une entreprise sénégalaise spécialisée dans l’élevage, SF-Farms SAS, créée en 2020. Cette société, tout comme d’autres entités telles que la SCI Newport, la SCP ASA Vinvest (société ivoirienne liée à Woodrose-Investment) et Sénégal Transport Service SARL, aurait entretenu des liens financiers qualifiés de « étroits et suspects » avec Farba Ngom. Ce dernier, ancien proche du régime, est placé sous mandat de dépôt depuis février pour des soupçons de blanchiment de capitaux. Le parquet a requis l’inculpation et le placement sous mandat de dépôt d’Amadou Sall, qui ne s’est pas présenté à sa convocation du mercredi 7 mai par le Pool judiciaire financier (PJF). Pour l’heure, ses frère et sœur n’ont pas encore été entendus par les enquêteurs et ne sont visés par aucune procédure judiciaire.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:07:10",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "sports"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "8d3a5936ab1db8f6f1827700a18ff6c5",
      • "title": "7,8 milliards de CFA en billets noirs saisis par les Douanes sénégalaises",
      • "link": "https://aps.sn/78-milliards-de-cfa-en-billets-noirs-saisis-par-les-douanes-senegalaises/",
      • -
        "keywords": [
        • "regions",
        • "société",
        • "dépêches",
        • "la une"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Alioune Diouf"
        ],
      • "description": "Thiès, 8 mai (APS) – L’administration des Douanes sénégalaises a opéré deux saisies de billets noirs d’une contre-valeur de 7,8 milliards de FCFA entre le 28 avril et le 2 mai dans les régions de Dakar et Thiès, a appris l’APS. “Les opérations de lutte contre le faux monnayage engagées par les unités douanières ont [...]The post 7,8 milliards de CFA en billets noirs saisis par les Douanes sénégalaises first appeared on APS.",
      • "content": "SENEGAL-DROGUES-TRAFIC Thiès, 8 mai (APS) – L’administration des Douanes sénégalaises a opéré deux saisies de billets noirs d’une contre-valeur de 7,8 milliards de FCFA entre le 28 avril et le 2 mai dans les régions de Dakar et Thiès, a appris l’APS. “Les opérations de lutte contre le faux monnayage engagées par les unités douanières ont abouti à de nouvelles saisies de billets noirs dans les régions de Dakar et de Thiès, pour une contrevaleur totale de 7 milliards 851 millions de francs CFA”, renseigne un communiqué de la Douane. “La plus importante saisie de billets noirs, enregistrée à date a eu lieu dans la nuit du 1er au 2 mai 2025”, note la même source, tout en précisant qu’elle a été réalisée par la Brigade mobile des Douanes de Pikine, Subdivision de Dakar-extérieur, Direction régionale Ouest. Cette saisie a porté sur “10 millions en coupures de 500 euros en billets noirs, soit 6 milliards 650 millions de francs CFA en contrevaleur”, précise le texte. L’unité à l’origine de cette prise a, lors de la même opération, mis la main sur 1,5 million de dollars en billets noirs pour une contrevaleur de 868 millions de francs CFA, rapporte encore le communiqué. “Deux individus ont été arrêtés au cours de ladite opération”, précisent les services de communication des Douanes. Le Groupement polyvalent de recherche et de répression de la fraude (GPR) a également saisi à Thiès 5850 billets noirs en coupures de dollars et d’euros, soit une contrevaleur de plus de 333 millions de francs CFA. Deux individus ont été appréhendés, l’un à Thiès, l’autre à Sirmang (région de Fatick, centre). Selon le communiqué, ces saisies sont rendues possibles grâce à un “dispositif de renseignement et de surveillance adapté à la lutte contre le faux monnayage”. ADI/HK/HB/OID",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:05:43",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://aps.sn/wp-content/uploads/2025/05/billetnoirs.webp",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "aps_sn",
      • "source_name": "Accueil - Aps",
      • "source_priority": 240588,
      • "source_url": "https://aps.sn",
      • "source_icon": null,
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "domestic"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "e9e6936de5d7f9b1e993554d5e2120ea",
      • "title": "Formulaire DS-160 : Les États-Unis acte un changement pour les demandes de visas au Sénégal",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/formulaire-ds-160-les-etats-unis-acte-un-changement-pour-les-demandes-de-visas-au-senegal_540183.html",
      • -
        "keywords": [
        • "société",
        • "sénégal - actualités",
        • "visa",
        • "etats-unis"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Thierno Gueye"
        ],
      • "description": "Les autorités consulaires des États-Unis annoncent un changement important dans la procédure de demande de visa, applicable dès ce jeudi 8 mai. Tous les candidats devront désormais s’assurer que le numéro de confirmation figurant sur leur formulaire DS-160 — le code-barres commençant par \"AA\" — correspond exactement à celui utilisé lors de la prise de rendez-vous pour l’entretien consulaire.Cette exigence vise à renforcer la rigueur administrative et à éviter les erreurs pouvant compromettre le traitement des dossiers. En cas de non-concordance entre le numéro du formulaire et celui du rendez-vous, les demandeurs seront contraints de reprendre un nouveau rendez-vous, avec tous les désagréments et retards que cela implique. L’ambassade des États-Unis invite donc les postulants à redoubler de vigilance : « Vérifiez votre code-barres DS-160 avant l’entretien. Assurez-vous que le numéro utilisé pour le formulaire est bien le même que celui inscrit lors de la prise de rendez-vous. » Une simple vérification en amont pourrait ainsi éviter de longs retards et un déplacement inutile.Pour rappel, le formulaire DS-160 est une étape clé de toute demande de visa non-immigrant. Il doit être rempli en ligne, puis soumis avant de pouvoir accéder à l’étape du rendez-vous à l’ambassade ou au consulat. Les autorités recommandent vivement aux candidats qui constatent une erreur de reprogrammer leur entretien avec le bon numéro DS-160, afin de garantir la validité de leur démarche.",
      • "content": "Les autorités consulaires des États-Unis annoncent un changement important dans la procédure de demande de visa, applicable dès ce jeudi 8 mai. Tous les candidats devront désormais s’assurer que le numéro de confirmation figurant sur leur formulaire DS-160 — le code-barres commençant par « AA » — correspond exactement à celui utilisé lors de la prise de rendez-vous pour l’entretien consulaire. Cette exigence vise à renforcer la rigueur administrative et à éviter les erreurs pouvant compromettre le traitement des dossiers. En cas de non-concordance entre le numéro du formulaire et celui du rendez-vous, les demandeurs seront contraints de reprendre un nouveau rendez-vous, avec tous les désagréments et retards que cela implique. L’ ambassade des États-Unis invite donc les postulants à redoubler de vigilance : « Vérifiez votre code-barres DS-160 avant l’entretien. Assurez-vous que le numéro utilisé pour le formulaire est bien le même que celui inscrit lors de la prise de rendez-vous. » Une simple vérification en amont pourrait ainsi éviter de longs retards et un déplacement inutile. Pour rappel, le formulaire DS-160 est une étape clé de toute demande de visa non-immigrant. Il doit être rempli en ligne, puis soumis avant de pouvoir accéder à l’étape du rendez-vous à l’ambassade ou au consulat. Les autorités recommandent vivement aux candidats qui constatent une erreur de reprogrammer leur entretien avec le bon numéro DS-160, afin de garantir la validité de leur démarche.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:03:46",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2025/05/4.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "senegal,africa"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "0481e9be7f24960e2ce2b31c925e67e9",
      • "title": "Fautes du passé et justice d’aujourd’hui : L’Assemblée nationale ouvre le procès de l’ancien régime",
      • "link": "https://senego.com/fautes-du-passe-et-justice-daujourdhui-lassemblee-nationale-ouvre-le-proces-de-lancien-regime_1834993.html",
      • -
        "keywords": [
        • "sénégal",
        • "actualités",
        • "vedette",
        • "assemblée nationale",
        • "société",
        • "haute cour justice",
        • "cinq ministres",
        • "politique"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mangoné KA"
        ],
      • "description": "Le processus judiciaire s’accélère contre plusieurs dignitaires de l’ancien régime. Ce jeudi 8 mai, l’Assemblée nationale se réunit en session plénière pour statuer sur la mise en accusation de cinq anciens ministres du gouvernement de Macky Sall. Sont concernés : Moustapha Diop, Ndèye Saly Diop Dieng, Ismaïla Madior Fall, Amadou Mansour Faye et Sophy Gladima. [...]",
      • "content": "Le processus judiciaire s’accélère contre plusieurs dignitaires de l’ancien régime. Ce jeudi 8 mai, l’Assemblée nationale se réunit en session plénière pour statuer sur la mise en accusation de cinq anciens ministres du gouvernement de Macky Sall. Sont concernés : Moustapha Diop, Ndèye Saly Diop Dieng, Ismaïla Madior Fall, Amadou Mansour Faye et Sophy Gladima. Ils sont soupçonnés de détournement de deniers publics, de décaissements irréguliers, et de faits de corruption. Déjà ce jeudi, les députés examinent les conclusions des résolutions relatives à ces mises en accusation, dans le cadre du processus de reddition des comptes engagé par les nouvelles autorités. Cette opération met en lumière non seulement une vaste chaîne de responsabilités présumées, mais aussi des failles systémiques dans la gouvernance publique et les mécanismes de contrôle financier. Tous les anciens ministres cités rejettent en bloc les accusations portées contre eux et clament leur innocence avant même l’ouverture officielle des procédures judiciaires. Parmi les cas les plus médiatisés figure celui d’Amadou Mansour Faye, soupçonné d’avoir orchestré une surfacturation dans l’achat de riz distribué durant la pandémie de Covid-19. L’intéressé parle d’un « dossier politique » et dénonce une tentative de manipulation. Ismaïla Madior Fall, ancien ministre de la Justice, est pour sa part impliqué dans un dossier relatif à la construction du tribunal de Guédiawaye. Il est accusé d’avoir proposé une somme de 250 millions de FCFA à un entrepreneur chargé de réaliser également un bâtiment universitaire. Quant à Moustapha Diop et Sophy Gladima et Ndèye Saly Diop Dieng, ils sont tous deux poursuivis pour des décaissements jugés irréguliers. Là encore, les intéressés nient fermement les faits et dénoncent une cabale politique.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:03:44",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "9ccb451ebf3ec6251fabb4ca5932513f",
      • "title": "Key&Za : la série féminine à découvrir",
      • "link": "https://senego.com/keyza-la-serie-feminine-a-decouvrir_1834997.html",
      • -
        "keywords": [
        • "key&za",
        • "série féminine",
        • "actualités",
        • "buzz",
        • "vidéos",
        • "people"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Faty BA"
        ],
      • "description": "La nouvelle série « Key&Za » attire l’attention avec son approche unique des récits féminins. Disponible tous les mercredis et dimanches, cette série explore la diversité des vies féminines à travers la saison 1, épisode 23. « Key&Za » présente des personnages féminins aux parcours variés. Qu’elles soient mères, sœurs ou amies, ces femmes incarnent des rôles multiples dans [...]",
      • "content": "La nouvelle série « Key&Za » attire l’attention avec son approche unique des récits féminins. Disponible tous les mercredis et dimanches, cette série explore la diversité des vies féminines à travers la saison 1, épisode 23. « Key&Za » présente des personnages féminins aux parcours variés. Qu’elles soient mères, sœurs ou amies, ces femmes incarnent des rôles multiples dans la société. Célibataires, épouses ou divorcées, elles naviguent entre ambitions et désespoirs, symbolisant les défis et les joies de la vie moderne. Cette narration immersive met en lumière comment ces femmes parviennent à survivre, à aimer et à s’affirmer dans des contextes souvent complexes. La série s’affiche comme un regard neuf sur les nombreuses facettes de la féminité d’aujourd’hui. Comme lu sur le site de nos confrères de Kawtef, « Key&Za » s’engage à offrir au public des histoires profondément humaines et inspirantes.",
      • "pubDate": "2025-05-08 08:00:43",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "entertainment"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "94c26f727113841dc8f812ddbdaedac4",
      • "title": "L’élection du Pape, la restructuration et le financement des entreprises de presse au menu des quotidiens",
      • "link": "https://aps.sn/lelection-du-pape-la-restructuration-et-le-financement-des-entreprises-de-presse-au-menu-des-quotidiens/",
      • -
        "keywords": [
        • "dépêches",
        • "revue de presse",
        • "la une"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Ousmane Ibrahima Dia"
        ],
      • "description": "Dakar, 8 mai (APS) – L’ouverture du Conclave pour l’élection du successeur du Pape François, l’appel du chef de l’Etat à poursuivre la restructuration et le financement des entreprises de presse et la procédure de mise en accusation des 5 anciens ministres devant la Haute Cour de justice sont les sujets en exergue dans les [...]The post L’élection du Pape, la restructuration et le financement des entreprises de presse au menu des quotidiens first appeared on APS.",
      • "content": "SENEGAL-PRESSE-REVUE Dakar, 8 mai (APS) – L’ouverture du Conclave pour l’élection du successeur du Pape François, l’appel du chef de l’Etat à poursuivre la restructuration et le financement des entreprises de presse et la procédure de mise en accusation des 5 anciens ministres devant la Haute Cour de justice sont les sujets en exergue dans les quotidiens reçus, jeudi, à l’Agence de presse sénégalaise (APS). Sud Quotidien note que ‘’l’heure du choix a sonné’’ pour l’élection du 267 ème Pape avec l’ouverture du Conclave, mercredi, au Vatican. ‘’Hier, après-midi, un moment de grande intensité spirituelle s’est ouvert au cœur du Vatican : les Cardinaux, réunis dans le secret du conclave, ont entamé le processus d’élection du nouveau Souverain Pontife. Dans la matinée, ils avaient célébré, en la Basilique Saint-Pierre, la messe Pro eligendo Pontifice, marquant l’entrée solennelle de l’Église universelle dans un temps de discernement et de prière’’, écrit Sud, soulignant que plus de 1,4 milliards de fidèles sont ‘’en prière à l’écoute de l’Esprit Saint’’. Selon la publication, ‘’dans une homélie empreinte de gravité, le cardinal Giovanni Battista Re, doyen du Collège des cardinaux, a rappelé l’importance cruciale de la messe Pro Eligendo Romano Pontefice, célébrée hier matin en la basilique Saint-Pierre. Cette messe solennelle est célébrée juste avant le début du conclave, lorsque le Siège apostolique est vacant, c’est-à-dire après la mort ou la renonciation d’un Pape. Elle a pour but de confier à Dieu, par l’intercession de l’Esprit Saint, le processus d’élection du nouveau Souverain Pontife’’. Le même journal s’intéresse à l’appel du chef de l’Etat à poursuivre la restructuration et le financement des entreprises de presse. ‘’Mesures fiscales, contrats avec les structures de l’Etat suspendus, blocages de comptes...le secteur de la presse traverse une crise profonde accentuée depuis l’avènement de la 3e alternance. Face à cette situation, le Président de la République Bassirou Diomaye Faye a demandé au gouvernement de prendre des mesures visant à soutenir le secteur. Il l’a fait savoir hier, mercredi 7 mai, en Conseil des ministres’’, écrit Sud. Le Soleil se fait également l’écho de ces ‘’directives du chef de l’Etat’’. ‘’Le président de la République demande au gouvernement d’accentuer les concertations avec les différents acteurs en vue de mieux accompagner et de soutenir la professionnalisation et la transformation de la presse à la hauteur du rayonnement démocratique du Sénégal’’, rapporte le journal. Selon Les Echos, ‘’Bassirou Diomaye Faye veut un agenda consensuel pour une transformation systémique du secteur de la presse’’. L’As annonce que ‘’l’Assemblée nationale va se réunir, aujourd’hui, pour examiner la résolution portant mise en accusation des 5 anciens ministres devant la Haute Cour de justice qui a été déjà validée en commission des Lois (....)’’.. ‘’Ce sera le dernier épisode d’une procédure qui a débuté depuis le 28 avril dernier à l’Assemblée nationale avec la réunion du bureau et de la conférence des présidents. En effet, à l’issue de ces réunions, le Parlement avait fixé l’agenda de la procédure de mise en accusation des 5 anciens ministres sous le régime de Macky Sall. (....) les députés (....) examiner les projets de résolutions de mise en accusation devant la Haute Cour de Justice de cinq des ministres Mansour Faye, Aissatou Sophie Gladima, Ndèye Saly Diop Dieng, Moustapha Diop et Ismaila Madior Fall’’, écrit le journal. Le Quotidien signale une ‘’saisie record’’ de faux billets par la Douane, dans la nuit du 1er au 2 mai 2025. ‘’C’est une somme inédite qui a été saisie par la Douane entre Dakar, Thiès et Fatick : 7 milliards 851 millions de francs Cfa en billets noirs en dollars et en euros’’, rapporte le journal. OID",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:56:24",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "aps_sn",
      • "source_name": "Accueil - Aps",
      • "source_priority": 240588,
      • "source_url": "https://aps.sn",
      • "source_icon": null,
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "other"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "a957c2650de24f4b7c9d363085bb310f",
      • "title": "Sociologie du pouvoir: Pastef face au syndrome du drap blanc -Par le Dr. Moussa Sarr",
      • "link": "https://www.setal.net/Sociologie-du-pouvoir-Pastef-face-au-syndrome-du-drap-blanc-Par-le-Dr-Moussa-Sarr_a101376.html",
      • "keywords": null,
      • "creator": null,
      • "description": "Le syndrome du drap blanc. C'est ainsi que l'on pourrait nommer cette dynamique intérieure, presque mystique, qui semble habiter les premiers pas du parti Pastef au pouvoir. Le drap blanc, étendu comme un étendard sur le lit national, symbolise à la fois l'innocence revendiquée et la pureté morale exigée. Ce drap, immaculé, a la beauté de l'absolu. Mais il porte en lui l'effroi de la moindre tache. Il impose une discipline de l'image, un contrôle de chaque geste, de chaque mot, de chaque nomination. Il ne pardonne ni la maladresse ni l'imperfection. Le Pastef, porté par un souffle populaire inédit, a été propulsé au sommet de l'État, avec une légitimité rare dans l'histoire politique du Sénégal. Cette ascension, fruit d'une mobilisation collective, d'une colère ancienne, d'une espérance mûrie dans les marges, s'est faite sur la promesse d'un renouveau radical. Non pas seulement un changement de visages, mais une refondation des pratiques, une réhabilitation de la morale publique, une restauration du sens du bien commun. C'est sur ce socle que le drap blanc a été déplié, avec solennité, sur les institutions de la République. Mais plus le drap est blanc, plus la tache, si petite soit-elle, devient visible, criante, dramatique. Cette pureté brandie devient une norme étouffante. Les plus vertueux eux-mêmes, deviennent suspects à la moindre rumeur, au moindre soupçon d'opacité. La vertu devient intransigeance, la vigilance devient soupçon, la transparence devient lumière crue. Chacun, au sein du parti, devient non seulement garant de l'idéal, mais aussi possible fauteur de trouble. Et dans cet état de veille permanente, de peur du faux-pas, l'action politique se raidit, se retient, se complique. Le pouvoir, lui, ne s'offre jamais nu. Il est stratagème, négociation, compromis. Gouverner, c'est gérer l'ambiguïté, c'est organiser l'imparfait, c'est composer avec des forces sociales diverses, parfois contradictoires. Le drap blanc, en exigeant une clarté parfaite, peut alors se révéler handicapant. Non parce qu'il est trop propre, mais parce qu'il suppose une irréprochabilité, que nulle organisation humaine ne peut garantir sur la durée. Le risque est alors de sombrer dans le déni, ou pire, dans la dissimulation. L'obsession de la propreté devient peur de la tache, donc peur de l'action. Déjà, les premiers faux plis apparaissent. Des voix s'élèvent, inquiètes, parfois amères, devant certains choix, certaines nominations, certaines lenteurs. Le citoyen, jadis fervent, devient observateur, scrutateur. Il ne guette plus le miracle, il attend le faux-pas. Et ce regard, s'il n'est pas accompagné d'une pédagogie de l'action publique, risque de se transformer en désillusion. Car le peuple n'a pas élu des saints, mais des femmes et des hommes chargés d'une mission. Et si cette mission se résume à préserver la blancheur du drap, elle oubliera l'essentiel : changer la vie. Le syndrome du drap blanc, c'est donc cela : la volonté de rester pur dans un monde impur, de gouverner sans tacher son idéal, d'administrer sans compromis. C'est noble. C'est rare. Mais c'est risqué. L'idéal pastéfien, s'il ne s'incarne pas dans une gestion stratégique, souple et lucide, risque de se retourner contre lui-même. Le danger n'est pas la tache elle-même, mais l'incapacité à l'assumer, à la laver, à l'expliquer. Le peuple peut pardonner l'erreur, il ne pardonne pas le mensonge. Il comprend la difficulté, mais il refuse l'arrogance de l'infaillibilité. Peut-être faut-il revoir la symbolique. Non pour salir le drap, mais pour le comprendre autrement. Un drap sert à couvrir, à protéger, à accueillir le corps endormi ou blessé. Il peut être lavé, réparé, recousu. Il n'est pas fait pour rester suspendu dans l'air, figé dans une blancheur mortelle. Il vit, il palpite, il respire avec ceux qu'il abrite. Le drap blanc du Pastef doit apprendre à vivre. À se plier, sans se renier. À se salir, sans se corrompre. À se laver sans se dissoudre. C'est à cette condition que la dynamique actuelle pourra s’inscrire dans la durée. Que l’utopie d’hier ne devienne pas le carcan de demain. Le sociologue que je suis, regarde ce drap avec admiration, mais aussi avec inquiétude. Car je sais que l'histoire est faite de compromis, de renoncements partiels, de tensions fécondes. Ce n’est pas un défaut, c’est la condition humaine. Et la politique, si elle veut rester au service de l’humain, devra l’accepter. Alors que le Sénégal s’avance sur cette ligne de crête entre espérance et exigence, il lui faudra cultiver une éthique du réel. Refuser la compromission, oui, mais savoir composer avec le réel. Faire de la vertu, un moteur, non une prison. Faire de la probité une culture, non une rhétorique. Et faire du pouvoir, un service, non une scène d’exhibition morale. Le drap blanc, une fois habité avec sagesse, pourra alors devenir un tissu de liens, une matière vivante, porteuse de chaleur et de confiance. Car au fond, c’est cela que le peuple attend : non des anges, mais des êtres humains, dignes, justes, capables d’agir avec clarté, même dans l’ombre. Capables de garder leur drap propre, non parce qu’ils évitent tout contact, mais parce qu’ils savent le laver, le porter et le transmettre, intact et vivant, aux générations suivantes. Dr. Moussa Sarr CEO, Lachine Lab L'Auberge Numérique Chercheur principal Avec Setal.net, le meilleur reste à venir",
      • "content": "Le Pastef, porté par un souffle populaire inédit, a été propulsé au sommet de l'État, avec une légitimité rare dans l'histoire politique du Sénégal. Cette ascension, fruit d'une mobilisation collective, d'une colère ancienne, d'une espérance mûrie dans les marges, s'est faite sur la promesse d'un renouveau radical. Non pas seulement un changement de visages, mais une refondation des pratiques, une réhabilitation de la morale publique, une restauration du sens du bien commun. C'est sur ce socle que le drap blanc a été déplié, avec solennité, sur les institutions de la République. Mais plus le drap est blanc, plus la tache, si petite soit-elle, devient visible, criante, dramatique. Cette pureté brandie devient une norme étouffante. Les plus vertueux eux-mêmes, deviennent suspects à la moindre rumeur, au moindre soupçon d'opacité. La vertu devient intransigeance, la vigilance devient soupçon, la transparence devient lumière crue. Chacun, au sein du parti, devient non seulement garant de l'idéal, mais aussi possible fauteur de trouble. Et dans cet état de veille permanente, de peur du faux-pas, l'action politique se raidit, se retient, se complique. Le pouvoir, lui, ne s'offre jamais nu. Il est stratagème, négociation, compromis. Gouverner, c'est gérer l'ambiguïté, c'est organiser l'imparfait, c'est composer avec des forces sociales diverses, parfois contradictoires. Le drap blanc, en exigeant une clarté parfaite, peut alors se révéler handicapant. Non parce qu'il est trop propre, mais parce qu'il suppose une irréprochabilité, que nulle organisation humaine ne peut garantir sur la durée. Le risque est alors de sombrer dans le déni, ou pire, dans la dissimulation. L'obsession de la propreté devient peur de la tache, donc peur de l'action. Déjà, les premiers faux plis apparaissent. Des voix s'élèvent, inquiètes, parfois amères, devant certains choix, certaines nominations, certaines lenteurs. Le citoyen, jadis fervent, devient observateur, scrutateur. Il ne guette plus le miracle, il attend le faux-pas. Et ce regard, s'il n'est pas accompagné d'une pédagogie de l'action publique, risque de se transformer en désillusion. Car le peuple n'a pas élu des saints, mais des femmes et des hommes chargés d'une mission. Et si cette mission se résume à préserver la blancheur du drap, elle oubliera l'essentiel : changer la vie. Le syndrome du drap blanc, c'est donc cela : la volonté de rester pur dans un monde impur, de gouverner sans tacher son idéal, d'administrer sans compromis. C'est noble. C'est rare. Mais c'est risqué. L'idéal pastéfien, s'il ne s'incarne pas dans une gestion stratégique, souple et lucide, risque de se retourner contre lui-même. Le danger n'est pas la tache elle-même, mais l'incapacité à l'assumer, à la laver, à l'expliquer. Le peuple peut pardonner l'erreur, il ne pardonne pas le mensonge. Il comprend la difficulté, mais il refuse l'arrogance de l'infaillibilité. Peut-être faut-il revoir la symbolique. Non pour salir le drap, mais pour le comprendre autrement. Un drap sert à couvrir, à protéger, à accueillir le corps endormi ou blessé. Il peut être lavé, réparé, recousu. Il n'est pas fait pour rester suspendu dans l'air, figé dans une blancheur mortelle. Il vit, il palpite, il respire avec ceux qu'il abrite. Le drap blanc du Pastef doit apprendre à vivre. À se plier, sans se renier. À se salir, sans se corrompre. À se laver sans se dissoudre. C'est à cette condition que la dynamique actuelle pourra s’inscrire dans la durée. Que l’utopie d’hier ne devienne pas le carcan de demain. Le sociologue que je suis, regarde ce drap avec admiration, mais aussi avec inquiétude. Car je sais que l'histoire est faite de compromis, de renoncements partiels, de tensions fécondes. Ce n’est pas un défaut, c’est la condition humaine. Et la politique, si elle veut rester au service de l’humain, devra l’accepter. Alors que le Sénégal s’avance sur cette ligne de crête entre espérance et exigence, il lui faudra cultiver une éthique du réel. Refuser la compromission, oui, mais savoir composer avec le réel. Faire de la vertu, un moteur, non une prison. Faire de la probité une culture, non une rhétorique. Et faire du pouvoir, un service, non une scène d’exhibition morale. Le drap blanc, une fois habité avec sagesse, pourra alors devenir un tissu de liens, une matière vivante, porteuse de chaleur et de confiance. Car au fond, c’est cela que le peuple attend : non des anges, mais des êtres humains, dignes, justes, capables d’agir avec clarté, même dans l’ombre. Capables de garder leur drap propre, non parce qu’ils évitent tout contact, mais parce qu’ils savent le laver, le porter et le transmettre, intact et vivant, aux générations suivantes. Dr. Moussa Sarr CEO, Lachine Lab L'Auberge Numérique Chercheur principal",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:48:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.setal.net/photo/art/default/88416728-62629756.jpg?v=1746690681",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "setal",
      • "source_name": "Setal",
      • "source_priority": 19877971,
      • "source_url": "https://www.setal.net",
      • "source_icon": null,
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": true
      },
    • -
      {
      • "article_id": "4148138d0f944542feb8f0cfaec24473",
      • "title": "Parcelles assainies : sept (7) individus interpellés et placés en garde à vue pour trafic de drogue",
      • "link": "https://www.setal.net/Parcelles-assainies-sept-7-individus-interpelles-et-places-en-garde-a-vue-pour-trafic-de-drogue_a101375.html",
      • "keywords": null,
      • "creator": null,
      • "description": "Le commissariat d’arrondissement des Parcelles assainies a procédé à l’Interpellation de sept (07) individus pour détention, trafic d'haschich et association de malfaiteurs, a annoncé la Police nationale dans un communiqué. Cette arrestation fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel, un réseau actif de trafic de drogue dans une maison sise à la Cité Hamo 2 a été démantelé par le commissariat d’arrondissement des Parcelles assainies avec l’Interpellation de sept (07) d’entre eux ce mercredi. Parmi les sept (07) personnes, trois (03) sont accusés détention, trafic d'haschich et association de malfaiteurs, deux (02) pour détention aux fins d'usage de cinq (05) comprimés d'ecstasy, deux (02) pour détention aux fins d'usage de haschich. Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour les motifs respectifs retenus. Les produits saisis sont consignés au poste de police pour les besoins de l’enquête et les recherches se poursuivent afin d’interpeller toute personne impliquée dans cette affaire. Avec Setal.net, le meilleur reste à venir",
      • "content": "Le commissariat d’arrondissement des Parcelles assainies a procédé à l’Interpellation de sept (07) individus pour détention, trafic d'haschich et association de malfaiteurs, a annoncé la Police nationale dans un communiqué. Cette arrestation fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel, un réseau actif de trafic de drogue dans une maison sise à la Cité Hamo 2 a été démantelé par le commissariat d’arrondissement des Parcelles assainies avec l’Interpellation de sept (07) d’entre eux ce mercredi. Parmi les sept (07) personnes, trois (03) sont accusés détention, trafic d'haschich et association de malfaiteurs, deux (02) pour détention aux fins d'usage de cinq (05) comprimés d'ecstasy, deux (02) pour détention aux fins d'usage de haschich. Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour les motifs respectifs retenus. Les produits saisis sont consignés au poste de police pour les besoins de l’enquête et les recherches se poursuivent afin d’interpeller toute personne impliquée dans cette affaire.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:46:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.setal.net/photo/art/default/88416684-62629747.jpg?v=1746690474",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "setal",
      • "source_name": "Setal",
      • "source_priority": 19877971,
      • "source_url": "https://www.setal.net",
      • "source_icon": null,
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": true
      },
    • -
      {
      • "article_id": "af76b4542830010c6e88f85cd6018b2b",
      • "title": "Blocage des agréments Fintech au Sénégal : Plus de 2.000 milliards FCFA de flux perdus en six jours, selon un expert",
      • "link": "https://senego.com/blocage-des-agrements-fintech-au-senegal-plus-de-2-000-milliards-fcfa-de-flux-perdus-en-six-jours-selon-un-expert_1834991.html",
      • -
        "keywords": [
        • "agrément fintech au sénégal",
        • "général",
        • "fintech au sénégal",
        • "économie",
        • "oumar s diallo",
        • "tic",
        • "actualités",
        • "sénégal",
        • "high tech"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Diéry DIALLO"
        ],
      • "description": "Le gel du processus d’agrément des Fintechs au Sénégal a déjà un lourd coût économique. En six jours seulement, le pays aurait perdu plus de 2.000 milliards de francs CFA de flux financiers, d’après Oumar S. Diallo, consultant Fintech au sein du Groupe de Travail Digital Inclusive Finance (GTDIF). Une alerte qui met en lumière [...]",
      • "content": "Le gel du processus d’agrément des Fintechs au Sénégal a déjà un lourd coût économique. En six jours seulement, le pays aurait perdu plus de 2.000 milliards de francs CFA de flux financiers, d’après Oumar S. Diallo, consultant Fintech au sein du Groupe de Travail Digital Inclusive Finance (GTDIF). Une alerte qui met en lumière l’impact d’un retard administratif sur l’économie numérique. « Le patriotisme économique aurait voulu que nos représentants soient plus stratèges », déplore-t-il sur sa page LinkedIn. Le consultant pointe aussi l’extrême lenteur du traitement des dossiers : depuis près d’un an, plusieurs startups sénégalaises du secteur Fintech attendent la validation de leur demande de licence d’Établissement de Services de Paiement (PSP), exigée par la BCEAO. En 17 mois, un seul agrément a été accordé au Sénégal. « Pendant ce temps, nos voisins — Côte d’Ivoire, Bénin, Togo, Niger, Guinée-Bissau, Burkina Faso, Mali — n’ont peut-être pas encore délivré d’agréments non plus, mais ils n’ont bloqué personne », souligne Oumar Diallo. Malgré cette situation critique, un frémissement a été observé mardi. La BCEAO a enfin accordé des agréments à plusieurs établissements. Au Sénégal, PayDunya devient la première Fintech officiellement autorisée à exercer comme établissement de paiement, avec la possibilité d’offrir une large gamme de services financiers. En Côte d’Ivoire, Sycapay a également reçu son agrément. Si ces annonces peuvent être perçues comme un début de solution, elles arrivent tardivement pour un secteur asphyxié, alors que l’économie numérique représente un levier stratégique pour l’inclusion financière et la croissance.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:45:05",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": null,
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senego",
      • "source_name": "Senego",
      • "source_priority": 64224,
      • "source_url": "https://senego.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senego.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "senegal,africa"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "617ab36fe3708df2bb6876c5b5fc6642",
      • "title": "Cour d’appel de Dakar : Pape Alé Niang et Mody Niang condamnés",
      • "link": "https://www.setal.net/Cour-d-appel-de-Dakar-Pape-Ale-Niang-et-Mody-Niang-condamnes_a101374.html",
      • "keywords": null,
      • -
        "creator": [
        • "Bamba Toure"
        ],
      • "description": "La Cour d’appel de Dakar a rendu son verdict dans l’affaire dite du livre « Scandale au cœur de la République : Dossier du Coud », confirmant partiellement le jugement de première instance. Selon \"Les Échos\", Pape Alé Niang et Mody Niang ont été reconnus coupables de diffamation et de complicité, et condamnés à trois mois de prison assortis du sursis. Concernant les intérêts civils, la Cour les a également condamnés à verser chacun, la somme de 5 millions de francs Cfa à Cheikh Oumar Anne, bien en-deçà des 10 millions initialement prononcés par le tribunal correctionnel de Dakar, lit-on dans \"Senenews\". Ce procès, lié à la publication du livre évoquant des malversations présumées au Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), s’était tenu en décembre 2024. Toujours selon \"Les Échos\", la partie civile, représentée par Me Fatimata Sall et ses confrères, avait réclamé un montant faramineux de 10 milliards de francs Cfa en guise de dédommagement. À noter que le parquet général avait requis la confirmation du jugement de première instance, qui imposait également une amende de 200 000 francs Cfa aux deux prévenus. Dans cette affaire, jugée pour des faits datant de 2020, Cheikh Oumar Anne accuse les auteurs du livre, Pape Alé Niang et Mody Niang, ainsi que Nafi Ngom Keïta, de l’avoir diffamé en le présentant comme responsable d’importants détournements de fonds au Coud, à l’époque où il en assurait la direction. \"Les Échos\" rappelle que Mody Niang avait rédigé la préface du livre, tandis que Pape Alé Niang en était l’auteur principal. Ce dernier avait cependant déclaré, lors de sa défense, qu’il n’avait fait que reprendre le rapport établi par l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC). S’agissant de Nafi Ngom Keïta, le juge correctionnel s’était déclaré incompétent pour la juger, cette dernière ayant adressé une lettre au tribunal pour demander une dispense de comparution. D’après \"Les Échos\", cette position juridique s’explique par le statut particulier de l’ancienne présidente de l’OFNAC, qui a été mise en cause dans l’ouvrage mais n’a pas comparu personnellement. Pour rappel, ce dossier judiciaire met en lumière les tensions entre journalistes d’investigation et responsables publics, dans un contexte de gouvernance contestée. Le livre en question, qui a suscité un vif débat au sein de l’opinion publique et des milieux universitaires, pointait du doigt la gestion des ressources publiques dans un établissement clé de l’enseignement supérieur sénégalais. Malgré les condamnations, les mis en cause continuent de clamer leur innocence et affirment avoir agi dans le respect du droit à l’information et de la transparence. Avec Setal.net, le meilleur reste à venir",
      • "content": "La Cour d’appel de Dakar a rendu son verdict dans l’affaire dite du livre « Scandale au cœur de la République : Dossier du Coud », confirmant partiellement le jugement de première instance. Selon \"Les Échos\", Pape Alé Niang et Mody Niang ont été reconnus coupables de diffamation et de complicité, et condamnés à trois mois de prison assortis du sursis. Concernant les intérêts civils, la Cour les a également condamnés à verser chacun, la somme de 5 millions de francs Cfa à Cheikh Oumar Anne, bien en-deçà des 10 millions initialement prononcés par le tribunal correctionnel de Dakar, lit-on dans \"Senenews\". Ce procès, lié à la publication du livre évoquant des malversations présumées au Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), s’était tenu en décembre 2024. Toujours selon \"Les Échos\", la partie civile, représentée par Me Fatimata Sall et ses confrères, avait réclamé un montant faramineux de 10 milliards de francs Cfa en guise de dédommagement. À noter que le parquet général avait requis la confirmation du jugement de première instance, qui imposait également une amende de 200 000 francs Cfa aux deux prévenus. Dans cette affaire, jugée pour des faits datant de 2020, Cheikh Oumar Anne accuse les auteurs du livre, Pape Alé Niang et Mody Niang, ainsi que Nafi Ngom Keïta, de l’avoir diffamé en le présentant comme responsable d’importants détournements de fonds au Coud, à l’époque où il en assurait la direction. \"Les Échos\" rappelle que Mody Niang avait rédigé la préface du livre, tandis que Pape Alé Niang en était l’auteur principal. Ce dernier avait cependant déclaré, lors de sa défense, qu’il n’avait fait que reprendre le rapport établi par l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC). S’agissant de Nafi Ngom Keïta, le juge correctionnel s’était déclaré incompétent pour la juger, cette dernière ayant adressé une lettre au tribunal pour demander une dispense de comparution. D’après \"Les Échos\", cette position juridique s’explique par le statut particulier de l’ancienne présidente de l’OFNAC, qui a été mise en cause dans l’ouvrage mais n’a pas comparu personnellement. Pour rappel, ce dossier judiciaire met en lumière les tensions entre journalistes d’investigation et responsables publics, dans un contexte de gouvernance contestée. Le livre en question, qui a suscité un vif débat au sein de l’opinion publique et des milieux universitaires, pointait du doigt la gestion des ressources publiques dans un établissement clé de l’enseignement supérieur sénégalais. Malgré les condamnations, les mis en cause continuent de clamer leur innocence et affirment avoir agi dans le respect du droit à l’information et de la transparence.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:42:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.setal.net/photo/art/default/88416670-62629710.jpg?v=1746690228",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "setal",
      • "source_name": "Setal",
      • "source_priority": 19877971,
      • "source_url": "https://www.setal.net",
      • "source_icon": null,
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": true
      },
    • -
      {
      • "article_id": "4e381f9e0c092fa782588fb2ab3dcb22",
      • "title": "Recrutement spécial d’enseignants : Un quota de 216 instituteurs et professeurs pour Matam",
      • "link": "https://www.setal.net/Recrutement-special-d-enseignants-Un-quota-de-216-instituteurs-et-professeurs-pour-Matam_a101373.html",
      • "keywords": null,
      • -
        "creator": [
        • "Bamba Toure"
        ],
      • "description": "La région de Matam (nord) a reçu un quota 216 enseignants tout corps confondus, de l’élémentaire au moyen secondaire, dans le cadre du recrutement spécial de 2 000 enseignants autorisés par l’Etat, a t-on appris de l’inspecteur d’Académie, Mamoudou Oumar Guèye. ”Conformément à la répartition qui fait suite au recrutement de 2 000 enseignants, Matam a reçu 216 enseignants tout corps confondus. Le préscolaire-élémentaire en a eu 174, dont 8 en langue française, 9 en moyen et 33 au secondaire”, a détaillé M. Guèye. Interrogé, mercredi, par l’APS, il a signalé que Matam faisait partie des régions qui étaient le plus dans le besoin, compte tenu de sa position, “c’est-à-dire périphérique, mais aussi avec un fort taux de départs”. Mamoudou Oumar Guèye a rappelé que chaque année, la région enregistre beaucoup de départs d’enseignants pour plusieurs raisons. “C’est pourquoi nous avions pensé qu’il fallait une discrimination positive à l’endroit de la région de Matam. Les autorités ont suivi notre plaidoyer, pour nous donner un taux assez acceptable”, a salué M. Guèye. L’affectation de 216 enseignants va soulager les acteurs éducatifs, au regard des difficultés qu’ils avaient auparavant, a dit l’Inspecteur, précisant que les acteurs faisaient tout pour que les classes fonctionnent normalement, grâce aux sacrifices des enseignants. Mamoudou Oumar Guèye a fait savoir que des enseignants tenaient plus d’une classe et ont fait beaucoup d’efforts pour faire fonctionner normalement les classes, avant l’arrivée du nouveau personnel enseignant. Avec ces nouvelles recrues, a-t-il souligné, les directeurs d’écoles, les principaux et proviseurs seront allégés dans leurs tâches administratives ou pédagogiques;, ce qui va impacter sur les charges horaires des responsables d’établissements. L’inspecteur d’Académie est aussi revenu sur les bons résultats obtenus par la région de Matam, aux différents examens de fin d’année. “Ils sont dus à plusieurs facteurs. Beaucoup d’enseignants reprennent leurs élèves pour faire des cours particuliers, de rattrapage et de renforcement, pour procéder à des remédiations. Il y a aussi un dispositif mis en œuvre à travers les progressions, avec des rencontres entre l’IA et les chefs d’établissements”, a expliqué M. Guèye. Cela permet de voir, avec les responsables, les comportements des élèves et là où ils ont des difficultés pour pouvoir corriger et leur donner occasion de progresser avant la fin de l’année. Il a salué les énormes sacrifices fournis par les enseignants dans la région de Matam, sans oublier la hausse du quantum horaire. M. Guèye s’est aussi félicité de l’implication de la diaspora matamoise, dans la construction de salles de classes dans la région. Avec Setal.net, le meilleur reste à venir",
      • "content": "La région de Matam (nord) a reçu un quota 216 enseignants tout corps confondus, de l’élémentaire au moyen secondaire, dans le cadre du recrutement spécial de 2 000 enseignants autorisés par l’Etat, a t-on appris de l’inspecteur d’Académie, Mamoudou Oumar Guèye. ” Conformément à la répartition qui fait suite au recrutement de 2 000 enseignants, Matam a reçu 216 enseignants tout corps confondus. Le préscolaire-élémentaire en a eu 174, dont 8 en langue française, 9 en moyen et 33 au secondaire ”, a détaillé M. Guèye. Interrogé, mercredi, par l’APS, il a signalé que Matam faisait partie des régions qui étaient le plus dans le besoin, compte tenu de sa position, “ c’est-à-dire périphérique, mais aussi avec un fort taux de départs ”. Mamoudou Oumar Guèye a rappelé que chaque année, la région enregistre beaucoup de départs d’enseignants pour plusieurs raisons. “ C’est pourquoi nous avions pensé qu’il fallait une discrimination positive à l’endroit de la région de Matam. Les autorités ont suivi notre plaidoyer, pour nous donner un taux assez acceptable ”, a salué M. Guèye. L’affectation de 216 enseignants va soulager les acteurs éducatifs, au regard des difficultés qu’ils avaient auparavant, a dit l’Inspecteur, précisant que les acteurs faisaient tout pour que les classes fonctionnent normalement, grâce aux sacrifices des enseignants. Mamoudou Oumar Guèye a fait savoir que des enseignants tenaient plus d’une classe et ont fait beaucoup d’efforts pour faire fonctionner normalement les classes, avant l’arrivée du nouveau personnel enseignant. Avec ces nouvelles recrues, a-t-il souligné, les directeurs d’écoles, les principaux et proviseurs seront allégés dans leurs tâches administratives ou pédagogiques;, ce qui va impacter sur les charges horaires des responsables d’établissements. L’inspecteur d’Académie est aussi revenu sur les bons résultats obtenus par la région de Matam, aux différents examens de fin d’année. “Ils sont dus à plusieurs facteurs. Beaucoup d’enseignants reprennent leurs élèves pour faire des cours particuliers, de rattrapage et de renforcement, pour procéder à des remédiations. Il y a aussi un dispositif mis en œuvre à travers les progressions, avec des rencontres entre l’IA et les chefs d’établissements”, a expliqué M. Guèye. Cela permet de voir, avec les responsables, les comportements des élèves et là où ils ont des difficultés pour pouvoir corriger et leur donner occasion de progresser avant la fin de l’année. Il a salué les énormes sacrifices fournis par les enseignants dans la région de Matam, sans oublier la hausse du quantum horaire. M. Guèye s’est aussi félicité de l’implication de la diaspora matamoise, dans la construction de salles de classes dans la région.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:39:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.setal.net/photo/art/default/88416661-62629682.jpg?v=1746690051",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "setal",
      • "source_name": "Setal",
      • "source_priority": 19877971,
      • "source_url": "https://www.setal.net",
      • "source_icon": null,
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": true
      },
    • -
      {
      • "article_id": "07a43d7e3afdb643c7133d7ba98685ba",
      • "title": "Transactions suspectes portant sur 10 milliards FCFA : deux autres fils de Macky cités",
      • "link": "https://www.rewmi.com/transactions-suspectes-portant-sur-10-milliards-fcfa-deux-autres-fils-de-macky-cites/",
      • -
        "keywords": [
        • "macky sall amadou sall",
        • "macky sall",
        • "grande une",
        • "actualité"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mohamed"
        ],
      • "description": "L’affaire des transactions suspectes portant sur 10 milliards FCFA ne concernent pas seulement pas Amadou Sall, le fils aîné de l’ancien Président Macky Sall. Il faudra désormais intégrer son frère, Mohamed Ibrahima, et sa sœur, Khatum Derwiche. Les trois enfants de l’ancien chef de l’État sont maintenant tous placés au cœur de l’enquête de la ...Cet article Transactions suspectes portant sur 10 milliards FCFA : deux autres fils de Macky cités est apparu en premier sur Rewmi.com.",
      • "content": "L’affaire des transactions suspectes portant sur 10 milliards FCFA ne concernent pas seulement pas Amadou Sall, le fils aîné de l’ancien Président Macky Sall. Il faudra désormais intégrer son frère, Mohamed Ibrahima, et sa sœur, Khatum Derwiche. Les trois enfants de l’ancien chef de l’État sont maintenant tous placés au cœur de l’enquête de la DIC sur les transactions suspectes relevées dans le rapport de la Centif.Selon Wal fadjri Quotidien, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi 8 mai, les enquêteurs ont découvert que «SF-Farms SAS, une société sénégalaise d’élevage fondée en 2020» appartient à Amadou, Mohamed Ibrahima et Khatum Derwiche Sall.Le journal signale que cette entreprise, à l’instar de la Société civile immobilière (SCI) Newport, de SCP ASA Vinvest, «une société ivoirienne partageant la même adresse que Woodrose-Investment», et Sénégal Transport Service SARL, «aurait des liens financiers étroits et suspects» avec Farba Ngom, placé sous mandat depuis février dernier pour, notamment, blanchiment de capitaux. Si Amadou Sall a été convoqué au Pool judiciaire financier (PJF), ce mercredi 7 mai- il n’a pas déféré-, et est visé par un réquisitoire du parquet demandant son inculpation et son placement sous mandat de dépôt, son frère et sa sœur ne sont pas pour le moment inquiétés. Depuis la fin de sa présidence, Macky Sall s’est installé au Maroc avec son épouse, Marième Faye, et leurs enfants.Cet article Transactions suspectes portant sur 10 milliards FCFA : deux autres fils de Macky cités est apparu en premier sur Rewmi.com.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:38:59",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.rewmi.com/wp-content/uploads/2024/11/xMacky-Sall-annonce-que-son-retour-au-Senegal-nest-pas-prevu_thumbnail-660x330.jpg.pagespeed.ic.EnLVjvHxaV.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "rewmi",
      • "source_name": "Rewmi",
      • "source_priority": 3382429,
      • "source_url": "https://www.rewmi.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/rewmi.jpg",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {},
    • -
      {},
    • -
      {
      • "article_id": "3ed98212fa7e48520cd0221a5a38c145",
      • "title": "Alfred Gomis, Pape Gueye, Papiss Demba Cissé... : Ces joueurs sénégalais victimes de grosses escroqueries",
      • "link": "https://www.senenews.com/actualites/alfred-gomis-pape-gueye-papiss-demba-cisse-ces-joueurs-senegalais-victimes-de-grosses-escroqueries_540180.html",
      • -
        "keywords": [
        • "alfred gomis",
        • "société",
        • "sénégal - actualités"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Modou Mamoune Tine"
        ],
      • "description": "Le phénomène devient de plus en plus récurrent. Devenus des proies faciles, des footballeurs internationaux sénégalais sont victimes d’escroquerie, d’arnaque ou d’abus de confiance. Ce fléau s’explique par un problème d’entourage, mais également par la naïveté de certains footballeurs qui se font facilement rouler dans la farine.C’est une histoire à peine croyable. Actuellement joueur de Parme, en Serie B italienne, le portier international sénégalais Alfred Gomis a été victime d’un abus de confiance qui lui a coûté très cher. Ce qui devait être un projet de reconversion financièrement prometteur s’est transformé en cauchemar pour le champion d’Afrique. L’ancien Rennais a été floué dans une affaire d’escroquerie qui lui a coûté plus de 135 millions de FCFA. L’affaire, révélée par le journal Libération, met en cause un homme d’affaires nommé Mouhamed Salam Diop, arrêté par la Division des investigations criminelles (DIC). Âgé de 42 ans, ce dernier aurait trompé la vigilance du footballeur à travers plusieurs opérations financières.Alfred Gomis n’est pas la première victime. Le phénomène existe depuis longtemps, et plusieurs anciens internationaux sénégalais en ont fait les frais. L’ancien défenseur des « Lions », Ferdinand Coly, accuse Saliou Samb de lui avoir extorqué 1,2 milliard de FCFA dans le cadre d’une société d’exploitation et d’exportation de produits halieutiques appelée Blue Trade Company. Mamadou Niang, un autre ancien Lion, y avait également investi 325 millions de FCFA. Contrairement à Ferdinand Coly, Mamadou Niang n’a toutefois pas porté plainte contre Saliou Samb.« J’ai parlé, dénoncé depuis dix ans. Quand je suis monté au créneau, personne ne m’a suivi. Que ce soit la Fédération ou les autorités. J’ai été victime d’escroquerie, j’ai combattu et la justice m’a donné raison, même si le gars a renvoyé l’affaire en cassation. Je continue toujours de porter mon combat en silence. Alfred Gomis pourrait connaître le même sort s’il va au tribunal. Ils vont le faire traîner. À la fin, il va désespérer », regrette Ferdinand Coly.« Ils sont devenus les proies de soi-disant hommes de confiance et prétendus gestionnaires de patrimoine »Plusieurs footballeurs sénégalais ont perdu des sommes importantes dans des opérations censées leur rapporter gros. En 2018, l’ancien capitaine de l’équipe nationale, Mohamed Diamé, a été arnaqué dans une opération immobilière par un de ses proches, El Hadj Mar, qui l’aurait délesté de 160 millions de FCFA. En 2016, l’ancien international Abdoulaye Diagne Faye, qui voulait acheter cinq terrains à Ngor-Almadies à 25 millions FCFA la parcelle, a été floué par un certain Mame Boubou Ndir. L’ancien attaquant des « Lions », Papiss Demba Cissé, aurait également été victime d’une arnaque à hauteur de 2 milliards de FCFA.Ces footballeurs ont-ils été victimes de leur naïveté ? Pour Ferdinand Coly, les joueurs ne sont pas naïfs : « Ils sont en train de faire leur carrière, ils ont fait confiance à des investisseurs. Mais on attend la fin de leur carrière pour les escroquer. C’est trop facile. Ce sont des investissements lourds, ce sont des milliards. Ce n’est pas de la naïveté, mais parce que nous sommes tout simplement engagés à investir dans notre pays. J’ai travaillé dans ce pays, investi lourdement pour créer des emplois. Quand on touche à un joueur, on touche à la communauté. Il y a un manque de solidarité de la corporation. On n’a rien demandé, mais je pense qu’il faut dire stop, ça suffit. C’est une situation plus que gênante, et ça devient récurrent », déplore l’ancien international sénégalais, apportant son soutien au portier de Parme.Agent de joueurs, Thierno Seydi parle d’une situation qui touche beaucoup de joueurs, arnaqués par des soi-disant hommes de confiance. « Les footballeurs souffrent en silence. Mais combien de joueurs victimes d’escroquerie n’en parlent pas, par décence ou par gêne ? Ces soi-disant hommes de confiance peuvent venir de leur propre famille, de leur entourage proche, de frères, cousins, amis, connaissances, mais surtout de prétendus gestionnaires de patrimoine. C’est un fléau qui touche beaucoup de jeunes footballeurs. Au Sénégal, c’est un gros fléau », révèle Thierno Seydi.Le phénomène est devenu récurrent. Selon Khalifa Mouhamed Traoré, coach en développement personnel, il s’explique par le fait que la majorité des personnes qui gravitent autour des footballeurs sont là pour leurs propres intérêts. « Beaucoup de footballeurs ne font pas assez attention aux personnes qui les entourent. Je ne dirais pas naïveté, car dans la vie, on a besoin d’être entouré. Donc, on doit faire confiance. Mais il faut apprendre à faire confiance. Apprendre surtout à s’entourer de professionnels, pas simplement de connaissances. Il y a toujours des véreux », explique-t-il.« Le football est devenu une mafia, beaucoup de mauvaises personnes tournent autour »Les footballeurs sont parfois victimes de leur entourage. Ce sont souvent des sportifs mal entourés, qui se font avoir par leur propre agent ou leur famille. C’est le cas du milieu de terrain de Villarreal, Pape Gueye, qui s’est rendu compte, des mois après, qu’il se faisait voler de l’argent par un influenceur sénégalais lors de son passage à Marseille. Mal conseillés ou escroqués, beaucoup de footballeurs se retrouvent dans ce genre de situation. Sont-ils devenus des proies faciles ?« Ce sont en général des jeunes issus de milieux modestes, qui n’ont pas toujours le niveau intellectuel nécessaire pour gérer certaines affaires. Beaucoup de gens profitent de leur candeur pour les approcher. Ce que j’appelle souvent les rabatteurs ou porteurs de sacs. Ce sont souvent des garçons qui n’avaient pas 1 000 FCFA et qui se retrouvent avec des millions. Aujourd’hui, on parle de Gomis, mais il y a plusieurs victimes silencieuses. C’est vraiment triste. Il y a d’une part de la cupidité et d’autre part de la naïveté », tente d’expliquer Thierno Seydi.C’est dans ce sens que Khalifa Mouhamed Traoré, également juriste-conseil d’affaires et préparateur mental, invite les footballeurs à avoir un minimum de bagage intellectuel. « Je dis souvent aux footballeurs : allez jusqu’au bac. Ayez une vue sur vos investissements, une vue sur vos comptes bancaires. Et en matière d’argent, ne faites confiance à personne, pas même à vos agents. Le football est devenu presque une mafia. Il y a malheureusement beaucoup de mauvaises personnes qui tournent autour. Il y a des gens qui ne sont pas recommandables. Mais il faut souvent beaucoup de caractère. Il existe des entreprises, des cabinets spécialisés en gestion de patrimoine », souligne Khalifa Mouhamed Traoré.Impossible de connaître le nombre exact de footballeurs sénégalais victimes d’escroquerie, d’arnaque ou d’abus de confiance...",
      • "content": "Le phénomène devient de plus en plus récurrent. Devenus des proies faciles, des footballeurs internationaux sénégalais sont victimes d’escroquerie, d’arnaque ou d’abus de confiance. Ce fléau s’explique par un problème d’entourage, mais également par la naïveté de certains footballeurs qui se font facilement rouler dans la farine. C’est une histoire à peine croyable. Actuellement joueur de Parme, en Serie B italienne, le portier international sénégalais Alfred Gomis a été victime d’un abus de confiance qui lui a coûté très cher. Ce qui devait être un projet de reconversion financièrement prometteur s’est transformé en cauchemar pour le champion d’Afrique. L’ancien Rennais a été floué dans une affaire d’escroquerie qui lui a coûté plus de 135 millions de FCFA. L’affaire, révélée par le journal Libération, met en cause un homme d’affaires nommé Mouhamed Salam Diop, arrêté par la Division des investigations criminelles (DIC). Âgé de 42 ans, ce dernier aurait trompé la vigilance du footballeur à travers plusieurs opérations financières. Alfred Gomis n’est pas la première victime. Le phénomène existe depuis longtemps, et plusieurs anciens internationaux sénégalais en ont fait les frais. L’ancien défenseur des « Lions », Ferdinand Coly, accuse Saliou Samb de lui avoir extorqué 1,2 milliard de FCFA dans le cadre d’une société d’exploitation et d’exportation de produits halieutiques appelée Blue Trade Company. Mamadou Niang, un autre ancien Lion, y avait également investi 325 millions de FCFA. Contrairement à Ferdinand Coly, Mamadou Niang n’a toutefois pas porté plainte contre Saliou Samb. « J’ai parlé, dénoncé depuis dix ans. Quand je suis monté au créneau, personne ne m’a suivi. Que ce soit la Fédération ou les autorités. J’ai été victime d’escroquerie, j’ai combattu et la justice m’a donné raison, même si le gars a renvoyé l’affaire en cassation. Je continue toujours de porter mon combat en silence. Alfred Gomis pourrait connaître le même sort s’il va au tribunal. Ils vont le faire traîner. À la fin, il va désespérer », regrette Ferdinand Coly. Plusieurs footballeurs sénégalais ont perdu des sommes importantes dans des opérations censées leur rapporter gros. En 2018, l’ancien capitaine de l’équipe nationale, Mohamed Diamé, a été arnaqué dans une opération immobilière par un de ses proches, El Hadj Mar, qui l’aurait délesté de 160 millions de FCFA. En 2016, l’ancien international Abdoulaye Diagne Faye, qui voulait acheter cinq terrains à Ngor-Almadies à 25 millions FCFA la parcelle, a été floué par un certain Mame Boubou Ndir. L’ancien attaquant des « Lions », Papiss Demba Cissé, aurait également été victime d’une arnaque à hauteur de 2 milliards de FCFA. Ces footballeurs ont-ils été victimes de leur naïveté ? Pour Ferdinand Coly, les joueurs ne sont pas naïfs : « Ils sont en train de faire leur carrière, ils ont fait confiance à des investisseurs. Mais on attend la fin de leur carrière pour les escroquer. C’est trop facile. Ce sont des investissements lourds, ce sont des milliards. Ce n’est pas de la naïveté, mais parce que nous sommes tout simplement engagés à investir dans notre pays. J’ai travaillé dans ce pays, investi lourdement pour créer des emplois. Quand on touche à un joueur, on touche à la communauté. Il y a un manque de solidarité de la corporation. On n’a rien demandé, mais je pense qu’il faut dire stop, ça suffit. C’est une situation plus que gênante, et ça devient récurrent », déplore l’ancien international sénégalais, apportant son soutien au portier de Parme. Agent de joueurs, Thierno Seydi parle d’une situation qui touche beaucoup de joueurs, arnaqués par des soi-disant hommes de confiance. « Les footballeurs souffrent en silence. Mais combien de joueurs victimes d’escroquerie n’en parlent pas, par décence ou par gêne ? Ces soi-disant hommes de confiance peuvent venir de leur propre famille, de leur entourage proche, de frères, cousins, amis, connaissances, mais surtout de prétendus gestionnaires de patrimoine. C’est un fléau qui touche beaucoup de jeunes footballeurs. Au Sénégal, c’est un gros fléau », révèle Thierno Seydi. Le phénomène est devenu récurrent. Selon Khalifa Mouhamed Traoré, coach en développement personnel, il s’explique par le fait que la majorité des personnes qui gravitent autour des footballeurs sont là pour leurs propres intérêts. « Beaucoup de footballeurs ne font pas assez attention aux personnes qui les entourent. Je ne dirais pas naïveté, car dans la vie, on a besoin d’être entouré. Donc, on doit faire confiance. Mais il faut apprendre à faire confiance. Apprendre surtout à s’entourer de professionnels, pas simplement de connaissances. Il y a toujours des véreux », explique-t-il. Les footballeurs sont parfois victimes de leur entourage. Ce sont souvent des sportifs mal entourés, qui se font avoir par leur propre agent ou leur famille. C’est le cas du milieu de terrain de Villarreal, Pape Gueye , qui s’est rendu compte, des mois après, qu’il se faisait voler de l’argent par un influenceur sénégalais lors de son passage à Marseille. Mal conseillés ou escroqués, beaucoup de footballeurs se retrouvent dans ce genre de situation. Sont-ils devenus des proies faciles ? « Ce sont en général des jeunes issus de milieux modestes, qui n’ont pas toujours le niveau intellectuel nécessaire pour gérer certaines affaires. Beaucoup de gens profitent de leur candeur pour les approcher. Ce que j’appelle souvent les rabatteurs ou porteurs de sacs. Ce sont souvent des garçons qui n’avaient pas 1 000 FCFA et qui se retrouvent avec des millions. Aujourd’hui, on parle de Gomis, mais il y a plusieurs victimes silencieuses. C’est vraiment triste. Il y a d’une part de la cupidité et d’autre part de la naïveté », tente d’expliquer Thierno Seydi. C’est dans ce sens que Khalifa Mouhamed Traoré, également juriste-conseil d’affaires et préparateur mental, invite les footballeurs à avoir un minimum de bagage intellectuel. « Je dis souvent aux footballeurs : allez jusqu’au bac. Ayez une vue sur vos investissements, une vue sur vos comptes bancaires. Et en matière d’argent, ne faites confiance à personne, pas même à vos agents. Le football est devenu presque une mafia. Il y a malheureusement beaucoup de mauvaises personnes qui tournent autour. Il y a des gens qui ne sont pas recommandables. Mais il faut souvent beaucoup de caractère. Il existe des entreprises, des cabinets spécialisés en gestion de patrimoine », souligne Khalifa Mouhamed Traoré. Impossible de connaître le nombre exact de footballeurs sénégalais victimes d’escroquerie, d’arnaque ou d’abus de confiance...",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:30:15",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.senenews.com/wp-content/uploads/2025/05/r9.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "senenews",
      • "source_name": "Senenews",
      • "source_priority": 730335,
      • "source_url": "https://www.senenews.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/senenews.png",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "0a933759d03ecc2462d98aff7c9f3f44",
      • "title": "SAHEL ET AFRIQUE DU NORD : Près de 600 Sénégalais rapatriés en 3 mois",
      • "link": "https://www.rewmi.com/sahel-et-afrique-du-nord-pres-de-600-senegalais-rapatries-en-3-mois/",
      • -
        "keywords": [
        • "société",
        • "grande une",
        • "migrants"
        ],
      • -
        "creator": [
        • "Mohamed"
        ],
      • "description": "Plus de 550 Sénégalais ont été rapatriés d’Afrique du Nord et du Sahel, à leur demande, entre janvier et avril 2025 d’après le gouvernement sénégalais. Du fait des politiques restrictives et des conditions de vie extrêmement difficiles dans les pays de transit, les migrants décident de plus en plus de rentrer dans leur pays d’origine. ...Cet article SAHEL ET AFRIQUE DU NORD : Près de 600 Sénégalais rapatriés en 3 mois est apparu en premier sur Rewmi.com.",
      • "content": "Plus de 550 Sénégalais ont été rapatriés d’Afrique du Nord et du Sahel, à leur demande, entre janvier et avril 2025 d’après le gouvernement sénégalais. Du fait des politiques restrictives et des conditions de vie extrêmement difficiles dans les pays de transit, les migrants décident de plus en plus de rentrer dans leur pays d’origine.Entre janvier et avril 2025, 591 Sénégalais ont été rapatriés “volontairement” selon les données, révélées le 6 mai, du Bureau d’accueil, d’orientation et de suivi des Sénégalais de l’extérieur et des migrants (BAOS) – qui dépend du ministère sénégalais des Affaires étrangères. La majorité d’entre eux étaient des hommes (506), mais les autorités ont également recensé 51 femmes ainsi que 34 enfants.Les candidats à l’émigration résidaient illégalement dans des pays de transit situés en Afrique du Nord ou au Sahel. Depuis la Tunisie, le Maroc, le Niger, l’Egypte, l’Algérie, le Tchad, la Mauritanie et la Libye, ils espéraient ensuite pouvoir gagner l’Europe.Les Sénégalais fuient généralement une vie sans perspective dans leur pays. Comme d’autres États dans le monde, l’inflation, liée notamment à la guerre en Ukraine, a plombé l’économie du Sénégal. Le prix des matières premières s’est envolé. La surpêche menace le secteur de la pêche locale et la raréfaction des poissons s’aggrave avec le changement climatique.Les candidats embarquent soit clandestinement sur des pirogues en bois dans l’Atlantique pour tenter de rejoindre les Canaries espagnoles, soit s’aventurent par la voie terrestre vers l’Afrique du nord, en espérant traverser la Méditerranée.Chaque année, des milliers de morts sont recensés, aussi bien sur terre que dans les eaux de l’Atlantique ou de la mer Méditerranée.D’après le coordinateur national du BAOS, Khadim Bamba Fall, les migrants rapatriés avaient exprimé leur désir de rentrer au Sénégal. Il a également précisé que d’autres démarches sont en cours pour permettre le retour de ressortissants dans des situations similaires.Les politiques de plus en plus répressives contre les migrants illégaux, la criminalisation des ONG leur venant en aide ainsi que la montée d’un sentiment xénophobe et raciste contribuent à la brutale dégradation de leurs conditions de vie dans les pays de transit. Précarisés, les migrants sont désormais pris pour cibles et victimes d’attaques physiques, notamment en Tunisie.Dans le même temps, le renforcement des accords de coopération entre les pays de transit et l’Union européenne (UE) a accentué les contrôles des côtes africaines mais aussi européennes, afin de limiter les départs et arrivées d’embarcations.Déjà 200 Sénégalais rentrés « volontairement » chez eux en octobre 2024De plus en plus de migrants font désormais le choix du « retour volontaire » vers leur pays d’origine. En octobre 2024, plus de 200 Sénégalais avaient déjà été rapatriés “volontairement” du Maroc dans le cadre d’un accord commun déployé entre les deux pays pour faciliter le « retour volontaire » des migrants irréguliers.L’an dernier, un nombre record d’exilés en Tunisie étaient retournés chez eux via l’Organisation internationale des migrations (OIM) : 7 250 personnes contre 2 250 en 2023. Des rapatriements « volontaires » encouragés par le président tunisien Kaïs Saïed. « Toutes les organisations » devraient soutenir « davantage les efforts tunisiens visant à faciliter le ‘retour volontaire’ des migrants irréguliers », avait-il déclaré fin mars. Le chef de l’État avait regretté que « seuls 1 544 migrants » aient été rapatriés durant les trois premiers mois de l’année.Selon les derniers chiffres des autorités tunisiennes, pour le seul mois d’avril 2025, un peu plus de 1 000 Africains subsahariens sont rentrés « volontairement » dans leur pays d’origine. Et ce chiffre devrait continuer à augmenter puisqu’à partir de ce mois de mai, un vol par semaine doit être affrété depuis la Tunisie pour faciliter ces retours « volontaires ».Pour les ONG, c’est un constat d’échec. Ces Africains n’ont pas eu d’autres choix que de fuir la Tunisie après être devenus les boucs émissaires d’une politique présidentielle devenue virulente à leur égard.Programme de réintégration des migrantsAfin de limiter de nouveaux départs vers l’Europe, le programme de protection, de retour et de réintégration des migrants en Afrique subsaharienne a été déployé par l’OIM dans 16 pays de la région, dont le Sénégal. Des formations dans plusieurs secteurs, des subventions financières pour développer un projet ainsi que le financement d’équipement sont dispensés aux migrants de retour pour favoriser leur autonomie et réinstallation dans leur pays.« Nous saluons la collaboration continue avec les autorités nationales et les partenaires techniques et financiers pour créer des solutions de retour et de réintégration alignées sur les réalités locales », a déclaré Mme Aissata Kane, Cheffe de mission de l’OIM au Sénégal.Cet article SAHEL ET AFRIQUE DU NORD : Près de 600 Sénégalais rapatriés en 3 mois est apparu en premier sur Rewmi.com.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:20:40",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://www.rewmi.com/wp-content/uploads/2025/05/x712d7cd1e880604547920b2a448b3b593ea507cb-660x330.jpg.pagespeed.ic.fXX239Ur2s.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "rewmi",
      • "source_name": "Rewmi",
      • "source_priority": 3382429,
      • "source_url": "https://www.rewmi.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/rewmi.jpg",
      • "language": "french",
      • -
        "country": [
        • "senegal"
        ],
      • -
        "category": [
        • "top"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "awards and recognitions"
        ],
      • -
        "ai_region": [
        • "africa"
        ],
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": false
      },
    • -
      {
      • "article_id": "01a5f860287b0cafdcbeae733ef70bca",
      • "title": "We Played 30 Hours of Death Stranding 2: On the Beach!",
      • "link": "https://za.ign.com/death-stranding-2/209440/preview/we-played-30-hours-of-death-stranding-2-on-the-beach",
      • -
        "keywords": [
        • "playstation",
        • "ps5",
        • "norman reedus",
        • "hideo kojima",
        • "preview",
        • "death stranding 2"
        ],
      • "creator": null,
      • "description": "New enemies, new world, new connections?2019’s Death Stranding transcended the framework of ordinary video games by metaphorically depicting cosmology and even anthropology through the act of delivery.It was a game that challenged the idea of human connection through refreshing gameplay mechanics that fundamentally reexamined the very act of movement. To me, Death Stranding was an ...",
      • "content": "2019’s Death Stranding transcended the framework of ordinary video games by metaphorically depicting cosmology and even anthropology through the act of delivery. Death Stranding 2: On the Beach can be seen as an attempt to take the premises of the first game to the next level. While taking the player on a journey across the border of the UCA (United Cities of America), its symbolic depiction of connection feels more dynamic yet less certain than its predecessor. What questions will the new journey of legendary deliverer Sam Porter Bridges bring, and how will they be answered? While it was explicitly stated that what I played was not the final version of the game, the playable portions demonstrated a density and completeness you would expect from a final product. Fundamental elements such as movement, dialogue, and presentation are highly integrated, and the intention to expand upon the experience that the first game delivered was evident throughout. In the first game, Sam reconstructed connections between people while uncovering the truth behind Death Stranding, a mysterious phenomenon that caused disconnection between cities. Through Sam's journey of delivering supplies, players experienced movement in a way video games had not offered before, while the story gradually unfolded its views on life, death, and cosmological visions. The setting of Death Stranding 2 moves from the rebuilt UCA to the Mexican border region. Bridges, the organization that previously handled delivery operations, has withdrawn from delivery, and instead, an automated delivery system called APAS is now operating with unmanned vehicles. Sam was living quietly with his daughter Lou in a remote area of Mexico, but at the request of Fragile, another returning character, he takes on delivery missions again in this region where the communication infrastructure is undeveloped. A new journey quietly begins to reconnect the Chiral Network, a communication network similar to the internet. The photorealistic graphics that meticulously depict Mexico's desolate land are nothing short of impressive. From the texture of the dried surface to faintly rippling sand dust and rocky mountains in the distance, Death Stranding 2’s visuals drew me in right away. Photorealistic modeling and subtle facial expressions of characters have also largely improved from the first game, and the art style creates an aesthetic that transcends mere realism, forming a powerful foundation supporting its surrealistic worldview and story. The part that plays in Mexico functions more or less like a tutorial, not just in terms of gameplay, but also story and settings. While the first one overwhelmed players with numerous terms and settings in its early hours, Death Stranding 2 is conscious of being accessible even without prior knowledge. The sequel also offers a recap mode in novel style narrated by Deadman. The original Death Stranding left a strong impression by overwhelming players with a vast amount of information from the beginning. By doing so, it undeniably confused more casual players not used to such a convoluted story. In contrast, Death Stranding 2 introduces a glossary function called Corpus, showing careful consideration for players who have not played the first game or those who did but found it too complicated. I feel that the game design of Hideo Kojima's works often comes in three layers. For example, the Metal Gear series’ gameplay consists of infiltration, danger, and stealth while its movement can be divided into walking, crouching, and crawling. The same philosophy can also be seen in Death Stranding. For example, your scanning device Odradek visualizes terrain danger levels in three different colors. Death Stranding 2 follows the same rules. Just like in the original, the player once again has to manage cargo weight and balance while traversing unstable natural terrain. Footing must be secured on slopes, while the center of gravity must be controlled to avoid being swept away in rapid water streams. The risk of cargo damage is present throughout the process, which makes traversing the world itself a nerve-wrecking task. Constructions such as ropes and ladders can be used to traverse the world more conveniently. These infrastructures go beyond individual player experiences, as structures installed by other players are shared in the world as the Social Strand System. As you make use of ladders and bridges left by someone else, the solitary exercise of delivery gradually transforms into a more connected and social experience. In addition to highways, Death Stranding 2 allows the player to construct monorails too, which makes traversing its world a lot smoother. Highways and monorails require a lot of materials, forcing the player to utilize the mines to gather materials. As a result, establishing trade routes has become more central to gameplay than it was the first time around. While traversing the world itself has become more convenient, environments have become more challenging in return. The width of rivers can double due to rainfall, while natural hazards such as earthquakes called “gate quakes” and sandstorms can occur. As a new feature, the time of the day also changes in real time, which causes additional challenges for Sam. These natural elements interfere with player actions in various ways, such as footing collapsing due to flooding and earthquakes, or visibility worsening due to sandstorms and nightfall. To overcome these conditions, the sequel also boasts more room for customization. The “Porter Grade” indicates Sam’s current proficiency in a more direct way, while a new system called APAS Enhancement allows you to use skill points to enhance stats and obtain new abilities. From weapon power enhancement to weather analysis and footprint erasure, you can choose to have Sam specialize in either delivery, movement or combat skills. That means that while preparing your cargo was pretty much the only thing you could do to get ready for a new delivery in the first game, you can now also prepare by customizing Sam’s abilities according to your preference. Sam’s skills show that once again, Kojima is utilizing three layers of gameplay in which the player can tackle the game’s missions and obstacles. However, while delivery, movement and combat skills can all be customized, combat plays a greater role in Death Stranding 2. Combat, meanwhile, occurs much more frequently and has become more flexible in Death Stranding 2. In the first game, combat was limited and functioned merely as a way to secure supplies or to make your way through bases. Death Stranding Director’s Cut already added infiltration missions into Mule bases, but Death Stranding 2 builds more varied stages and systematized combat in the open world, seemingly as an extension of that. New human enemy forces such as Bandits and Armed Survivalists appear, and their bases are designed as stages with simple three-dimensional structures. When infiltrating these bases, players are often forced to engage in combat. BTs, or creatures that appeared due to the Death Stranding phenomenon, also have new types. Larger BTs with stronger attacks make the combat more challenging than it was last time. Combat has become more tactical as well. By throwing a speaking doll called Dollman, you can observe the insides of bases from above to grasp enemy placement and movement lines. While close combat remains important, remote stealth attacks with the Blood Boomerang, precision shooting with sniper rifles, and utilizing assault rifles and grenade launchers give the player a multitude of new options. It's even possible to put down Sam’s backpack, allowing for more agile and nimble movement by completely separating him from his cargo. Weight management directly connects to mobility, which greatly enhances tactical flexibility. Whether to engage in direct combat, choose stealth or avoid combat altogether, freedom of approach has increased when compared to the first game. The APAS Enhancement even allows you to refund skill points, welcoming trial and error to find the playstyle that suits you best. Death Stranding 2 has four difficulty settings – Story, Casual, Normal (which I played), and Brutal – providing flexibility in how much you want to invest in the game’s expanded combat as well. As partially revealed in trailers, after a series of dramatic events, Sam will cooperate with Drawbridge, a civilian company established by Fragile. The setting moves from Mexico to Australia, and a journey to spread the Chiral network begins once again. A mobile base called DHV Magellan (Deep-Tar Hunting Vessel), named after the explorer Ferdinand Magellan who travelled around the world, functions as a hub for the player. As the name DHV Magellan suggests, the story steps into themes reminiscent of colonial domination. Furthermore, the rise of a private political organization called APAC (Automated Public Assistance Company) shows similarities with the PMC (Private Military Company) depicted in Metal Gear Solid 4. Since I haven't witnessed the story to its conclusion, it is too early to speculate on how these motifs will come to fruition in the full game. In Death Stranding, people were isolated and only porters traversed the dangerous outside world, which has been noted by many as a portrayal that seemed to foresee the Covid-19 pandemic. In Death Stranding 2, the APAC seems to resonate with recent movements of America's DOGE (Department of Government Efficiency). With such eerie points of convergence with reality, I can't help but feel that there is a significance worth noting in contemporary times regarding how connections will be redefined in Death Stranding 2. Of particular note is the presence of actor Luca Marinelli, who plays a mysterious man. Both Marinelli’s acting ability and the presentation of scenes he appears in leave a strong impression. The mystery of who this man is and why he stands in Sam's way will have players speculating for sure. Marinelli and his character are just as captivating as Mads Mikkelsen’s Cliff was in the first game. One concern I had during my 30 hours with the campaign was that I realized that the trailers contain content that delves quite deeply into the main story, to the extent that a lot of what happened throughout the game I was already somewhat aware of. Could it be that too much has been given away in the trailers? Or is there a big surprise awaiting players when Death Stranding 2’s full picture is revealed? We can only eagerly await the game’s June 26 release.",
      • "pubDate": "2025-05-08 07:01:00",
      • "pubDateTZ": "UTC",
      • "image_url": "https://sm.ign.com/t/ign_za/video/w/we-played-/we-played-death-stranding-2-for-30-hours_upvr.640.jpg",
      • "video_url": null,
      • "source_id": "ign_za",
      • "source_name": "Ign Africa",
      • "source_priority": 121,
      • "source_url": "https://za.ign.com",
      • "source_icon": "https://i.bytvi.com/domain_icons/ign_za.png",
      • "language": "english",
      • -
        "country": [
        • "gabon",
        • "namibia",
        • "egypt",
        • "rwanda",
        • "niger",
        • "south africa",
        • "djibouti",
        • "comoros",
        • "nigeria",
        • "morocco",
        • "tanzania",
        • "ethiopia",
        • "sudan",
        • "mozambique",
        • "ghana",
        • "madagascar",
        • "cameroon",
        • "somalia",
        • "senegal",
        • "zambia",
        • "malawi",
        • "mali",
        • "ivory coast",
        • "uganda",
        • "angola",
        • "algeria",
        • "kenya",
        • "dr congo",
        • "libya",
        • "mauritania",
        • "tunisia",
        • "zimbabwe"
        ],
      • -
        "category": [
        • "entertainment"
        ],
      • "sentiment": "neutral",
      • -
        "sentiment_stats": {},
      • -
        "ai_tag": [
        • "entertainment",
        • "gaming"
        ],
      • "ai_region": null,
      • "ai_org": null,
      • "duplicate": true
      }
    ],
  • "nextPage": "1746687660837845861"
}

Sub-Categories

top sports technology business science entertainment health world politics environment food