Madagascar News API

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The country paramter for the Madagascar is MG.

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https://newsdata.io/api/1/sources?country=mg&apikey=YOUR_API_KEY

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Headlines from Madagascar

https://newsdata.io/api/1/latest?country=mg&apikey=YOUR_API_KEY

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Il est en cours d’édification sur le côté gauche de la route dans le sens allant vers l’aéroport international. Il se trouve juste à côté du camp du 1er bataillon parachutiste, Ivato.Construit sur une surface de 2 hectares, le village touristique comprendra deux cent quarante box, une zone d’exposition et de démonstration du savoir-faire des artisans, un espace restauration et un parking pouvant accueillir cent trente véhicules. Les stands sont construits sur le modèle des maisons traditionnelles des Hautes-Terres afin d’accentuer le cachet artisanal. Un guichet unique sera à disposition des touristes pour les autorisations nécessaires au transport de certains produits artisanaux. L’accent est aussi mis sur la sécurité des lieux.«Les lieux seront ouverts jusqu’au départ du dernier vol international», indique le locataire d’Iavoloha. Pour permettre au site d’ouvrir jour et nuit, l’approvisionnement en électricité par la Jirama sera appuyé par de l’énergie photovoltaïque, selon le responsable du chantier. «Ce projet est le fruit d’une profonde réflexion. Le but est de valoriser notre artisanat et de donner un écrin aux acteurs de ce secteur», ajoute-t-il. Il y a aussi un but économique, à l’entendre.«L’artisanat génère 20 millions de dollars d’exportation par an actuellement. On peut l’augmenter à 50 millions de dollars, voire plus», ajoute le président de la République. Le village touristique d’Ivato aura ainsi vocation à être une vitrine de l’artisanat malgache. Le choix de le placer juste à côté de l’aéroport international, qui est la porte d’entrée et de sortie du pays, est dans le but d’en faire un endroit incontournable pour les touristes, explique le chef de l’État.Juste après, le président Rajoelina et sa suite ont rejoint le second site, à quelques centaines de mètres en face, sur le bord du lac Iarivo, afin de faire la présentation du grand projet d’aménagement urbain qui y est également en cours. Projet transformateurEn plus du village touristique, le projet Lake Iarivo est structuré en treize zones thématiques réparties sur 11 kilomètres au bord du lac éponyme et le long du boulevard Tsarasaotra, jusqu’à hauteur de l’entrée de la future rocade menant vers l’autoroute Antananarivo - Toamasina. «Je vous assure qu’il s’agit d’un projet qui transformera l’image de la capitale et de Madagascar. (...) Ayez confiance en moi, nous y parviendrons», soutient Andry Rajoelina, en ajoutant : «On nous dit que nous sommes pauvres, que nous ne pouvons pas progresser. Nous allons démontrer que nous avançons, que nous avons une vision.» Outre en faire un nouveau joyau d’Antananarivo, le chef de l’État, qui serait à l’initiative du projet, veut en faire un pôle économique et un lieu de plaisance «pour tous».L’eau du lac accueillera un bateau-restaurant et des pédalos. Le tour de 30 minutes en pédalos sera gratuit, affirme le locataire d’Iavoloha. Un jet d’eau géant y sera également installé. Sur le bord, il y aura notamment une esplanade et une zone de promenade, des pistes pour les cyclistes. Des vélos classiques et électriques seront mis en location. «Si les entrepreneurs parviennent à terminer l’esplanade et le jet d’eau à temps, c’est ici que nous allons lancer les traditionnels feux d’artifice la veille de la prochaine fête nationale», indique Andry Rajoelina.Durant sa présentation du projet Lake Iarivo, le président de la République a également indiqué que le complexe comprendra le Palais du futur et de l’innovation, un hôtel cinq étoiles et un quai comprenant des restaurants. Une zone populaire de 7 hectares, avec des aires de jeux et un espace de sport à l’extérieur, ainsi qu’un espace botanique avec des plantes endémiques et un parc d’exposition, en feront également partie. Des bus électriques, «qui arriveront à Madagascar d’ici un mois», desserviront le site, ajoute le chef de l’État.Tout en soulignant la nécessité de créer un espace public de qualité pour les habitants d’Antananarivo, Andry Rajoelina concède que le projet est «ambitieux», en ajoutant : «Nous n’attendrons pas des années pour voir ce projet se matérialiser. Il sera terminé d’ici le mois d’août.» Le président de la République déclare également : «Certains diront que ce n’est qu’un rêve, mais une personne qui n’a pas de rêve ne peut pas avancer. C’est le rêve et la vision qui conduisent à la concrétisation.» Vu l’envergure du chantier, la deadline sera un des principaux challenges.Garry Fabrice Ranaivoson",
      • "content": "Le président de la République a effectué une descente à Ivato et sur la rocade Tsarasaotra, hier, pour présenter le projet Lake Iarivo. Accompagné d’un village artisanal, le chantier est annoncé comme devant être le symbole du progrès d’Antananarivo. Rendez-vous en août. C’est la deadline indiquée par Andry Rajoelina, président de la République, pour la livraison des deux chantiers qu’il a présentés, hier. Il s’agit du projet Lake Iarivo qui comprend également le village touristique, le second projet dont il a fait la présentation. Les deux chantiers se trouvent aux abords du lac Iarivo, à Ivato, d’où le nom du projet. «Ce projet transformera le visage d’Antananarivo et affirmera son statut de capitale de Madagascar», déclare ainsi le chef de l’État. Selon lui, ce sera la matérialisation de la vision de modernisation de la capitale. Le président Rajoelina a démarré la séance de présentation sur site par le village touristique. Il est en cours d’édification sur le côté gauche de la route dans le sens allant vers l’aéroport international. Il se trouve juste à côté du camp du 1er bataillon parachutiste, Ivato. Construit sur une surface de 2 hectares, le village touristique comprendra deux cent quarante box, une zone d’exposition et de démonstration du savoir-faire des artisans, un espace restauration et un parking pouvant accueillir cent trente véhicules. Les stands sont construits sur le modèle des maisons traditionnelles des Hautes-Terres afin d’accentuer le cachet artisanal. Un guichet unique sera à disposition des touristes pour les autorisations nécessaires au transport de certains produits artisanaux. L’accent est aussi mis sur la sécurité des lieux. «Les lieux seront ouverts jusqu’au départ du dernier vol international», indique le locataire d’Iavoloha. Pour permettre au site d’ouvrir jour et nuit, l’approvisionnement en électricité par la Jirama sera appuyé par de l’énergie photovoltaïque, selon le responsable du chantier. «Ce projet est le fruit d’une profonde réflexion. Le but est de valoriser notre artisanat et de donner un écrin aux acteurs de ce secteur», ajoute-t-il. Il y a aussi un but économique, à l’entendre. «L’artisanat génère 20 millions de dollars d’exportation par an actuellement. On peut l’augmenter à 50 millions de dollars, voire plus», ajoute le président de la République. Le village touristique d’Ivato aura ainsi vocation à être une vitrine de l’artisanat malgache. Le choix de le placer juste à côté de l’aéroport international, qui est la porte d’entrée et de sortie du pays, est dans le but d’en faire un endroit incontournable pour les touristes, explique le chef de l’État. Juste après, le président Rajoelina et sa suite ont rejoint le second site, à quelques centaines de mètres en face, sur le bord du lac Iarivo, afin de faire la présentation du grand projet d’aménagement urbain qui y est également en cours. Projet transformateur En plus du village touristique, le projet Lake Iarivo est structuré en treize zones thématiques réparties sur 11 kilomètres au bord du lac éponyme et le long du boulevard Tsarasaotra, jusqu’à hauteur de l’entrée de la future rocade menant vers l’autoroute Antananarivo - Toamasina. «Je vous assure qu’il s’agit d’un projet qui transformera l’image de la capitale et de Madagascar. (...) Ayez confiance en moi, nous y parviendrons», soutient Andry Rajoelina, en ajoutant : «On nous dit que nous sommes pauvres, que nous ne pouvons pas progresser. Nous allons démontrer que nous avançons, que nous avons une vision.» Outre en faire un nouveau joyau d’Antananarivo, le chef de l’État, qui serait à l’initiative du projet, veut en faire un pôle économique et un lieu de plaisance «pour tous». L’eau du lac accueillera un bateau-restaurant et des pédalos. Le tour de 30 minutes en pédalos sera gratuit, affirme le locataire d’Iavoloha. Un jet d’eau géant y sera également installé. Sur le bord, il y aura notamment une esplanade et une zone de promenade, des pistes pour les cyclistes. Des vélos classiques et électriques seront mis en location. «Si les entrepreneurs parviennent à terminer l’esplanade et le jet d’eau à temps, c’est ici que nous allons lancer les traditionnels feux d’artifice la veille de la prochaine fête nationale», indique Andry Rajoelina. Durant sa présentation du projet Lake Iarivo, le président de la République a également indiqué que le complexe comprendra le Palais du futur et de l’innovation, un hôtel cinq étoiles et un quai comprenant des restaurants. Une zone populaire de 7 hectares, avec des aires de jeux et un espace de sport à l’extérieur, ainsi qu’un espace botanique avec des plantes endémiques et un parc d’exposition, en feront également partie. Des bus électriques, «qui arriveront à Madagascar d’ici un mois», desserviront le site, ajoute le chef de l’État. Tout en soulignant la nécessité de créer un espace public de qualité pour les habitants d’Antananarivo, Andry Rajoelina concède que le projet est «ambitieux», en ajoutant : «Nous n’attendrons pas des années pour voir ce projet se matérialiser. Il sera terminé d’ici le mois d’août.» Le président de la République déclare également : «Certains diront que ce n’est qu’un rêve, mais une personne qui n’a pas de rêve ne peut pas avancer. 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      • "description": "L’humoriste français Rodrigue a fait rire le public de La City Ivandry jeudi soir.Jeudi soir, la salle de La City Ivandry a fait salle comble pour accueillir l’humoriste français Rodrigue. Un spectacle à guichets fermés, où les rires ont fusé dans une ambiance chaleureuse.L'Express de Madagascar : Quel est votre ressenti après ce spectacle ?Rodrigue : Franchement, c’était génial. Je suis très content de la première partie assurée par Sombiniaina, qui l’avait déjà faite l’année dernière. Le stand-up, c’est un milieu assez compliqué. Il faut éduquer le public malgache au stand-up. Il faut que les gens soient concentrés, il faut leur demander de suivre le spectacle. En France, ce genre est encore récent, alors ici à Madagascar, c’est tout nouveau. Il faut expliquer au public de ne pas discuter entre eux, de ne pas être sur leur téléphone. Le métier d’humoriste, c’est aussi de la pédagogie.Avez-vous ressenti une évolution par rapport à votre prestation de l’an dernier ?L’an dernier, j’étais déjà bien connecté avec le public. Cette année aussi. Mais je dirais que j’ai gagné en aisance. Je me sens plus fort chaque année, plus confiant sur scène.Que pensez-vous de la prestation de Sombiniaina en première partie ? Et du stand-up malgache en général ?Sa prestation était excellente. On a entendu des rires, et beaucoup d’applaudissements. Le stand-up à Madagascar est un phénomène très récent. J’ai rencontré ici des humoristes que j’avais vus en France. Si je ne dis pas de bêtises, ils ont lancé le premier comedy club à Tana. C’est un mouvement en pleine éclosion qui, j’en suis sûr, va prendre de l’ampleur.Qu’est-ce qui vous a motivé à revenir à Madagascar cette année ? Peut-on espérer une troisième édition ?Je suis revenu pour des raisons personnelles. Comme j’avais déjà joué ici l’an dernier et que je connais l’organisatrice, je me suis dit : pourquoi ne pas refaire un spectacle ? C’est toujours un plaisir de revenir, Madagascar est un pays magnifique.Selon vous, que faudrait-il pour valoriser davantage le stand-up à Madagascar ?Il faudrait créer des lieux dédiés à ça, investir dans du matériel de qualité, une bonne régie, et surtout assurer une bonne communication autour des spectacles. Il faut encourager les artistes à se professionnaliser.Quel a été votre moment préféré durant le spectacle ?L’interaction avec le public. J’adore ça, j’en ai besoin. C’est ce qui rend chaque spectacle unique.Nicole Rafalimananjara et Riantsoa Noah",
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      • "description": "L’intervention des gendarmes a permis de repousser les malfaiteurs juste à temps.Des éléments d’intervention de la gendarmerie ont été accueillis à coups de tirs nourris. Un fugitif tristement connu est tombé dans la fusillade.Une vague de terreur s’est abattue sur Maritampona Ambararatabe. Dans la soirée d’avant-hier aux alentours de 20 heures, une violente fusillade a opposé les Forces de gendarmerie à une escouade de bandits armés. L’affrontement a duré une trentaine de minutes. Pendant cette guérilla en terrain hostile, les gendarmes se sont néanmoins imposés en donnant du fil à retordre à la bande armée. Dans le déluge de feu, l’un des membres de la bande a été frappé de projectiles. Tombé dans les échanges de tirs, il a été laissé pour mort par ses comparses qui se sont repliés dans la nuit noire. L’identification du défunt a révélé que ce dernier était recherché pour des attaques à main armée ainsi que des vols de bovidés perpétrés dans des communes périphériques. Ayant habité dans le village voisin de Betsifaka, il a quitté les lieux selon les gendarmes pour prendre la fuite après que des recherches intensives aient été lancées contre l’association de malfaiteurs dont il est le chef présumé.Survivants traquésCette intervention musclée est l’aboutissement d’un signalement parvenu au poste fixe de la Gendarmerie nationale à Maritampona Ambararatabe. D’après les renseignements, des individus suspects étaient en train de tenir un rassemblement entre Maritampona et Amparihimanga. Sans attendre, le commandant de cette unité territoriale mobile a dépêché sur les lieux des éléments d’intervention.En s’approchant de la cachette indiquée, les gendarmes ont été accueillis dans un vacarme de coups de sifflet et de salve de coups de feu. N’ayant pas fait machine arrière, ils ont fait parler la poudre, mettant ainsi hors d’état de nuire le présumé chef dahalo.À la lumière des informations communiquées par les villageois, les malfaiteurs préparaient l’attaque d’un village pour commettre un vol de bovidés lorsque les gendarmes ont pris à contre-pied leur plan. La traque des survivants en cavale se poursuit.Andry Manase",
      • "content": "Des éléments d’intervention de la gendarmerie ont été accueillis à coups de tirs nourris. Un fugitif tristement connu est tombé dans la fusillade. Une vague de terreur s’est abattue sur Maritampona Ambararatabe. Dans la soirée d’avant-hier aux alentours de 20 heures, une violente fusillade a opposé les Forces de gendarmerie à une escouade de bandits armés. L’affrontement a duré une trentaine de minutes. Pendant cette guérilla en terrain hostile, les gendarmes se sont néanmoins imposés en donnant du fil à retordre à la bande armée. Dans le déluge de feu, l’un des membres de la bande a été frappé de projectiles. Tombé dans les échanges de tirs, il a été laissé pour mort par ses comparses qui se sont repliés dans la nuit noire. L’identification du défunt a révélé que ce dernier était recherché pour des attaques à main armée ainsi que des vols de bovidés perpétrés dans des communes périphériques. Ayant habité dans le village voisin de Betsifaka, il a quitté les lieux selon les gendarmes pour prendre la fuite après que des recherches intensives aient été lancées contre l’association de malfaiteurs dont il est le chef présumé. Survivants traqués Cette intervention musclée est l’aboutissement d’un signalement parvenu au poste fixe de la Gendarmerie nationale à Maritampona Ambararatabe. D’après les renseignements, des individus suspects étaient en train de tenir un rassemblement entre Maritampona et Amparihimanga. Sans attendre, le commandant de cette unité territoriale mobile a dépêché sur les lieux des éléments d’intervention. En s’approchant de la cachette indiquée, les gendarmes ont été accueillis dans un vacarme de coups de sifflet et de salve de coups de feu. N’ayant pas fait machine arrière, ils ont fait parler la poudre, mettant ainsi hors d’état de nuire le présumé chef dahalo. À la lumière des informations communiquées par les villageois, les malfaiteurs préparaient l’attaque d’un village pour commettre un vol de bovidés lorsque les gendarmes ont pris à contre-pied leur plan. La traque des survivants en cavale se poursuit. Andry Manase",
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      • "description": "Romuald Rakotondrabe, sélectionneur des Barea CHAN.Madagascar participera à la phase finale du huitième Championnat d’Afrique des nations, du 2 au 30 août. Les Barea évolueront dans la phase de groupes en Tanzanie.L’Express de Madagascar : Qu’avez-vous mis en place depuis la qualification en décembre ?Romuald Rakotondrabe: Nous avons suivi de près, et sans relâche, l’évolution des joueurs présélectionnés et ceux pressentis. Nous nous sommes organisés en répartissant les tâches entre les membres du staff technique. Certains ont assisté à des matchs dans la capitale, d’autres dans les régions, afin d’observer individuellement les joueurs. Seuls ceux qui ont du temps de jeu, c’est-à-dire des matchs dans les jambes, stables et performants, seront appelés.Pouvez-vous nous détailler la suite du programme de préparation ?Nous allons entamer la phase de regroupement. Environ quarante-quatre joueurs seront convoqués pour un test d’évaluation du 19 au 21 mai. Vingt-quatre d’entre eux, ainsi que quatre ou cinq réservistes au maximum, seront retenus. Cette décision est stratégique, car nous aurons besoin de remplaçants en cas de blessure pendant la préparation. Ces joueurs représenteront le pays à la Cosafa Cup, qui se déroulera à Bloemfontein, en Afrique du Sud, du 1er au 15 juin. Ils seront rassemblés à partir du 26 mai jusqu’au départ pour l’Afrique du Sud.Les Barea disputeront-ils d’autres matchs amicaux en dehors de la Cosafa Cup ?Les gens n’ont pas bien saisi. Aucun autre match amical n’est prévu en Afrique du Sud. Nous ne jouerons que la Cosafa Cup, qui servira de préparation pour le CHAN (Championnat d’Afrique des nations).Comment allez-vous remplacer les joueurs partis dans les îles voisines, désormais inéligibles ?C’est un fait. Certains piliers de l’équipe ne sont plus éligibles et ne pourront pas participer au CHAN. On peut notamment citer le gardien Nina, ainsi que quelques attaquants. La situation la plus préoccupante reste celle du gardien de but. Qui assurera la relève de Nina ? Il faudra rapidement former un gardien compétitif et corriger ses lacunes. Nous savons que les équipes africaines ont une excellente condition physique et misent souvent sur le jeu aérien.Recueillis par Serge Rasanda",
      • "content": "Madagascar participera à la phase finale du huitième Championnat d’Afrique des nations, du 2 au 30 août. Les Barea évolueront dans la phase de groupes en Tanzanie. L’Express de Madagascar : Qu’avez-vous mis en place depuis la qualification en décembre ? Romuald Rakotondrabe: Nous avons suivi de près, et sans relâche, l’évolution des joueurs présélectionnés et ceux pressentis. Nous nous sommes organisés en répartissant les tâches entre les membres du staff technique. Certains ont assisté à des matchs dans la capitale, d’autres dans les régions, afin d’observer individuellement les joueurs. Seuls ceux qui ont du temps de jeu, c’est-à-dire des matchs dans les jambes, stables et performants, seront appelés. Pouvez-vous nous détailler la suite du programme de préparation ? Nous allons entamer la phase de regroupement. Environ quarante-quatre joueurs seront convoqués pour un test d’évaluation du 19 au 21 mai. Vingt-quatre d’entre eux, ainsi que quatre ou cinq réservistes au maximum, seront retenus. Cette décision est stratégique, car nous aurons besoin de remplaçants en cas de blessure pendant la préparation. Ces joueurs représenteront le pays à la Cosafa Cup, qui se déroulera à Bloemfontein, en Afrique du Sud, du 1er au 15 juin. Ils seront rassemblés à partir du 26 mai jusqu’au départ pour l’Afrique du Sud. Les Barea disputeront-ils d’autres matchs amicaux en dehors de la Cosafa Cup ? Les gens n’ont pas bien saisi. Aucun autre match amical n’est prévu en Afrique du Sud. Nous ne jouerons que la Cosafa Cup, qui servira de préparation pour le CHAN (Championnat d’Afrique des nations). Comment allez-vous remplacer les joueurs partis dans les îles voisines, désormais inéligibles ? C’est un fait. Certains piliers de l’équipe ne sont plus éligibles et ne pourront pas participer au CHAN. On peut notamment citer le gardien Nina, ainsi que quelques attaquants. La situation la plus préoccupante reste celle du gardien de but. Qui assurera la relève de Nina ? Il faudra rapidement former un gardien compétitif et corriger ses lacunes. Nous savons que les équipes africaines ont une excellente condition physique et misent souvent sur le jeu aérien. Recueillis par Serge Rasanda",
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      • "description": "Un bloc opératoire du CHU JRA lors d’une opération gratuite de hernie en 2024.L’État malgache a conclu un partenariat avec la France en vue de renforcer les compétences des professionnels de la santé. Cet accord a pour objectif de favoriser le développement du tourisme médical.Les évacuations sanitaires deviendraient optionnelles. L’État s’active pour faire baisser le transfert médical à l’étranger. Il a signé un partenariat avec la France pour former des médecins spécialistes malgaches. «Une fois ces spécialistes formés, les recours aux évacuations sanitaires doivent fortement diminuer à Madagascar», a déclaré le ministre de la Santé publique, le professeur Zely Randriamanantany, dans le journal télévisé de la chaîne nationale, jeudi soir. Ce partenariat redorerait le blason des hôpitaux malgaches, en vue de promouvoir le tourisme médical. «Normalement, les malades en provenance de l’Afrique et de l’océan Indien vont revenir à Madagascar pour se soigner ici», enchaîne le ministre. Ce partenariat consiste à former des médecins déjà spécialistes, dont des professeurs. Ces spécialistes malgaches effectueront une formation de quelques mois dans des hôpitaux en France pour une «super-spécialisation». La formation débutera avec le domaine de la chirurgie, et s’étendra sur d’autres spécialités.Les hôpitaux malgaches sont un dernier recours pour des hauts fonctionnaires, des riches investisseurs et ceux qui ont les moyens financiers. Retard de 50 ansLorsqu’ils sont malades, ils se rendent à Maurice, à La Réunion ou même en France pour se faire soigner, même pour des interventions sur des accidents vasculaires cérébraux (AVC) qui peuvent pourtant être réalisées à Madagascar, selon des spécialistes.«Nous avons des compétences, mais les outils manquent», rétorquent des spécialistes au sein du centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona, par rapport à ce projet de formation de spécialistes. «Notre plateau technique accuse un retard de 50 ans par rapport aux standards internationaux», confie avec amertume un chirurgien expérimenté de l’établissement, évoquant l’obsolescence des équipements médicaux dans les blocs opératoires. «À l’étranger, des hôpitaux exercent un acte chirurgical avec des robots. Chez nous, on continue à opérer avec des ciseaux, entre autres», regrette-t-il. Plusieurs professionnels de santé au sein de cet établissement à vocation chirurgicale ont signalé ce manque criant de matériel. «Ailleurs, les plateaux techniques sont très bien équipés et les matériels régulièrement renouvelés, ce qui n’est malheureusement pas le cas chez nous», déplore un réanimateur-anesthésiste qui a fréquenté des hôpitaux en France.Des spécialistes estiment que résoudre ce déficit d’équipements est essentiel et urgent, pour améliorer les soins. «La formation doit précéder l’acquisition de matériel, qui se fera plus tard», note une source auprès du ministère de la Santé publique.Chez la population malgache, la greffe d’organes — en particulier la transplantation rénale — constitue l’un des principaux motifs d’évacuation sanitaire. Pour réduire ces évacuations, il serait peut-être temps d’adopter la loi sur la greffe d’organes et rendre opérationnel le bâtiment dédié à cette intervention chirurgicale, déjà construit à Andohatapenaka.Miangaly Ralitera",
      • "content": "L’État malgache a conclu un partenariat avec la France en vue de renforcer les compétences des professionnels de la santé. Cet accord a pour objectif de favoriser le développement du tourisme médical. Les évacuations sanitaires deviendraient optionnelles. L’État s’active pour faire baisser le transfert médical à l’étranger. Il a signé un partenariat avec la France pour former des médecins spécialistes malgaches. «Une fois ces spécialistes formés, les recours aux évacuations sanitaires doivent fortement diminuer à Madagascar», a déclaré le ministre de la Santé publique, le professeur Zely Randriamanantany, dans le journal télévisé de la chaîne nationale, jeudi soir. Ce partenariat redorerait le blason des hôpitaux malgaches, en vue de promouvoir le tourisme médical. «Normalement, les malades en provenance de l’Afrique et de l’océan Indien vont revenir à Madagascar pour se soigner ici», enchaîne le ministre. Ce partenariat consiste à former des médecins déjà spécialistes, dont des professeurs. Ces spécialistes malgaches effectueront une formation de quelques mois dans des hôpitaux en France pour une «super-spécialisation». La formation débutera avec le domaine de la chirurgie, et s’étendra sur d’autres spécialités. Les hôpitaux malgaches sont un dernier recours pour des hauts fonctionnaires, des riches investisseurs et ceux qui ont les moyens financiers. Retard de 50 ans Lorsqu’ils sont malades, ils se rendent à Maurice, à La Réunion ou même en France pour se faire soigner, même pour des interventions sur des accidents vasculaires cérébraux (AVC) qui peuvent pourtant être réalisées à Madagascar, selon des spécialistes. «Nous avons des compétences, mais les outils manquent», rétorquent des spécialistes au sein du centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona, par rapport à ce projet de formation de spécialistes. «Notre plateau technique accuse un retard de 50 ans par rapport aux standards internationaux», confie avec amertume un chirurgien expérimenté de l’établissement, évoquant l’obsolescence des équipements médicaux dans les blocs opératoires. «À l’étranger, des hôpitaux exercent un acte chirurgical avec des robots. Chez nous, on continue à opérer avec des ciseaux, entre autres», regrette-t-il. Plusieurs professionnels de santé au sein de cet établissement à vocation chirurgicale ont signalé ce manque criant de matériel. «Ailleurs, les plateaux techniques sont très bien équipés et les matériels régulièrement renouvelés, ce qui n’est malheureusement pas le cas chez nous», déplore un réanimateur-anesthésiste qui a fréquenté des hôpitaux en France. Des spécialistes estiment que résoudre ce déficit d’équipements est essentiel et urgent, pour améliorer les soins. «La formation doit précéder l’acquisition de matériel, qui se fera plus tard», note une source auprès du ministère de la Santé publique. Chez la population malgache, la greffe d’organes — en particulier la transplantation rénale — constitue l’un des principaux motifs d’évacuation sanitaire. Pour réduire ces évacuations, il serait peut-être temps d’adopter la loi sur la greffe d’organes et rendre opérationnel le bâtiment dédié à cette intervention chirurgicale, déjà construit à Andohatapenaka. Miangaly Ralitera",
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      • "description": "Des éléments des Forces de l'ordre arrivés sur les lieux pour faire le constat tde l'accident.À Anosimasina, après que leur minibus a mortellement écrasé un piéton, un chauffeur et son aide ont fui la foule choquée pour se réfugier au commissariat.L’horreur s’est invitée au petit matin, hier à 6 h, à Anosimasina, commune de Bemasoandro Itaosy. Un drame s’y est produit lorsqu’un véhicule de transport en commun, un taxi-be de marque Mercedes, a percuté un piéton et causé son décès immédiat.Conscients de la tension et redoutant une réaction vindicative des témoins, déjà excédés par les comportements imprudents de certains conducteurs, le chauffeur et son receveur ont pris la fuite et se sont directement livrés au commissariat. Seul le conducteur, pris comme principal responsable, a été placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte.L’accident a engendré une paralysie du trafic. Il a provoqué des embouteillages monstres. Policiers, gendarmes, secouristes et autorités locales, tant communales que fokontany, se sont efforcés de gérer la situation et de fluidifier la circulation.Selon des témoignages, le taxi-be venait d’Itaosy Hôpital et se dirigeait vers Analakely lorsqu’un problème mécanique, vraisemblablement un dysfonctionnement du système de freinage, a compromis son contrôle. EmprisonnéeLe véhicule a quitté sa trajectoire, dévié vers la droite et heurté de plein fouet le piéton âgé d’environ 40 ans. Il l’a traîné dans une scène d’une brutalité insupportable.Après avoir cogné les montants d’un panneau d’affichage, il a terminé sa course contre un poteau métallique et un mur. La victime a été emprisonnée en dessous.L’extraction du corps a nécessité l’intervention d’un engin de levage lourd, mobilisé pour dégager le véhicule et permettre le retrait de la dépouille, vers 7 h 30. Le visage du défunt, mutilé, rendait son identification immédiate impossible. Aucune pièce d’identité n’a été retrouvée sur lui.Si les passagers, le chauffeur et son aide sont sortis indemnes, tous ont été ébranlés par la gravité du drame.Un moment d’émotion a brièvement interrompu l’agitation quand une femme, en larmes, est apparue sur les lieux avant de disparaître aussi rapidement qu’elle était venue. Il demeure incertain si elle connaissait la victime. Cette dernière a été transférée à la morgue dans l’attente d’une identification formelle.Gustave Mparany",
      • "content": "À Anosimasina, après que leur minibus a mortellement écrasé un piéton, un chauffeur et son aide ont fui la foule choquée pour se réfugier au commissariat. L’horreur s’est invitée au petit matin, hier à 6 h, à Anosimasina, commune de Bemasoandro Itaosy. Un drame s’y est produit lorsqu’un véhicule de transport en commun, un taxi-be de marque Mercedes, a percuté un piéton et causé son décès immédiat. Conscients de la tension et redoutant une réaction vindicative des témoins, déjà excédés par les comportements imprudents de certains conducteurs, le chauffeur et son receveur ont pris la fuite et se sont directement livrés au commissariat. Seul le conducteur, pris comme principal responsable, a été placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte. L’accident a engendré une paralysie du trafic. Il a provoqué des embouteillages monstres. Policiers, gendarmes, secouristes et autorités locales, tant communales que fokontany, se sont efforcés de gérer la situation et de fluidifier la circulation. Selon des témoignages, le taxi-be venait d’Itaosy Hôpital et se dirigeait vers Analakely lorsqu’un problème mécanique, vraisemblablement un dysfonctionnement du système de freinage, a compromis son contrôle. Emprisonnée Le véhicule a quitté sa trajectoire, dévié vers la droite et heurté de plein fouet le piéton âgé d’environ 40 ans. Il l’a traîné dans une scène d’une brutalité insupportable. Après avoir cogné les montants d’un panneau d’affichage, il a terminé sa course contre un poteau métallique et un mur. La victime a été emprisonnée en dessous. L’extraction du corps a nécessité l’intervention d’un engin de levage lourd, mobilisé pour dégager le véhicule et permettre le retrait de la dépouille, vers 7 h 30. Le visage du défunt, mutilé, rendait son identification immédiate impossible. Aucune pièce d’identité n’a été retrouvée sur lui. Si les passagers, le chauffeur et son aide sont sortis indemnes, tous ont été ébranlés par la gravité du drame. Un moment d’émotion a brièvement interrompu l’agitation quand une femme, en larmes, est apparue sur les lieux avant de disparaître aussi rapidement qu’elle était venue. Il demeure incertain si elle connaissait la victime. Cette dernière a été transférée à la morgue dans l’attente d’une identification formelle. Gustave Mparany",
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      • "description": "Rivonandrianina Rabarijohn arrive au terme de son mandat cette année.Le Pôle anti-corruption (PAC) a présenté le bilan de ses activités pour l’année 2024. Il s’agit du dernier bilan de ce genre présenté par la coordonnatrice des PAC, Rivonandrianina Rabarijohn, qui arrive au terme de son mandat cette année. Dans le rapport présenté hier à son siège aux 67Ha, le PAC a fait état de 98 milliards d’ariary de biens et comptes confisqués. Ce montant résulte des décisions prononcées par la Chambre de saisie et de confiscation des avoirs (CSCA) du siège du PAC Second Degré Antananarivo. Parmi ces biens confisqués figurent 53 comptes bancaires, 8 biens meubles et immeubles, 14 véhicules, des téléphones, ou encore des sommes en liquide d’une valeur de 4 millions d’ariary.L’exécution de ces décisions a été confiée à l’Agence de recouvrement des avoirs illicites (ARAI), qui a déjà gelé 6 milliards d’ariary et confisqué 489 millions d’ariary. Ces sommes sont issues des décisions définitives rendues par la juridiction anti-corruption. En effet, les personnes dont les biens ont été confisqués peuvent encore faire appel du jugement du PAC, ce qui explique que le montant des biens confisqués et gelés par l’ARAI soit inférieur à celui prononcé par le PAC.Toujours au niveau du PAC Antananarivo, sur les 815 dossiers jugés par cette juridiction, 277 condamnations ont été prononcées. Une grande partie de ces dossiers concerne des abus de fonction, de la corruption active et passive, ainsi que des faits de faux et usage de faux. La plupart des prévenus étaient, selon le rapport, des directeurs, des cadres de direction et gérants, des directeurs et cadres de services et administratifs. Le PAC souligne toutefois que sur les 1 542 personnes ayant fait l’objet d’une mise en examen ou de poursuite, seulement 205 ont fait l’objet d’un mandat de dépôt, tandis que 1 210 personnes ont bénéficié d’une liberté provisoire, le reste ayant été placé sous contrôle judiciaire.Affaires assimilées« Cette statistique prouve qu’il n’existe pas de mandat de dépôt systématique au niveau du PAC », a souligné Rivonandrianina Rabarijohn.Outre les dossiers liés aux cas de corruption ou de blanchiment de capitaux, le PAC traite également d’autres affaires assimilées à ces infractions. C’est le cas, par exemple, des affaires d’exportation illicite de ressources minières, qui sont accompagnées d’opérations de blanchiment de capitaux. Comme le traitement des affaires liées au blanchiment de capitaux relève de la compétence exclusive du PAC, le dossier est donc traité par cette juridiction. Ce fut le cas de l’affaire de trafic de près de 4 kg de poudre d’or impliquant un ressortissant sri-lankais, il y a quelques jours.Quant à la vitesse de traitement des dossiers en instruction au PAC, la coordonnatrice nationale de cette juridiction a souligné que cela varie en fonction de l’enquête. Si certains types de dossiers peuvent être traités en quelques jours, d’autres, en revanche, peuvent prendre plusieurs jours, voire des mois. En cause : certaines affaires nécessitent l’envoi d’une commission rogatoire à l’étranger pour la poursuite de l’enquête. À ce jour toutefois, le PAC ne reçoit que des dossiers de plaintes ainsi que ceux transmis par les officiers de police judiciaire. Il n’est donc pas question d’auto-saisine, si l’on se réfère à l’explication donnée par Rivonandrianina Rabarijohn.Tsilaviny Randriamanga",
      • "content": "Le Pôle anti-corruption (PAC) a présenté le bilan de ses activités pour l’année 2024. Il s’agit du dernier bilan de ce genre présenté par la coordonnatrice des PAC, Rivonandrianina Rabarijohn, qui arrive au terme de son mandat cette année. Dans le rapport présenté hier à son siège aux 67Ha, le PAC a fait état de 98 milliards d’ariary de biens et comptes confisqués. Ce montant résulte des décisions prononcées par la Chambre de saisie et de confiscation des avoirs (CSCA) du siège du PAC Second Degré Antananarivo. Parmi ces biens confisqués figurent 53 comptes bancaires, 8 biens meubles et immeubles, 14 véhicules, des téléphones, ou encore des sommes en liquide d’une valeur de 4 millions d’ariary. L’exécution de ces décisions a été confiée à l’Agence de recouvrement des avoirs illicites (ARAI), qui a déjà gelé 6 milliards d’ariary et confisqué 489 millions d’ariary. Ces sommes sont issues des décisions définitives rendues par la juridiction anti-corruption. En effet, les personnes dont les biens ont été confisqués peuvent encore faire appel du jugement du PAC, ce qui explique que le montant des biens confisqués et gelés par l’ARAI soit inférieur à celui prononcé par le PAC. Toujours au niveau du PAC Antananarivo, sur les 815 dossiers jugés par cette juridiction, 277 condamnations ont été prononcées. Une grande partie de ces dossiers concerne des abus de fonction, de la corruption active et passive, ainsi que des faits de faux et usage de faux. La plupart des prévenus étaient, selon le rapport, des directeurs, des cadres de direction et gérants, des directeurs et cadres de services et administratifs. Le PAC souligne toutefois que sur les 1 542 personnes ayant fait l’objet d’une mise en examen ou de poursuite, seulement 205 ont fait l’objet d’un mandat de dépôt, tandis que 1 210 personnes ont bénéficié d’une liberté provisoire, le reste ayant été placé sous contrôle judiciaire. Affaires assimilées « Cette statistique prouve qu’il n’existe pas de mandat de dépôt systématique au niveau du PAC », a souligné Rivonandrianina Rabarijohn. Outre les dossiers liés aux cas de corruption ou de blanchiment de capitaux, le PAC traite également d’autres affaires assimilées à ces infractions. C’est le cas, par exemple, des affaires d’exportation illicite de ressources minières, qui sont accompagnées d’opérations de blanchiment de capitaux. Comme le traitement des affaires liées au blanchiment de capitaux relève de la compétence exclusive du PAC, le dossier est donc traité par cette juridiction. Ce fut le cas de l’affaire de trafic de près de 4 kg de poudre d’or impliquant un ressortissant sri-lankais, il y a quelques jours. Quant à la vitesse de traitement des dossiers en instruction au PAC, la coordonnatrice nationale de cette juridiction a souligné que cela varie en fonction de l’enquête. Si certains types de dossiers peuvent être traités en quelques jours, d’autres, en revanche, peuvent prendre plusieurs jours, voire des mois. En cause : certaines affaires nécessitent l’envoi d’une commission rogatoire à l’étranger pour la poursuite de l’enquête. À ce jour toutefois, le PAC ne reçoit que des dossiers de plaintes ainsi que ceux transmis par les officiers de police judiciaire. Il n’est donc pas question d’auto-saisine, si l’on se réfère à l’explication donnée par Rivonandrianina Rabarijohn. Tsilaviny Randriamanga",
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      • "description": "Le toaka gasy est consommé dans toutes les campagnes.L’Assemblée nationale étudiera lundi une proposition de loi sur la légalisation du toaka gasy. Le texte vise à encadrer cette production artisanale pour des raisons sanitaires et économiques.L’Assemblée nationale étudiera lundi prochain, à Tsimbazaza, une proposition de loi portant sur la régulation du toaka gasy, un rhum artisanal largement consommé à Madagascar. Présenté par le député Fanomezantsoa Yves Georges Andriamihaja, ce texte vise à légaliser et encadrer une activité encore largement informelle, tant sur le plan sanitaire qu’économique.Cette proposition de loi prévoit des normes strictes en matière de teneur en alcool, d’hygiène, de conditionnement et de distribution, afin de garantir la qualité du produit et la sécurité des consommateurs. Il répond ainsi à un double objectif : protéger la santé publique et structurer une filière artisanale profondément ancrée dans les zones rurales.Une tentative similaire avait été menée il y a cinq ans par le député Jean Brunelle Razafitsiandraofa. Bien que le texte ait été adopté par l’Assemblée nationale, il fut rejeté par le Sénat en 2021, pour des motifs liés à la santé publique. La proposition avait ensuite été retirée de l’ordre du jour en 2023.Un expert du secteur souligne :« D’après ce que je sais, le principal blocage vient des préoccupations liées à la santé publique. L’alcool, pour ne pas nuire à la santé humaine, doit répondre à plusieurs critères stricts. De plus, la filière ne génère aucun revenu fiscal pour l’État. Légaliser le toaka gasy risquerait aussi de faire émerger le secteur informel au détriment des producteurs réguliers. Mais si ces points sont aujourd’hui réglés, rien ne justifie qu’on continue de bloquer ce texte. »Malgré son statut illégal, le toaka gasy reste un produit central dans les pratiques culturelles et économiques de nombreuses communautés rurales. Pour ses partisans, un cadre légal offrirait l’opportunité de professionnaliser la production tout en valorisant une tradition locale.Si le Sénat rejette à nouveau le texte, celui-ci pourra être définitivement adopté par l’Assemblée nationale après plusieurs lectures, conformément à la procédure législative.Irina Tsimijaly",
      • "content": "L’Assemblée nationale étudiera lundi une proposition de loi sur la légalisation du toaka gasy. Le texte vise à encadrer cette production artisanale pour des raisons sanitaires et économiques . L’Assemblée nationale étudiera lundi prochain, à Tsimbazaza, une proposition de loi portant sur la régulation du toaka gasy, un rhum artisanal largement consommé à Madagascar. Présenté par le député Fanomezantsoa Yves Georges Andriamihaja, ce texte vise à légaliser et encadrer une activité encore largement informelle, tant sur le plan sanitaire qu’économique. Cette proposition de loi prévoit des normes strictes en matière de teneur en alcool, d’hygiène, de conditionnement et de distribution, afin de garantir la qualité du produit et la sécurité des consommateurs. Il répond ainsi à un double objectif : protéger la santé publique et structurer une filière artisanale profondément ancrée dans les zones rurales. Une tentative similaire avait été menée il y a cinq ans par le député Jean Brunelle Razafitsiandraofa. Bien que le texte ait été adopté par l’Assemblée nationale, il fut rejeté par le Sénat en 2021, pour des motifs liés à la santé publique. La proposition avait ensuite été retirée de l’ordre du jour en 2023. Un expert du secteur souligne :« D’après ce que je sais, le principal blocage vient des préoccupations liées à la santé publique. L’alcool, pour ne pas nuire à la santé humaine, doit répondre à plusieurs critères stricts. De plus, la filière ne génère aucun revenu fiscal pour l’État. Légaliser le toaka gasy risquerait aussi de faire émerger le secteur informel au détriment des producteurs réguliers. Mais si ces points sont aujourd’hui réglés, rien ne justifie qu’on continue de bloquer ce texte. » Malgré son statut illégal, le toaka gasy reste un produit central dans les pratiques culturelles et économiques de nombreuses communautés rurales. Pour ses partisans, un cadre légal offrirait l’opportunité de professionnaliser la production tout en valorisant une tradition locale. Si le Sénat rejette à nouveau le texte, celui-ci pourra être définitivement adopté par l’Assemblée nationale après plusieurs lectures, conformément à la procédure législative. Irina Tsimijaly",
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      • "description": "Mirado a rencontré la presse hier au Stade Barea Mahamasina.Pas d’invités, juste Mirado, sa voix, sa musique et son histoire. Le 18 mai, le CCESCA Antanimena accueillera le concert intitulé «Back to 2000 and Now», une plongée intime et énergique dans les 19 années de scène de l’artiste. C’est sur cette même scène, il y a 18 ans, que tout a commencé pour Mirado. « Je me souviens encore du frisson que j’ai ressenti quand j’ai pris le micro pour la première fois. Le public a crié si fort, c’était magique. Ce concert, c’est pour revivre cette sensation et la partager à nouveau », a-t-il confié lors d’une rencontre avec la presse hier.Deux heures de show, portées par les morceaux phares de son tout premier album sorti en 2006, avec en tête «Tena tiako ianao», son tout premier single dévoilé en 2005. Une époque marquante, à laquelle il souhaite rendre hommage, tout en affirmant sa présence actuelle dans le paysage musical malgache. D’où le titre évocateur : «Back to 2000 and Now». « Je vis à travers la musique. Ma musique vit encore aujourd’hui », affirme-t-il avec fierté. Accompagné de ses musiciens, Mirado promet une prestation 100 % live, fidèle à son univers, à son style et à son évolution. À l’approche de ses 20 ans de carrière, il prépare d’ailleurs un grand projet qu’il dévoilera bientôt à ses fans.Nicole Rafalimananjara",
      • "content": "Pas d’invités, juste Mirado, sa voix, sa musique et son histoire. Le 18 mai, le CCESCA Antanimena accueillera le concert intitulé «Back to 2000 and Now», une plongée intime et énergique dans les 19 années de scène de l’artiste. C’est sur cette même scène, il y a 18 ans, que tout a commencé pour Mirado. « Je me souviens encore du frisson que j’ai ressenti quand j’ai pris le micro pour la première fois. Le public a crié si fort, c’était magique. Ce concert, c’est pour revivre cette sensation et la partager à nouveau », a-t-il confié lors d’une rencontre avec la presse hier. Deux heures de show, portées par les morceaux phares de son tout premier album sorti en 2006, avec en tête «Tena tiako ianao», son tout premier single dévoilé en 2005. Une époque marquante, à laquelle il souhaite rendre hommage, tout en affirmant sa présence actuelle dans le paysage musical malgache. D’où le titre évocateur : «Back to 2000 and Now». « Je vis à travers la musique. Ma musique vit encore aujourd’hui », affirme-t-il avec fierté. Accompagné de ses musiciens, Mirado promet une prestation 100 % live, fidèle à son univers, à son style et à son évolution. À l’approche de ses 20 ans de carrière, il prépare d’ailleurs un grand projet qu’il dévoilera bientôt à ses fans. Nicole Rafalimananjara",
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      • "content": "Le tournoi Takalo de handball bat son plein à Antsiranana. Le gymnase d’Antsiranana vibre pendant dix jours au rythme de la 6e édition de cette compétition qui s’y déroule du 5 au 15 mai. La compétition, organisée en partenariat avec la ligue régionale de handball, se déroule dans une ambiance à la fois festive et sportive. Pendant dix jours, les amateurs de handball se régalent avec des rencontres disputées et un niveau de jeu en constante progression, rassemblant plusieurs établissements scolaires et clubs de la région. Quatorze équipes, masculines et féminines, s’affrontent actuellement dans la phase de poules de cette rencontre sportive très attendue. Les rencontres se déroulent dans de bonnes conditions, avec une nette supériorité des équipes venues de Mayotte, même si les formations locales d’Antsiranana montrent une belle progression technique. Chez les filles, six équipes sont engagées, réparties en deux poules (A et B), tandis que chez les garçons, huit équipes s’affrontent également, réparties en deux groupes. À ce jour, dix matchs ont été disputés. L’équipe ASC Tsingoni se démarque en dominant largement ses adversaires. Chez les filles, elle a écrasé ASLA2 sur le score sans appel de 40 à 3, puis a battu COSA2 par 24 à 2. Côté masculin, les Mahorais ont pris le dessus sur ASLA1 avec un score de 22 à 16. Impact Chaque match se joue en deux périodes de 20 minutes, séparées par une pause de 5 minutes. Un temps mort d’une minute est accordé à chaque équipe par mi-temps. L’équipe mentionnée en premier sur le calendrier donne le coup d’envoi, tandis que l’adversaire choisit le camp. À l’issue de la phase de poules, une rencontre déterminera la 3e et la 4e place, avant la grande finale qui opposera les deux premières équipes de chaque poule. Au-delà de la compétition, l’impact positif du tournoi est déjà visible chez les jeunes et adolescents antsiranais. Beaucoup d’entre eux expriment désormais leur intérêt pour intégrer l’école de handball du club local, qui travaille activement à former la relève sportive à travers sa pépinière prometteuse de jeunes talents. Raheriniaina",
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      • "description": "Un duel entre MB2ALL -GNBC (noir) en finale du championnat N1A en 2024.Le championnat de Madagascar de basketball 5x5 N1A seniors hommes et dames, phase 1 pour le Groupe A, débute ce jour dans la Ville des Fleurs, où six clubs féminins et six masculins se battront jusqu’au 19 mai au complexe sportif de Mahajanga et sur ses terrains annexes.Les six clubs féminins (la GNBC Analamanga, championne de Madagascar en titre, le club de MB2ALL Analamanga, vice-champion de Madagascar 2024, le club de Fandrefiala Analamanga, Dunamis Analamanga, ASSM Analamanga, Cosca Amoron’i Mania) s’affrontent l’un après l’autre dans une poule unique.Les quatre premières équipes qui totalisent le plus de points se qualifieront en demi-finales pour disputer la Coupe de la ligue (appellation de la phase finale de la phase 1, que ce soit chez les dames ou chez les hommes).Dans la catégorie féminine, l’attraction de ce sommet à Mahajanga est la double confrontation entre le club champion de Madagascar en titre, la Gendarmerie nationale Basket Club connue sous le nom de la GNBC, et celui de MB2ALL, vice-champion de Madagascar 2024, primo en phase de poules et secundo en phase finale.Ambition partagéeLes dames monteront sur le parquet à partir du mardi 13 mai, car les deux premières journées seront dédiées aux hommes. Les filles de MB2ALL défieront les championnes en titre mercredi 14 mai à partir de 17 heures au complexe sportif de Mahajanga.Après la désillusion de la finale perdue au Palais des Sports de Mahamasina au mois d’octobre 2024 face à la GNBC sur le score de 65-77, les filles de MB2ALL, entraînées par Mathieu Rakotomalala, le coach de MB2ALL, n’ont qu’une seule idée en tête cette année : frapper fort pour remporter la Coupe de la ligue à Mahajanga avant la phase retour à Antananarivo.Les autres clubs féminins, notamment Fandrefiala, Dunamis et ASSM, tous trois issus d’Analamanga, ainsi que Cosca Amoron’i Mania, auront du mal à s’affirmer à Mahajanga face aux deux gros calibres féminins.Fandrefiala et ASSM ont de l’expérience en N1A, mais les filles du club Dunamis, un nouveau venu dans l’élite N1A, devront batailler dur pour figurer dans le top 4, synonyme d’une qualification pour la phase finale de la coupe de la ligue.Ndranto Rakotonanahary, membre du staff de MB2ALL, et Eli Rakotonirina, coach de GNBC, affichent la même ambition : celle de remporter la Coupe de la ligue à Mahajanga avant d’entamer la phase finale à Antananarivo.« Le premier objectif à Mahajanga est de remporter la Coupe de la ligue avant de confirmer à Antananarivo lors de la phase finale », précise Eli Rakotonirina.« L’objectif de MB2ALL est la reconquête du titre national. La Coupe de la ligue à Mahajanga est une étape pour le réaliser », martèle Ndranto Rakotonanahary.Donné Raherinjatovo",
      • "content": "Le championnat de Madagascar de basketball 5x5 N1A seniors hommes et dames, phase 1 pour le Groupe A, débute ce jour dans la Ville des Fleurs, où six clubs féminins et six masculins se battront jusqu’au 19 mai au complexe sportif de Mahajanga et sur ses terrains annexes. Les six clubs féminins (la GNBC Analamanga, championne de Madagascar en titre, le club de MB2ALL Analamanga, vice-champion de Madagascar 2024, le club de Fandrefiala Analamanga, Dunamis Analamanga, ASSM Analamanga, Cosca Amoron’i Mania) s’affrontent l’un après l’autre dans une poule unique. Les quatre premières équipes qui totalisent le plus de points se qualifieront en demi-finales pour disputer la Coupe de la ligue (appellation de la phase finale de la phase 1, que ce soit chez les dames ou chez les hommes). Dans la catégorie féminine, l’attraction de ce sommet à Mahajanga est la double confrontation entre le club champion de Madagascar en titre, la Gendarmerie nationale Basket Club connue sous le nom de la GNBC, et celui de MB2ALL, vice-champion de Madagascar 2024, primo en phase de poules et secundo en phase finale. Ambition partagée Les dames monteront sur le parquet à partir du mardi 13 mai, car les deux premières journées seront dédiées aux hommes. Les filles de MB2ALL défieront les championnes en titre mercredi 14 mai à partir de 17 heures au complexe sportif de Mahajanga. Après la désillusion de la finale perdue au Palais des Sports de Mahamasina au mois d’octobre 2024 face à la GNBC sur le score de 65-77, les filles de MB2ALL, entraînées par Mathieu Rakotomalala, le coach de MB2ALL, n’ont qu’une seule idée en tête cette année : frapper fort pour remporter la Coupe de la ligue à Mahajanga avant la phase retour à Antananarivo. Les autres clubs féminins, notamment Fandrefiala, Dunamis et ASSM, tous trois issus d’Analamanga, ainsi que Cosca Amoron’i Mania, auront du mal à s’affirmer à Mahajanga face aux deux gros calibres féminins. Fandrefiala et ASSM ont de l’expérience en N1A, mais les filles du club Dunamis, un nouveau venu dans l’élite N1A, devront batailler dur pour figurer dans le top 4, synonyme d’une qualification pour la phase finale de la coupe de la ligue. Ndranto Rakotonanahary, membre du staff de MB2ALL, et Eli Rakotonirina, coach de GNBC, affichent la même ambition : celle de remporter la Coupe de la ligue à Mahajanga avant d’entamer la phase finale à Antananarivo. « Le premier objectif à Mahajanga est de remporter la Coupe de la ligue avant de confirmer à Antananarivo lors de la phase finale », précise Eli Rakotonirina. « L’objectif de MB2ALL est la reconquête du titre national. La Coupe de la ligue à Mahajanga est une étape pour le réaliser », martèle Ndranto Rakotonanahary. Donné Raherinjatovo",
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      • "description": "Le type de drone utilisé pour le suivi des jeunes plants.Dans la commune rurale d’Ambalavao, la campagne nationale de reboisement entre dans une nouvelle phase. « Les jeunes plants fraîchement mis en terre sont désormais suivis à la trace, grâce à des drones de dernière génération capables de survoler 500 hectares en une heure », a souligné le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Max Andonirina Fontaine, lors du lancement de cette campagne dans la région Analamanga.À cet effet, quatre drones spécialisés sillonnent les sites reboisés. Ils combinent détection spatiale, collecte de données géophysiques et évaluation du taux de survie des jeunes plants. L’intégration d’un Système national d’information sur le reboisement permettra de centraliser ces données et de responsabiliser tous les acteurs.Durant cette campagne de suivi, l’objectif est clair : détecter les plants malades ou morts, surveiller l’humidité du sol et cartographier avec précision l’évolution des surfaces reboisées. « Il ne suffit plus de planter, il faut s’assurer que les arbres survivent », martèle un technicien sur le terrain. À Ambalavao comme ailleurs, cette prise de conscience marque un tournant. Le reboisement, longtemps perçu comme une action symbolique ou ponctuelle, devient désormais une démarche technique, structurée et durable.Par ailleurs, la saison sèche approche, faisant peser un risque accru d’incendies sur les zones reboisées. Face à cette menace, les mesures préventives se multiplient : installation de pare-feu, désherbage autour de chaque plant, remplacement des plants non poussés, suivi des arbres morts. Dans cette lutte, les technologies modernes, telles que les drones multispectraux et la cartographie en temps réel, deviennent des alliées.« En 2024, le taux moyen de survie des jeunes plants à l’échelle nationale s’élevait à 69 %. L’objectif est de dépasser largement ce chiffre d’ici avril 2026. L’enjeu est vital, car les forêts malgaches sont une source essentielle d’eau, d’énergie et de biodiversité. Leur destruction, par les feux ou par négligence, compromet directement l’avenir du pays », a déclaré le ministre Max Andonirina Fontaine.Des sites à protégerPlus de 75 000 hectares ont été reboisés à Madagascar ces dernières années. Mais la réussite ne se mesure pas au nombre de plants mis en terre, rappelle l’État : un arbre planté sans entretien, c’est du temps et des ressources gaspillés. Le reboisement ne doit plus être une formalité annuelle, mais un engagement sur le long terme.Les sites reboisés devront être protégés. Trop souvent, ils sont victimes d’incendies ou de défrichements sauvages. Le gouvernement veut franchir une nouvelle étape :« Classer ces zones comme domaines privés de l’État afin d’en assurer la sécurisation foncière. Cela permet également d’atteindre les objectifs fixés », a insisté le Premier ministre Christian Ntsay.Une collaboration est en cours avec le ministère du Développement de l’Aménagement du Territoire (MDAT) dans ce sens. Le gouvernement appelle également à une implication accrue des communautés locales, premières concernées et garantes du succès de cette stratégie.Le président de la République, Andry Rajoelina, a fixé une ambition claire : reverdir l’Île Rouge. Pour y parvenir, un changement profond des pratiques est nécessaire. Il ne suffit pas de planter en masse : il faut miser sur la qualité, assurer le suivi, sécuriser les zones et mobiliser les populations.Mialisoa Ida",
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      • "pubDate": "2025-05-10 02:40:00",
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      • "description": "Le directeur général du Trésor, Andry Nirina Rajaofetra.Le gouvernement malgache expérimente un paiement mobile pour les recettes non fiscales depuis le 9 mai 2025. Ce système vise à simplifier les transactions et à améliorer la transparence financière.Depuis le 9 mai 2025, le gouvernement malgache expérimente un nouveau système de paiement mobile pour les recettes publiques non fiscales. Baptisé Système d’Information de Gestion des Recettes Non Fiscales (SIGRNF), ce dispositif a été lancé à Ivandry et permet aux citoyens de régler divers frais administratifs à travers des services de mobile money tels que Mvola, Orange Money ou Airtel Money. Cette initiative vise à moderniser la gestion des finances publiques, renforcer la transparence et améliorer l’autonomie budgétaire des collectivités locales.Mis en place à titre pilote à Ambohidratrimo, Toamasina et Toliara, le SIGRNF répond à plusieurs problématiques : la dispersion des flux, le manque de traçabilité et les retards dans l’encaissement des fonds. Il couvre une large gamme de recettes non fiscales telles que les frais de stationnement, taxes de marché, actes d’état civil, frais d’examen, redevances hospitalières ou universitaires, permis de conduire, passeports, licences de pêche, droits touristiques et miniers.En temps réelGrâce à ce système numérique intégré, toutes les entités administratives – État central, ministères, établissements publics, communes – peuvent désormais centraliser et suivre en temps réel ces paiements. « Le système permet désormais à tous les niveaux de l’administration d’intégrer dans un même cadre numérique l’ensemble des recettes non fiscales, souvent mal suivies auparavant », précise Andry Nirina Rajaofetra, directeur général du Trésor.Concrètement, les citoyens peuvent effectuer leurs paiements à tout moment, 24 h/24, directement depuis leur téléphone portable. En retour, ils reçoivent immédiatement une quittance électronique sécurisée, munie d’un QR code vérifiable. Ce mécanisme réduit le risque de détournement, garantit la réception immédiate des fonds par le Trésor public et améliore la planification financière des communes. « Il s’agit d’un outil de transparence. Il permet non seulement de tracer chaque paiement, mais aussi de garantir que les recettes arrivent directement sur les comptes du Trésor, sans retard ni risque de manipulation », insiste le directeur général.Pour les collectivités locales, qui souffraient souvent de décalages entre le paiement des usagers et la réception des fonds, ce système apporte une solution concrète. Désormais, les transferts sont instantanés, renforçant l’efficacité de la gestion locale et facilitant les investissements ciblés.« Ce système marque un tournant : nous avançons vers une gouvernance plus moderne, plus accessible et plus juste », conclut Andry Nirina Rajaofetra.Irina Tsimijaly",
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      • "description": "Plus de 60% des ménages ruraux pratiquent l’élevage (Src photo : MINAE).À Madagascar comme dans d’autres pays de la région, le secteur de l’élevage joue un rôle essentiel dans la prise en compte de nombreux objectifs de développement durable, notamment lorsqu’il s’agit de soutenir les moyens d’existence, de générer des revenus, et de contribuer à une alimentation saine et à la résilience face au changement climatique.Selon les spécialistes, l’élevage durable vise à augmenter la productivité tout en utilisant moins de ressources. Cela conduit à une production accrue de nourriture de meilleure qualité pour répondre aux besoins d’une population croissante. Raison pour laquelle le secteur de l’élevage, qui représente près de 13% du PIB de Madagascar, est régulièrement mis en avant quand il s’agit de souligner les perspectives en matière de souveraineté alimentaire et de durabilité. Il est en outre précisé que l’élevage qui est pratiqué par plus de 70% des ménages ruraux est associé à des externalités telles que le changement climatique, la dégradation des terres et l’appauvrissement de la biodiversité. Cet état de fait conduit à mettre en place un cadre et des politiques propices à l’atténuation des effets du changement climatique, tout en poursuivant les Objectifs de développement durable (ODD). Plusieurs partenaires accompagnent Madagascar dans le cadre de ses actions en faveur de l’élevage durable. Parmi ceux-ci, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui appuie, entre autres, l’élaboration de politiques visant un élevage durable d’un point de vue social, économique et environnemental, ainsi que la mise au point de méthodes et outils à même de favoriser des politiques fondées sur des données scientifiques et des éléments concrets. « La FAO encourage une transformation durable, inclusive et efficace du secteur de l’élevage afin de contribuer à améliorer la production, la nutrition, les conditions de vie et l’environnement, sans que personne ne soit laissé de côté», soutient aussi cette organisation qui estime que l’élevage durable favorise la disponibilité à long terme du système agroalimentaire et assure une gestion efficace des effluents d’élevage dans la production animale, permettant de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre. «Bien que l’élevage durable puisse nécessiter des investissements initiaux, à long terme, il garantit une meilleure rentabilité. En effet, en optimisant les ressources et en réduisant le gaspillage, les éleveurs peuvent bénéficier d’une meilleure marge bénéficiaire», explique Bakoly Harisoa, experte dans le domaine de l’agroécologie. Elle ajoute que l’élevage durable peut également favoriser la création d’emplois locaux, notamment dans les régions rurales. « Il est impératif d’opter pour des méthodes durables qui respectent non seulement notre environnement, mais également les acteurs impliqués dans ce secteur. En combinant tradition et innovation, il est possible d’imaginer un futur où l’élevage coexistera harmonieusement avec la nature et les sociétés humaines», plaide-t-elle. Du côté du ministère de l’Agriculture et de l’Élevage (MINAE), on soutient que les initiatives se multiplient afin de faire en sorte que le secteur de l’élevage puisse se développer en tant que partie intégrante de systèmes agricoles plus durables qui équilibrent la demande avec la productivité, l’action climatique, la gestion environnementale, la protection des moyens de subsistance des agriculteurs et la viabilité économique. Le ministère reconnaît que faire de l’élevage durable une réalité sur l’ensemble du territoire constitue un défi de taille. Mais constate aussi que des avancées significatives sont déjà enregistrées.Un plan directeur à concrétiserOn sait en outre qu’afin de contribuer à l’atteinte de l’objectif de la sécurité alimentaire inscrit dans la politique générale de l’État, le MINAE s’est attelé à l’élaboration d’un plan directeur du secteur de l’élevage. En collaboration avec l’Institut international de l’élevage - International Livestock Institute (ILRI) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), avec le soutien financier de la Banque mondiale, plusieurs techniciens ont suivi une série de formations pour leur permettre de mieux cerner les problématiques de l’élevage et de tester différents scénarios afin de développer des actions pertinentes pour atteindre une vision 2040 du secteur.Dans ce cadre, Madagascar peut s’appuyer sur le modèle d’accompagnement pays élaboré par l’IRLI pour la confection de plan directeur du secteur élevage. Ce modèle a été appliqué auparavant dans d’autres pays. A Madagascar, l’ILRI s’est organisé en consortium avec le Cirad ainsi que la FAO pour accompagner les entités publiques et en tenant compte des spécificités locales. “L’objectif est de dresser une vision du secteur de l’élevage dans un horizon de 15 ans et de tester différents scénarios qui permettront d’atteindre cette vision. Les impacts de chaque scénario au niveau financier, social, économique et environnemental seront évalués afin d’éclairer les décisions dans le secteur”, a-t-on expliqué.“ Notre mission n’est pas de prendre les décisions. C’est à Madagascar de décider en fonction des scénarios qui sont présentés. Le plan servira surtout de cadre pour les investissements. La vision construite avec les techniciens repose sur la durabilité, la rentabilité et la résilience du secteur élevage, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, la croissance économique mais stimulant également la cohésion sociale “, a déclaré Abdrahmane Wane, chercheur de l’ILRI et coordinateur de l’élaboration du Plan directeur du secteur de l’élevage à Madagascar.Les formations et les séances de consultation déjà organisées ont permis de construire la vision du secteur élevage avec les différentes parties prenantes. Une vaste étude sur la situation actuelle du secteur devrait aussi être menée afin de tester la faisabilité de ces différents scénarios. Il a aussi été expliqué que le document de plan stratégique sur 15 ans est prévu pour être décliné en feuilles de route quinquennales qui permettront un suivi régulier des actions. La méthodologie sur la chaîne de valeur et le Livestock Section Investment and Policy Toolkit (LSIPT) font partie des outils utilisés. À noter en outre que les chercheurs du Cirad de l’Unité mixte de recherche Systèmes d’élevage méditerranéens et tropicaux (UMR SELMET) interviennent à plusieurs phases du processus comme l’accompagnement dans la construction de la vision à partir de l’analyse prospective, la construction d’une cartographie de l’élevage à Madagascar pour visualiser l’état des lieux et également l’analyse de références de la situation de l’élevage via l’outil LSIPT.Le secteur de l’élevage met désormais la durabilité au cœur de son développement (Src photo : MINAE).Des pratiques à vulgariserParallèlement à l’élaboration du plan directeur du secteur de l’élevage, des actions sont déjà menées pour vulgariser les pratiques déjà approuvées comme étant favorables à l’élevage durable. Parmi celles-ci, il y a la gestion améliorée des pâturages qui imite les habitudes naturelles de pâturage des herbivores sauvages. Au lieu de permettre aux animaux de paître continuellement sur la même parcelle ou de les nourrir avec des sources alternatives d’alimentation, les agriculteurs divisent les pâturages en sections plus petites et font paître leurs animaux une parcelle à la fois, laissant les autres sections se reposer. D’après ses promoteurs, le pâturage rotatif présente de nombreux avantages, notamment l’amélioration de la santé des sols.Autre avantage obtenu : l’augmentation de la biodiversité. Comme différentes zones du pâturage sont laissées à récupérer entre les périodes de pâturage, la diversité des plantes augmente, ce qui soutient un plus large éventail d’espèces animales et d’insectes. À noter également la réduction du besoin en engrais à travers le recyclage naturel des nutriments grâce à la distribution plus uniforme du fumier des animaux à travers les parcelles. Cela réduit le besoin d’engrais synthétiques, qui ont des impacts environnementaux nocifs, comme la dégradation des sols et la pollution des cours d’eau voisins.Selon l’organisation Alliance Biodiversity, ces pratiques permettent aussi l’amélioration du microclimat dans la mesure où les arbres fournissent de l’ombre et un abri au bétail, le protégeant des conditions météorologiques extrêmes telles que la chaleur et le froid. À savoir aussi que les arbres capturent et stockent le dioxyde de carbone. Les systèmes agroforestiers agissent comme des puits de carbone, absorbant plus de carbone que les pâturages ouverts traditionnels. Les études effectuées montrent que les systèmes sylvopastoraux ont stocké 27 à 163 % de carbone en plus par rapport aux pâturages ouverts. Notons enfin que le projet IKI Growing Greener vient d’être lancé à Madagascar. Il est mis en œuvre par le consortium GIZ et Conservation International (CI) et vise une rotation contrôlée des troupeaux, afin d’améliorer la qualité des sols et de la végétation. MALAGASY PROFESSIONNELS DE L’ÉLEVAGE - Une plateforme trentenaireL’élevage représente près de 13% du PIB de Madagascar (Src photo : MINAE).La plateforme Malagasy Professionnels de l’Élevage (MPE) s’active depuis une trentaine d’années pour la reconnaissance et le développement durable du secteur de l’élevage à Madagascar. Elle regroupe des éleveurs, des techniciens, des chercheurs et des partenaires engagés autour d’un objectif commun : dynamiser et rendre durable le secteur de l’élevage dans le pays.MPE organise cette semaine la 17e édition de la Foire de l’Élevage et de la Production Animale (FEPA) à son siège à Nanisana. Selon les explications fournies, cet événement contribue à mieux faire connaître et à professionnaliser les acteurs du secteur. Il s’agit aussi d’améliorer les revenus des éleveurs, d’assurer une alimentation saine pour les ménages malgaches, et partant de renforcer la sécurité alimentaire à Madagascar. « La foire constitue un moment clé de valorisation de l’élevage local et de sensibilisation du grand public à l’importance de cette filière dans notre quotidien. La FEPA est également une plateforme d’échanges, de formation, de découverte et de promotion, destinée autant aux professionnels qu’aux familles, aux jeunes, aux partenaires techniques et institutionnels », a expliqué une responsable au sein de MPE.Pour MPE, il est important de renforcer la visibilité du savoir-faire des paysans et de promouvoir les bonnes pratiques d’élevage tout en sensibilisant sur les enjeux de biosécurité, de bien-être animal et de nutrition. Et cette plateforme de noter aussi l’importance d’insuffler de nouvelles perspectives de collaboration entre les acteurs du développement rural. C’est dans cette perspective que la FEPA programme des conférences-débats, des stands d’exposition et de vente, des animations éducatives, des démonstrations techniques, des espaces d’échange pour les jeunes... Cette année, la foire sera en même temps un espace de plaidoyer pour une meilleure reconnaissance du rôle des éleveurs dans la lutte contre l’insécurité alimentaire. En outre, MPE et la FEPA se présentent comme des promotrices actives des initiatives locales qui participent à la transition vers un élevage plus durable et plus inclusif. Une forte mobilisation des acteurs du secteur et une meilleure compréhension des enjeux de l’élevage par le grand public sont ainsi de mise. De nouveaux partenariats techniques, économiques et institutionnels seront conclus dans ce cadre, afin de soutenir les éleveurs à développer leurs activités. “ En donnant la parole aux éleveurs, en exposant les réalités du terrain, et en stimulant l’innovation et la solidarité, nous nous positionnons comme un levier stratégique pour construire l’avenir du secteur de l’élevage durable ”, a-t-on aussi fait savoir.VERBATIMApollinaire Djikeng, directeur général de l’ILRI« L’Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI) célèbre ses 50 ans et présente une stratégie visionnaire pour transformer les systèmes d’élevage. Alors que le continent africain fait face à des défis alimentaires croissants, l’organisation repositionne sa mission vers un objectif plus ambitieux et plus durable. Nous sommes passés de l’objectif de faire en sorte que la révolution de l’élevage bénéficie aux populations pauvres à l’amélioration des vies et de la planète ».Angelo Rakotonindrina, président du Conseil d’Administration de MPE« ‘L’élevage, facteur clé de la sécurité alimentaire et du développement durable à Madagascar’, c’est le thème retenu pour l’édition de la Foire de l’Élevage et de la Production Animale de cette année, qui coïncide avec la célébration du 30e anniversaire de Malagasy Professionnels de l’Élevage ou MPE. Dans ce cadre, nous mettons en avant l’importance cruciale de l’élevage durable, des produits d’élevage dans l’alimentation de la population malgache ainsi que leur contribution à la sécurité alimentaire et à l’économie nationale ».LE SECTEUR ÉLEVAGE EN CHIFFRESL'Express de Madagascar",
      • "content": "À Madagascar comme dans d’autres pays de la région, le secteur de l’élevage joue un rôle essentiel dans la prise en compte de nombreux objectifs de développement durable, notamment lorsqu’il s’agit de soutenir les moyens d’existence, de générer des revenus, et de contribuer à une alimentation saine et à la résilience face au changement climatique. Selon les spécialistes, l’élevage durable vise à augmenter la productivité tout en utilisant moins de ressources. Cela conduit à une production accrue de nourriture de meilleure qualité pour répondre aux besoins d’une population croissante. Raison pour laquelle le secteur de l’élevage, qui représente près de 13% du PIB de Madagascar, est régulièrement mis en avant quand il s’agit de souligner les perspectives en matière de souveraineté alimentaire et de durabilité. Il est en outre précisé que l’élevage qui est pratiqué par plus de 70% des ménages ruraux est associé à des externalités telles que le changement climatique, la dégradation des terres et l’appauvrissement de la biodiversité. Cet état de fait conduit à mettre en place un cadre et des politiques propices à l’atténuation des effets du changement climatique, tout en poursuivant les Objectifs de développement durable (ODD). Plusieurs partenaires accompagnent Madagascar dans le cadre de ses actions en faveur de l’élevage durable. Parmi ceux-ci, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui appuie, entre autres, l’élaboration de politiques visant un élevage durable d’un point de vue social, économique et environnemental, ainsi que la mise au point de méthodes et outils à même de favoriser des politiques fondées sur des données scientifiques et des éléments concrets. « La FAO encourage une transformation durable, inclusive et efficace du secteur de l’élevage afin de contribuer à améliorer la production, la nutrition, les conditions de vie et l’environnement, sans que personne ne soit laissé de côté», soutient aussi cette organisation qui estime que l’élevage durable favorise la disponibilité à long terme du système agroalimentaire et assure une gestion efficace des effluents d’élevage dans la production animale, permettant de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre. «Bien que l’élevage durable puisse nécessiter des investissements initiaux, à long terme, il garantit une meilleure rentabilité. En effet, en optimisant les ressources et en réduisant le gaspillage, les éleveurs peuvent bénéficier d’une meilleure marge bénéficiaire», explique Bakoly Harisoa, experte dans le domaine de l’agroécologie. Elle ajoute que l’élevage durable peut également favoriser la création d’emplois locaux, notamment dans les régions rurales. « Il est impératif d’opter pour des méthodes durables qui respectent non seulement notre environnement, mais également les acteurs impliqués dans ce secteur. En combinant tradition et innovation, il est possible d’imaginer un futur où l’élevage coexistera harmonieusement avec la nature et les sociétés humaines», plaide-t-elle. Du côté du ministère de l’Agriculture et de l’Élevage (MINAE), on soutient que les initiatives se multiplient afin de faire en sorte que le secteur de l’élevage puisse se développer en tant que partie intégrante de systèmes agricoles plus durables qui équilibrent la demande avec la productivité, l’action climatique, la gestion environnementale, la protection des moyens de subsistance des agriculteurs et la viabilité économique. Le ministère reconnaît que faire de l’élevage durable une réalité sur l’ensemble du territoire constitue un défi de taille. Mais constate aussi que des avancées significatives sont déjà enregistrées. Un plan directeur à concrétiser On sait en outre qu’afin de contribuer à l’atteinte de l’objectif de la sécurité alimentaire inscrit dans la politique générale de l’État, le MINAE s’est attelé à l’élaboration d’un plan directeur du secteur de l’élevage. En collaboration avec l’Institut international de l’élevage - International Livestock Institute (ILRI) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), avec le soutien financier de la Banque mondiale, plusieurs techniciens ont suivi une série de formations pour leur permettre de mieux cerner les problématiques de l’élevage et de tester différents scénarios afin de développer des actions pertinentes pour atteindre une vision 2040 du secteur. Dans ce cadre, Madagascar peut s’appuyer sur le modèle d’accompagnement pays élaboré par l’IRLI pour la confection de plan directeur du secteur élevage. Ce modèle a été appliqué auparavant dans d’autres pays. A Madagascar, l’ILRI s’est organisé en consortium avec le Cirad ainsi que la FAO pour accompagner les entités publiques et en tenant compte des spécificités locales. “L’objectif est de dresser une vision du secteur de l’élevage dans un horizon de 15 ans et de tester différents scénarios qui permettront d’atteindre cette vision. Les impacts de chaque scénario au niveau financier, social, économique et environnemental seront évalués afin d’éclairer les décisions dans le secteur”, a-t-on expliqué. “ Notre mission n’est pas de prendre les décisions. C’est à Madagascar de décider en fonction des scénarios qui sont présentés. Le plan servira surtout de cadre pour les investissements. La vision construite avec les techniciens repose sur la durabilité, la rentabilité et la résilience du secteur élevage, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, la croissance économique mais stimulant également la cohésion sociale “, a déclaré Abdrahmane Wane, chercheur de l’ILRI et coordinateur de l’élaboration du Plan directeur du secteur de l’élevage à Madagascar. Les formations et les séances de consultation déjà organisées ont permis de construire la vision du secteur élevage avec les différentes parties prenantes. Une vaste étude sur la situation actuelle du secteur devrait aussi être menée afin de tester la faisabilité de ces différents scénarios. Il a aussi été expliqué que le document de plan stratégique sur 15 ans est prévu pour être décliné en feuilles de route quinquennales qui permettront un suivi régulier des actions. La méthodologie sur la chaîne de valeur et le Livestock Section Investment and Policy Toolkit (LSIPT) font partie des outils utilisés. À noter en outre que les chercheurs du Cirad de l’Unité mixte de recherche Systèmes d’élevage méditerranéens et tropicaux (UMR SELMET) interviennent à plusieurs phases du processus comme l’accompagnement dans la construction de la vision à partir de l’analyse prospective, la construction d’une cartographie de l’élevage à Madagascar pour visualiser l’état des lieux et également l’analyse de références de la situation de l’élevage via l’outil LSIPT. Des pratiques à vulgariser Parallèlement à l’élaboration du plan directeur du secteur de l’élevage, des actions sont déjà menées pour vulgariser les pratiques déjà approuvées comme étant favorables à l’élevage durable. Parmi celles-ci, il y a la gestion améliorée des pâturages qui imite les habitudes naturelles de pâturage des herbivores sauvages. Au lieu de permettre aux animaux de paître continuellement sur la même parcelle ou de les nourrir avec des sources alternatives d’alimentation, les agriculteurs divisent les pâturages en sections plus petites et font paître leurs animaux une parcelle à la fois, laissant les autres sections se reposer. D’après ses promoteurs, le pâturage rotatif présente de nombreux avantages, notamment l’amélioration de la santé des sols. Autre avantage obtenu : l’augmentation de la biodiversité. Comme différentes zones du pâturage sont laissées à récupérer entre les périodes de pâturage, la diversité des plantes augmente, ce qui soutient un plus large éventail d’espèces animales et d’insectes. À noter également la réduction du besoin en engrais à travers le recyclage naturel des nutriments grâce à la distribution plus uniforme du fumier des animaux à travers les parcelles. Cela réduit le besoin d’engrais synthétiques, qui ont des impacts environnementaux nocifs, comme la dégradation des sols et la pollution des cours d’eau voisins. Selon l’organisation Alliance Biodiversity, ces pratiques permettent aussi l’amélioration du microclimat dans la mesure où les arbres fournissent de l’ombre et un abri au bétail, le protégeant des conditions météorologiques extrêmes telles que la chaleur et le froid. À savoir aussi que les arbres capturent et stockent le dioxyde de carbone. Les systèmes agroforestiers agissent comme des puits de carbone, absorbant plus de carbone que les pâturages ouverts traditionnels. Les études effectuées montrent que les systèmes sylvopastoraux ont stocké 27 à 163 % de carbone en plus par rapport aux pâturages ouverts. Notons enfin que le projet IKI Growing Greener vient d’être lancé à Madagascar. Il est mis en œuvre par le consortium GIZ et Conservation International (CI) et vise une rotation contrôlée des troupeaux, afin d’améliorer la qualité des sols et de la végétation. La plateforme Malagasy Professionnels de l’Élevage (MPE) s’active depuis une trentaine d’années pour la reconnaissance et le développement durable du secteur de l’élevage à Madagascar. Elle regroupe des éleveurs, des techniciens, des chercheurs et des partenaires engagés autour d’un objectif commun : dynamiser et rendre durable le secteur de l’élevage dans le pays. MPE organise cette semaine la 17e édition de la Foire de l’Élevage et de la Production Animale (FEPA) à son siège à Nanisana. Selon les explications fournies, cet événement contribue à mieux faire connaître et à professionnaliser les acteurs du secteur. Il s’agit aussi d’améliorer les revenus des éleveurs, d’assurer une alimentation saine pour les ménages malgaches, et partant de renforcer la sécurité alimentaire à Madagascar. « La foire constitue un moment clé de valorisation de l’élevage local et de sensibilisation du grand public à l’importance de cette filière dans notre quotidien. La FEPA est également une plateforme d’échanges, de formation, de découverte et de promotion, destinée autant aux professionnels qu’aux familles, aux jeunes, aux partenaires techniques et institutionnels », a expliqué une responsable au sein de MPE. Pour MPE, il est important de renforcer la visibilité du savoir-faire des paysans et de promouvoir les bonnes pratiques d’élevage tout en sensibilisant sur les enjeux de biosécurité, de bien-être animal et de nutrition. Et cette plateforme de noter aussi l’importance d’insuffler de nouvelles perspectives de collaboration entre les acteurs du développement rural. C’est dans cette perspective que la FEPA programme des conférences-débats, des stands d’exposition et de vente, des animations éducatives, des démonstrations techniques, des espaces d’échange pour les jeunes... Cette année, la foire sera en même temps un espace de plaidoyer pour une meilleure reconnaissance du rôle des éleveurs dans la lutte contre l’insécurité alimentaire. En outre, MPE et la FEPA se présentent comme des promotrices actives des initiatives locales qui participent à la transition vers un élevage plus durable et plus inclusif. Une forte mobilisation des acteurs du secteur et une meilleure compréhension des enjeux de l’élevage par le grand public sont ainsi de mise. De nouveaux partenariats techniques, économiques et institutionnels seront conclus dans ce cadre, afin de soutenir les éleveurs à développer leurs activités. “ En donnant la parole aux éleveurs, en exposant les réalités du terrain, et en stimulant l’innovation et la solidarité, nous nous positionnons comme un levier stratégique pour construire l’avenir du secteur de l’élevage durable ”, a-t-on aussi fait savoir. Apollinaire Djikeng, directeur général de l’ILRI « L’Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI) célèbre ses 50 ans et présente une stratégie visionnaire pour transformer les systèmes d’élevage. Alors que le continent africain fait face à des défis alimentaires croissants, l’organisation repositionne sa mission vers un objectif plus ambitieux et plus durable. Nous sommes passés de l’objectif de faire en sorte que la révolution de l’élevage bénéficie aux populations pauvres à l’amélioration des vies et de la planète ». Angelo Rakotonindrina, président du Conseil d’Administration de MPE « ‘L’élevage, facteur clé de la sécurité alimentaire et du développement durable à Madagascar’, c’est le thème retenu pour l’édition de la Foire de l’Élevage et de la Production Animale de cette année, qui coïncide avec la célébration du 30e anniversaire de Malagasy Professionnels de l’Élevage ou MPE. Dans ce cadre, nous mettons en avant l’importance cruciale de l’élevage durable, des produits d’élevage dans l’alimentation de la population malgache ainsi que leur contribution à la sécurité alimentaire et à l’économie nationale ». L'Express de Madagascar",
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      • "content": "À Madagascar, le dispositif légal permet aux Officiers de police judiciaire (OPJ) ainsi qu’aux administrations spécialisées – telles que l’administration fiscale, l’administration douanière ou l’administration des eaux et forêts – les gels, les saisies ainsi que les confiscations des biens ou des fonds dans le cadre des infractions relevant de la compétence du pôle anti-corruption (PAC). L’article 7 de la loi n°2016 - 021 sur les Pôles anti-corruption, modifiée et complétée par la loi n° 2021-015 dispose que : « Afin de garantir la fiabilité et la rapidité des décisions relatives à la saisie, au gel et à la confiscation des avoirs, il est institué auprès du PAC une Chambre spéciale, de composition tournante, chargée de statuer en cette matière, nommée la Chambre de la saisie et confiscation des avoirs. » La Chambre est composée de trois magistrats du siège. Cette composition est tournante à chaque audience. La Chambre est présidée par le plus gradé des trois magistrats qui la composent. Dans la pratique, lorsque les OPJ ou les administrations spécialisées prennent une mesure de gel, de saisie ou de confiscation de fonds ou d’objets, ils doivent transmettre le procès-verbal de saisie au procureur du PAC compétent dans le délai de vingt-quatre heures (24H) pour les districts où siège la juridiction, quarante-huit heures (48H) pour les districts limitrophes et cinq (5) jours maximum pour les districts non limitrophes. Le procureur (ou son substitut) transmet ce procès-verbal réceptionné à la Chambre dans un délai de vingt-quatre heures (24H) afin que celle-ci rende une décision qui confirme ces mesures. La Chambre peut également être saisie par le ministère public ou bien le juge d’instruction, afin qu’elle ordonne le gel, la saisie ou la confiscation de biens ou fonds susceptibles d’avoir été obtenus à l’aide d’infractions. Le propriétaire des biens, les tiers ayant des droits sur les biens saisis ou leur Avocat, tout comme procureur de la république près le PAC ou son substitut, peuvent former opposition à l’encontre de la décision de la chambre dans un délai de dix (10) jours à compter de la notification de la décision ou de la prise de connaissance du gel ou de la saisie. Dans ce cas, l’article 11 alinéa 3 de la loi n°2016 – 021 précise que : « La Chambre de la saisie et confiscation des avoirs statue après débats avec les parties ou leurs conseils, et réquisitions du Ministère Public, par décision de saisie ou de mainlevée et restitution, rendue sous huitaine. » Cette décision est susceptible d’appel dans un délai de dix (10) jours de sa notification. Il est fortement recommandé de recourir aux services d’un Avocat pour toutes procédures auprès du PAC. Article rédigé par Maîtres : Iantsonirina Rakotovao Andriamitantso, Andrinirina Yves Randrianaivo, Jean Joelin Francel Solofoniaina (en stage à Nosy Be / Section d’Antsiranana), Rafanomezantsoa Anjatiana Miora (Section de Fianarantsoa), Avocats stagiaires",
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      • "description": "Légende : Zouzar Bouka était déjà un des quatre survivants d'un accident d'avionDernière ligne droite. Après près d’un mois d’entraînement et d’acclimatation au cœur de la montagne de l’Himalaya, la famille Bouka arrive enfin au bout de son aventure. Zouzar, Raïs et Raj Alexandre se prépareront ce week-end pour l’assaut final du sommet de l’Everest, situé à 8848 mètres d’altitude. Une étape qui se fera en près de quatre jours, en passant par les camps 1, 2, 3 et 4. Si tout se passe comme prévu, le sommet sera atteint dans la nuit du quatrième jour. Les alpinistes redescendront ensuite, le même jour, jusqu’au camp 2 où ils passeront la nuit avant de retourner au camp de base. « À 25 ans, j’ai survécu à un crash d’avion. Nous n’étions que quatre survivants parmi des dizaines de passagers. Cette expérience m’a profondément marqué : j’ai compris à quel point la vie est fragile et précieuse. Depuis ce jour, chaque moment compte. Chaque seconde passée avec mes proches a un goût unique. Ce projet Everest, c’est bien plus qu’une aventure, c’est une manière de dire à mes enfants que la vie est un trésor, qu’il faut oser rêver grand, ensemble. Ce rêve, c’est le nôtre », déclare Zouzar Bouka dans une vidéo partagée sur son réseau social, à quelques heures du grand départ.L’idée de gravir le mont Everest est née à l’issue d’un autre challenge réalisé par les trois hommes en 2021 pour atteindre l’un des sommets les plus mythiques de Madagascar, le pic Boby. Depuis leur prise de décision, les trois hommes se sont lancés dans un entraînement intense, ont gravi d’autres sommets moins élevés dans le monde et à Madagascar. Car l’ascension de l’Everest n’est pas seulement difficile mais peut également être mortelle. Des centaines d’alpinistes y ont déjà laissé leur vie. Le froid extrême qui peut atteindre -40°, le manque d’oxygène en altitude qui en fait une véritable épreuve physique sont autant de paramètres à appréhender. Avant l’Everest, il y avait donc eu le Tsiafajavona, les massifs de l’Imerina, les canyons du Makay, le Kilimandjaro (5 895 m), le Mount Baker, Lobuche (6 119 m), Island Peak (6 165 m), San Francisco (6 016 m), Ojos del Salado (6 890 m), et l’Aconcagua (6 961 m), le plus haut sommet du continent américain, conquis en février 2025. « Le pic Boby n’est peut-être pas la plus haute montagne, mais elle signifiait tout pour nous. C’est là que nous avons compris que nous pouvions accomplir quelque chose de spécial, créer un héritage familial et vivre une expérience inoubliable. Une opportunité aussi d’emmener le drapeau malgache là où il n’est encore jamais allé : au sommet de l’Everest », partage Zouzar Bouka à propos de leur aventure en famille.Les yeux de Madagascar sont donc rivés sur le mont Everest dans les jours à venir. Mais la communication étant difficile, voire impossible, au cœur du relief accidenté de l’Himalaya, il faudra un peu de patience avant d’avoir de leurs dernières nouvelles.L'Express de Madagascar",
      • "content": "« À 25 ans, j’ai survécu à un crash d’avion. Nous n’étions que quatre survivants parmi des dizaines de passagers. Cette expérience m’a profondément marqué : j’ai compris à quel point la vie est fragile et précieuse. Depuis ce jour, chaque moment compte. Chaque seconde passée avec mes proches a un goût unique. Ce projet Everest, c’est bien plus qu’une aventure, c’est une manière de dire à mes enfants que la vie est un trésor, qu’il faut oser rêver grand, ensemble. Ce rêve, c’est le nôtre », déclare Zouzar Bouka dans une vidéo partagée sur son réseau social, à quelques heures du grand départ. L’idée de gravir le mont Everest est née à l’issue d’un autre challenge réalisé par les trois hommes en 2021 pour atteindre l’un des sommets les plus mythiques de Madagascar, le pic Boby. Depuis leur prise de décision, les trois hommes se sont lancés dans un entraînement intense, ont gravi d’autres sommets moins élevés dans le monde et à Madagascar. Car l’ascension de l’Everest n’est pas seulement difficile mais peut également être mortelle. Des centaines d’alpinistes y ont déjà laissé leur vie. Le froid extrême qui peut atteindre -40°, le manque d’oxygène en altitude qui en fait une véritable épreuve physique sont autant de paramètres à appréhender. Avant l’Everest, il y avait donc eu le Tsiafajavona, les massifs de l’Imerina, les canyons du Makay, le Kilimandjaro (5 895 m), le Mount Baker, Lobuche (6 119 m), Island Peak (6 165 m), San Francisco (6 016 m), Ojos del Salado (6 890 m), et l’Aconcagua (6 961 m), le plus haut sommet du continent américain, conquis en février 2025. « Le pic Boby n’est peut-être pas la plus haute montagne, mais elle signifiait tout pour nous. C’est là que nous avons compris que nous pouvions accomplir quelque chose de spécial, créer un héritage familial et vivre une expérience inoubliable. Une opportunité aussi d’emmener le drapeau malgache là où il n’est encore jamais allé : au sommet de l’Everest », partage Zouzar Bouka à propos de leur aventure en famille. Les yeux de Madagascar sont donc rivés sur le mont Everest dans les jours à venir. Mais la communication étant difficile, voire impossible, au cœur du relief accidenté de l’Himalaya, il faudra un peu de patience avant d’avoir de leurs dernières nouvelles. L'Express de Madagascar",
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      • "description": "Dans le cadre de l’amélioration de la productivité agricole et de l’augmentation de la production en semences de riz dans la région Boeny, une délégation du ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, dirigée par le ministre François Sergio Hajarison, ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, a effectué une visite dans les communes rurales d’Ankazomborona et de Tsararano, situées dans le district de Marovoay, jeudi dernier. Des éléments du projet Programme de Résilience des Systèmes Alimentaires (Food System Resilience Program ou FRSP) ont accompagné la délégation.« Le ministère déploie actuellement de grands efforts pour améliorer les semences de riz. L’objectif est d’obtenir des semences qui produisent un rendement de 6 tonnes à l’hectare pour lutter contre la pauvreté, selon la vision du Président. L’objectif est également de restaurer la réputation de la région Boeny en matière de production de riz », a déclaré le ministre. C’était lors de la visite de courtoisie effectuée auprès du gouverneur de la région Boeny, Mokhtar Andriatomanga, au bloc administratif à Ampisikina, jeudi matin.La région Boeny est l’une des régions qui bénéficient du projet FRSP financé par la Banque mondiale depuis l’année dernière.Le FRSP vise à améliorer la gestion des risques liés aux systèmes alimentaires régionaux, à améliorer les performances du secteur agricole, à stimuler la productivité, à réduire l’empreinte écologique par le biais d’une gestion durable des ressources naturelles et à promouvoir des technologies agricoles intelligentes au climat.« Je suis très heureux de cette visite à Ankazomborona et Tsararano. Et il en est autant pour les agriculteurs. Votre visite redonne l’espoir que les problèmes agricoles à Marovoay seront résolus. Entre autres, la gestion de l’eau et des canaux. D’ailleurs, le projet PADAP est achevé depuis l’année dernière. Les agriculteurs sont trop préoccupés par l’utilisation de l’eau, et l’incapacité des agriculteurs à se développer ensemble au sein des coopératives constitue une difficulté à résoudre. Ils préfèrent travailler seuls. Une réforme des coopératives est souhaitée. Il y a également le problème de la société SOMIA. Nous sommes aussi en attente de l’impact du nouveau matériel, la nouvelle batteuse, sur le rendement », a énuméré le gouverneur.Du matériel mécanique et manuel de riziculture seront fournis aux agriculteurs d’Ankazomborona et de Tsararano. Une rencontre avec le Comité de Gestion de Matériels Agricoles (CGMA), mis en place en 2024, sur l’utilisation de ces matériels, est prévue à Tsararano. Une démonstration de ces matériels sera effectuée. Le ministre prévoit également une rencontre avec le maire d’Ankazomborona.Une rencontre avec les agriculteurs bénéficiaires du projet d’amélioration de la productivité rizicole sur les Hautes Terres Centrales, ou PAPRIz, figurait au programme de la délégation ministérielle à Ankazomborona, ainsi que la visite du centre de multiplication des semences.Vero Andrianarisoa",
      • "content": "Dans le cadre de l’amélioration de la productivité agricole et de l’augmentation de la production en semences de riz dans la région Boeny, une délégation du ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, dirigée par le ministre François Sergio Hajarison, ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, a effectué une visite dans les communes rurales d’Ankazomborona et de Tsararano, situées dans le district de Marovoay, jeudi dernier. Des éléments du projet Programme de Résilience des Systèmes Alimentaires (Food System Resilience Program ou FRSP) ont accompagné la délégation. « Le ministère déploie actuellement de grands efforts pour améliorer les semences de riz. L’objectif est d’obtenir des semences qui produisent un rendement de 6 tonnes à l’hectare pour lutter contre la pauvreté, selon la vision du Président. L’objectif est également de restaurer la réputation de la région Boeny en matière de production de riz », a déclaré le ministre. C’était lors de la visite de courtoisie effectuée auprès du gouverneur de la région Boeny, Mokhtar Andriatomanga, au bloc administratif à Ampisikina, jeudi matin. La région Boeny est l’une des régions qui bénéficient du projet FRSP financé par la Banque mondiale depuis l’année dernière. Le FRSP vise à améliorer la gestion des risques liés aux systèmes alimentaires régionaux, à améliorer les performances du secteur agricole, à stimuler la productivité, à réduire l’empreinte écologique par le biais d’une gestion durable des ressources naturelles et à promouvoir des technologies agricoles intelligentes au climat. « Je suis très heureux de cette visite à Ankazomborona et Tsararano. Et il en est autant pour les agriculteurs. Votre visite redonne l’espoir que les problèmes agricoles à Marovoay seront résolus. Entre autres, la gestion de l’eau et des canaux. D’ailleurs, le projet PADAP est achevé depuis l’année dernière. Les agriculteurs sont trop préoccupés par l’utilisation de l’eau, et l’incapacité des agriculteurs à se développer ensemble au sein des coopératives constitue une difficulté à résoudre. Ils préfèrent travailler seuls. Une réforme des coopératives est souhaitée. Il y a également le problème de la société SOMIA. Nous sommes aussi en attente de l’impact du nouveau matériel, la nouvelle batteuse, sur le rendement », a énuméré le gouverneur. Du matériel mécanique et manuel de riziculture seront fournis aux agriculteurs d’Ankazomborona et de Tsararano. Une rencontre avec le Comité de Gestion de Matériels Agricoles (CGMA), mis en place en 2024, sur l’utilisation de ces matériels, est prévue à Tsararano. Une démonstration de ces matériels sera effectuée. Le ministre prévoit également une rencontre avec le maire d’Ankazomborona. Une rencontre avec les agriculteurs bénéficiaires du projet d’amélioration de la productivité rizicole sur les Hautes Terres Centrales, ou PAPRIz, figurait au programme de la délégation ministérielle à Ankazomborona, ainsi que la visite du centre de multiplication des semences. Vero Andrianarisoa",
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      • "description": "Des patients au service des urgences du CHU JRA.Un enfant de 4 ans décède peu de temps après sa sortie d’un hôpital à Antananarivo, jeudi après-midi. Hospitalisé depuis mardi, suite à une détresse respiratoire, accentuée par une malnutrition aiguë, sa famille a décidé de le faire sortir de l’hôpital, jeudi, bien que son état de santé ait été préoccupant. Pour justifier cette décision, la mère de l’enfant a expliqué, hier, qu’elle et ses proches n’avaient plus de moyens pour continuer les soins, et ils commençaient à perdre espoir pour sa guérison. Ce cas n’est pas isolé. Un père de famille d’une cinquantaine d’années a succombé chez lui dans l’Avaradrano, le samedi 3 mai. Le médecin qui l’a consulté la veille de sa mort, l’a référé dans un centre hospitalier universitaire (CHU). Son état de santé nécessitait une hospitalisation. Faute d’argent, il est retourné chez lui où il a, malheureusement, attendu la mort.Beaucoup de malades meurent faute de moyens, à Madagascar. Les dépenses de santé ne sont pas prises en compte dans le budget des ménages. « Nous n’avons même pas de quoi nous nourrir au quotidien, alors comment voulez-vous que nous mettions de l’argent de côté pour nous soigner ? », lance Bodo, dont le fils a été gravement malade, il y a quelques semaines, et qui a fait des portes à portes dans son village pour demander de l’aide pour soigner son enfant.«Sortir de l’hôpital avant la fin de la prise en charge est un choix du patient et de sa famille et non de l’hôpital. Si le patient a encore besoin de soins, l’hôpital les poursuit grâce au système de prise en charge sociale, qui est dédié aux patients dans la précarité», indique le directeur d’un établissement hospitalier.L’État a, par ailleurs, mis en œuvre le Fonds d’urgence sanitaire pour alléger les charges des familles en milieu hospitalier. Ce Fonds d’urgence sanitaire devrait couvrir les besoins de médicaments et de matériel médical nécessaire pour les premiers soins. Souvent, les familles n’arrivent pas à réunir les moyens pour assurer la poursuite des soins.Miangaly Ralitera",
      • "content": "Un enfant de 4 ans décède peu de temps après sa sortie d’un hôpital à Antananarivo, jeudi après-midi. Hospitalisé depuis mardi, suite à une détresse respiratoire, accentuée par une malnutrition aiguë, sa famille a décidé de le faire sortir de l’hôpital, jeudi, bien que son état de santé ait été préoccupant. Pour justifier cette décision, la mère de l’enfant a expliqué, hier, qu’elle et ses proches n’avaient plus de moyens pour continuer les soins, et ils commençaient à perdre espoir pour sa guérison. Ce cas n’est pas isolé. Un père de famille d’une cinquantaine d’années a succombé chez lui dans l’Avaradrano, le samedi 3 mai. Le médecin qui l’a consulté la veille de sa mort, l’a référé dans un centre hospitalier universitaire (CHU). Son état de santé nécessitait une hospitalisation. Faute d’argent, il est retourné chez lui où il a, malheureusement, attendu la mort. Beaucoup de malades meurent faute de moyens, à Madagascar. Les dépenses de santé ne sont pas prises en compte dans le budget des ménages. « Nous n’avons même pas de quoi nous nourrir au quotidien, alors comment voulez-vous que nous mettions de l’argent de côté pour nous soigner ? », lance Bodo, dont le fils a été gravement malade, il y a quelques semaines, et qui a fait des portes à portes dans son village pour demander de l’aide pour soigner son enfant. «Sortir de l’hôpital avant la fin de la prise en charge est un choix du patient et de sa famille et non de l’hôpital. Si le patient a encore besoin de soins, l’hôpital les poursuit grâce au système de prise en charge sociale, qui est dédié aux patients dans la précarité», indique le directeur d’un établissement hospitalier. L’État a, par ailleurs, mis en œuvre le Fonds d’urgence sanitaire pour alléger les charges des familles en milieu hospitalier. Ce Fonds d’urgence sanitaire devrait couvrir les besoins de médicaments et de matériel médical nécessaire pour les premiers soins. Souvent, les familles n’arrivent pas à réunir les moyens pour assurer la poursuite des soins. Miangaly Ralitera",
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      • "description": "Le père Tsiatosika Anatole Robson Norbert Andrianarinjaka, âgé de 37 ans, a été retrouvé mort chez lui. Il sera inhumé cet après-midi au cimetière des prêtres diocésains de Mandaniresaka, à Antsirabe.Il exerçait sa mission pastorale à Morarano Morafeno, dans une zone reculée de la commune d’Ambatotsipihina, district de Mandoto, où il a rendu l’âme. Il a été retrouvé sans vie à son domicile, jeudi matin.La veille au soir, il avait encore célébré la messe. Le lendemain, ne le voyant pas se présenter au petit-déjeuner, ses proches se sont inquiétés. En se rendant à sa chambre, ils ont découvert qu’il était déjà décédé.Un médecin, appelé à constater le décès, a confirmé une mort naturelle. On ignore s’il s’agit d’un accident vasculaire cérébral ou d’une autre cause. Aucune anomalie ou indice suspect n’a été relevé par la gendarmerie, également informée des faits. Ordonné prêtre le samedi 17 septembre 2022, le père Tsiatosika a été conduit hier à la salle d'œuvre de la cathédrale d'Antsirabe. Une célébration eucharistique a eu lieu vers 17 h en sa mémoire. Gustave Mparany",
      • "content": "Le père Tsiatosika Anatole Robson Norbert Andrianarinjaka, âgé de 37 ans, a été retrouvé mort chez lui. Il sera inhumé cet après-midi au cimetière des prêtres diocésains de Mandaniresaka, à Antsirabe. Il exerçait sa mission pastorale à Morarano Morafeno, dans une zone reculée de la commune d’Ambatotsipihina, district de Mandoto, où il a rendu l’âme. Il a été retrouvé sans vie à son domicile, jeudi matin. La veille au soir, il avait encore célébré la messe. Le lendemain, ne le voyant pas se présenter au petit-déjeuner, ses proches se sont inquiétés. En se rendant à sa chambre, ils ont découvert qu’il était déjà décédé. Un médecin, appelé à constater le décès, a confirmé une mort naturelle. On ignore s’il s’agit d’un accident vasculaire cérébral ou d’une autre cause. Aucune anomalie ou indice suspect n’a été relevé par la gendarmerie, également informée des faits. Ordonné prêtre le samedi 17 septembre 2022, le père Tsiatosika a été conduit hier à la salle d'œuvre de la cathédrale d'Antsirabe. Une célébration eucharistique a eu lieu vers 17 h en sa mémoire. Gustave Mparany",
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      • "description": "Dans une gendarmerie, quand un gendarme rit, tous les gendarmes rient. Le contraire est aussi vrai. Et c’est plutôt le cas en ce moment. Deux colonels ont fait l’actualité ces derniers jours en l’occurrence le médecin-colonel Patrick Rakotomamonjy et le colonel Tahina Ravelomanana. Le premier a pu s’évader alors qu’il était en garde à vue au Toby Ratsimandrava après avoir été soupçonné d’être le poseur de cocktails Molotov en deux endroits de la capitale. Ensuite le colonel Tahina Ravelomanana, directeur de la police judiciaire de la gendarmerie, tenu pour responsable de l’évasion du médecin-colonel, a été limogé illico presto. Une décision qui a fait monter la moutarde au nez du président du Sénat, le général Richard Ravalomanana, ancien secrétaire d’État à la gendarmerie, ancien commandant régional de la gendarmerie à Analamanga. Il a carrément pris la défense du colonel Tahina Ravelomanana qu’il a qualifié d’intègre et d’irréprochable dans l’exercice de ses fonctions. Une prise de position très nette et sans équivoque. Le général Richard Ravalomanana est allé jusqu’à affirmer que personne ne peut prétendre mieux connaître les gendarmes que lui, ni le Premier ministre, ni le président de la République. Une déclaration fracassante qui a secoué le microcosme politique en général et l’armée en particulier. Deux officiers supérieurs importants sont victimes d’une vague de sanctions. Si le colonel Tahina Ravelomanana est un officier modèle à en juger les plaidoiries du général Richard Ravalomanana, le colonel Patrick Rakotomamonjy n’est pas moins un médecin très apprécié au sein de la grande famille des militaires. Son épouse, incarcérée pour l’affaire de cocktails Molotov avant d’être libérée sur la demande du président de la République, est également un médecin à l’hôpital de Soavinandriana. On peut donc comprendre pourquoi le colonel Patrick Rakotomamonjy a pu bénéficier des largesses pour pouvoir prendre la poudre d’escampette. L’affaire risque ainsi de prendre des proportions plus graves si elle n’est pas maîtrisée eu égard à la réaction du général Richard Ravalomanana. Un incident a priori léger mais traité de façon maladroite qui risque de devenir une véritable poudrière. Sylvain Ranjalahy",
      • "content": "Dans une gendarmerie, quand un gendarme rit, tous les gendarmes rient. Le contraire est aussi vrai. Et c’est plutôt le cas en ce moment. Deux colonels ont fait l’actualité ces derniers jours en l’occurrence le médecin-colonel Patrick Rakotomamonjy et le colonel Tahina Ravelomanana. Le premier a pu s’évader alors qu’il était en garde à vue au Toby Ratsimandrava après avoir été soupçonné d’être le poseur de cocktails Molotov en deux endroits de la capitale. Ensuite le colonel Tahina Ravelomanana, directeur de la police judiciaire de la gendarmerie, tenu pour responsable de l’évasion du médecin-colonel, a été limogé illico presto. Une décision qui a fait monter la moutarde au nez du président du Sénat, le général Richard Ravalomanana, ancien secrétaire d’État à la gendarmerie, ancien commandant régional de la gendarmerie à Analamanga. Il a carrément pris la défense du colonel Tahina Ravelomanana qu’il a qualifié d’intègre et d’irréprochable dans l’exercice de ses fonctions. Une prise de position très nette et sans équivoque. Le général Richard Ravalomanana est allé jusqu’à affirmer que personne ne peut prétendre mieux connaître les gendarmes que lui, ni le Premier ministre, ni le président de la République. Une déclaration fracassante qui a secoué le microcosme politique en général et l’armée en particulier. Deux officiers supérieurs importants sont victimes d’une vague de sanctions. Si le colonel Tahina Ravelomanana est un officier modèle à en juger les plaidoiries du général Richard Ravalomanana, le colonel Patrick Rakotomamonjy n’est pas moins un médecin très apprécié au sein de la grande famille des militaires. Son épouse, incarcérée pour l’affaire de cocktails Molotov avant d’être libérée sur la demande du président de la République, est également un médecin à l’hôpital de Soavinandriana. On peut donc comprendre pourquoi le colonel Patrick Rakotomamonjy a pu bénéficier des largesses pour pouvoir prendre la poudre d’escampette. L’affaire risque ainsi de prendre des proportions plus graves si elle n’est pas maîtrisée eu égard à la réaction du général Richard Ravalomanana. Un incident a priori léger mais traité de façon maladroite qui risque de devenir une véritable poudrière. Sylvain Ranjalahy",
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      • "description": "Madagascar compte actuellement environ deux cents experts-comptables. Un chiffre jugé insuffisant pour couvrir les besoins du pays. « Cependant, les métiers d’expert-comptable et de financier, régis par l’ordonnance n°92-047, jouent un rôle clé dans le tissu économique malgache. Au cœur de la création d’entreprises, ils interviennent également dans la résolution des difficultés rencontrées par les sociétés et veillent à une saine gestion financière », souligne Hajanirina Razakamahefa, secrétaire général de l’Ordre des Experts-Comptables et Financiers de Madagascar (OECFM) lors d’une cérémonie de prestation de serment des dix-sept nouveaux Experts-Comptables et financiers au Palais de la justice à Anosy, hier.Pourtant, leur nombre reste insuffisant face aux besoins croissants du secteur privé. Dans un environnement économique en mutation, les experts-comptables sont des acteurs essentiels pour garantir la transparence et le respect des normes financières. « D’où l’importance du serment que ces professionnels prêtent avant d’entrer officiellement en fonction. Celui-ci les engage à respecter la loi et à œuvrer pour qu’elle soit respectée dans le cadre de leur mission », continue le SG de l’OECFM.Cette pénurie ouvre la voie à des dérives inquiétantes, notamment la multiplication des usurpations de titre. L’Ordre des experts-comptables tire la sonnette d’alarme. De plus en plus de personnes se présentent comme experts-comptables sans en avoir le droit. Certaines possèdent un diplôme, mais n’ont ni prêté serment ni été inscrites au tableau de l’Ordre. « Cela constitue une fraude », rappelle Hajanirina Razakamahefa. Et les sanctions peuvent être sévères : l’usurpation de fonction est un délit passible de poursuites judiciaires, voire de peines d’emprisonnement.Face à cette situation, l’Ordre entend intensifier ses actions de sensibilisation et de contrôle afin de protéger la profession et les entreprises contre ces pratiques frauduleuses.Mialisoa Ida",
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      • "description": "Le 27e commandant de la circonscription de la gendarmerie nationale de Mahajanga vient d’être installé officiellement jeudi dernier.La cérémonie militaire de passation de commandement entre le nouveau commandant, le général de brigade Bernard Dieudonné Tsiketa, et le colonel Louis Franco Marovavy s’est déroulée au boulevard Poincaré, au bord de la mer, à Mahajanga Be.Le nouveau locataire de la CIRGN de Mahajanga a été nommé lors du Conseil des ministres du 4 décembre dernier, tandis que le commandant sortant est muté à Antsiranana.Le général de division Andriatahiana Herbert Rakotomalala, commandant de la gendarmerie nationale, a dirigé la cérémonie militaire, illustrée par un défilé des gendarmes et des véhicules, comme le veulent les coutumes militaires.Le général de brigade Bernard Dieudonné Tsiketa a promis de poursuivre le travail accompli par son prédécesseur et de faire son possible pour mener à bien les tâches et responsabilités qui lui sont confiées.La juridiction de la CIRGN de Mahajanga couvre les régions Boeny, Sofia et Betsiboka, jusqu’à la région Melaky.Vero Andrinarisoa",
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      • "description": "L’expatrié de Lyon, en France, Tsilavina Hariliva Rabeson participera pour la première fois à une compétition d’envergure mondiale. Engagé dans la catégorie des Masters 2, soit entre 34 et 39 ans, chez les -68 kg, Liva Rabeson sera en lice aux Jeux Mondiaux de Taipei, en Chine, qui s’étaleront du 17 au 30 mai. Le fondateur du club Chinjok à Madagascar avait validé sa qualification en remportant le titre de champion de France de la catégorie lors du critérium national français au mois de janvier. Le multiple champion de Madagascar dans les catégories juniors et seniors, entre 2004 et 2009, avait déjà décroché le titre de champion de France des Masters 2 en 2023. Il avait, la précédente saison, terminé vice-champion de France, catégorie Masters 1, en 2022, mais dans la catégorie des -80 kg. Participer à une compétition de haut niveau mondial a été un rêve pour l’expatrié de Lyon. Il a entamé sa préparation depuis le mois d’octobre. Il avait disputé le critérium national et a, de suite, poursuivi une préparation intensive. « Je m’entraîne cinq fois par semaine, trois fois avec mon club et deux fois au centre de préparation en France», confie Liva Rabeson, également champion de l’océan Indien lorsqu’il évoluait encore au pays.Serge Rasanda",
      • "content": "L’expatrié de Lyon, en France, Tsilavina Hariliva Rabeson participera pour la première fois à une compétition d’envergure mondiale. Engagé dans la catégorie des Masters 2, soit entre 34 et 39 ans, chez les -68 kg, Liva Rabeson sera en lice aux Jeux Mondiaux de Taipei, en Chine, qui s’étaleront du 17 au 30 mai. Le fondateur du club Chinjok à Madagascar avait validé sa qualification en remportant le titre de champion de France de la catégorie lors du critérium national français au mois de janvier. Le multiple champion de Madagascar dans les catégories juniors et seniors, entre 2004 et 2009, avait déjà décroché le titre de champion de France des Masters 2 en 2023. Il avait, la précédente saison, terminé vice-champion de France, catégorie Masters 1, en 2022, mais dans la catégorie des -80 kg. Participer à une compétition de haut niveau mondial a été un rêve pour l’expatrié de Lyon. Il a entamé sa préparation depuis le mois d’octobre. Il avait disputé le critérium national et a, de suite, poursuivi une préparation intensive. « Je m’entraîne cinq fois par semaine, trois fois avec mon club et deux fois au centre de préparation en France», confie Liva Rabeson, également champion de l’océan Indien lorsqu’il évoluait encore au pays. Serge Rasanda",
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      • "description": "Pour les passionnés de basketball, Basketinforum se révèle être une véritable mine d’or. Ce forum spécialisé offre une richesse d’informations et d’échanges autour de ce sport dynamique. Parmi ses nombreuses rubriques, certaines se démarquent par leur pertinence et leur popularité.La rubrique ‘Actualités’ permet de suivre les dernières nouvelles des ligues professionnelles et amateurs, tandis que ‘Analyses de match’ offre ...The post Basketinforum : les meilleures rubriques à ne pas manquer appeared first on Gasy.",
      • "content": "Pour les passionnés de basketball, Basketinforum se révèle être une véritable mine d’or. Ce forum spécialisé offre une richesse d’informations et d’échanges autour de ce sport dynamique. Parmi ses nombreuses rubriques, certaines se démarquent par leur pertinence et leur popularité. La rubrique ‘Actualités’ permet de suivre les dernières nouvelles des ligues professionnelles et amateurs, tandis que ‘Analyses de match’ offre des décryptages pointus des rencontres les plus marquantes. Les sections ‘Débats et Discussions’ et ‘Jeunes Talents’ créent une plateforme idéale pour échanger des avis et découvrir les futures étoiles du basketball. Ne manquez pas ces espaces incontournables ! A découvrir également : Carte du sud de la Corse : les joyaux cachés de Bonifacio Plan de l'article Basketinforum : une communauté passionnée de basketball Les rubriques phares Un espace d’échange et de partage Les rubriques incontournables pour les fans Actualités et Transferts Analyses et Décryptages Débats et Discussions Jeunes Talents Les discussions les plus animées Comparaisons entre joueurs Évolutions tactiques Règlements et arbitrage Impacts socio-économiques Les avantages de rejoindre Basketinforum Communauté engagée Accès à des analyses détaillées Actualités en temps réel Ressources éducatives Basketinforum : une communauté passionnée de basketball Basketinforum se distingue par la richesse de ses contenus et la diversité des discussions. Les adeptes de ce sport y trouvent une plateforme vivante où les échanges sont nourris et constructifs. Les rubriques phares Actualités : Suivez les dernières nouvelles des ligues professionnelles et amateurs, avec des analyses fines et des informations en temps réel. Analyses de match : Plongez dans les décryptages détaillés des rencontres majeures. Comprenez les stratégies, les performances et les moments clés. Débats et Discussions : Participez aux échanges sur des sujets variés, allant des règles du jeu aux performances des joueurs, en passant par les évolutions tactiques. Jeunes Talents : Découvrez les futures étoiles du basketball en suivant les parcours des jeunes prodiges et en partageant vos découvertes. Un espace d’échange et de partage La communauté de Basketinforum est unie par une même passion. Les membres, qu’ils soient novices ou experts, trouvent ici un lieu où leurs voix sont entendues et respectées. Les discussions se déroulent dans un climat de convivialité, favorisant l’apprentissage et le partage d’expériences. Lire également : Sac de survie : que devez-vous emmener ? Rubrique Description Actualités Les dernières nouvelles des ligues et des clubs. Analyses de match Des décryptages détaillés des rencontres. Débats et Discussions Des échanges sur divers sujets liés au basketball. Jeunes Talents La découverte des futures stars du basketball. La participation active des membres et la qualité des échanges font de Basketinforum une référence incontournable pour tous les passionnés de basketball. Les rubriques incontournables pour les fans Actualités et Transferts La rubrique Actualités est une mine d’or pour ceux qui veulent rester informés des évolutions du basketball. Les articles couvrent les dernières nouvelles des ligues professionnelles et amateurs, les transferts, et les annonces officielles des clubs. Les récentes transactions de joueurs et les rumeurs de transfert sont analysées avec rigueur, offrant une compréhension claire des mouvements sur le marché. Analyses et Décryptages Les amateurs de stratégie et de technique apprécieront la section Analyses de match . Ici, les rédacteurs décortiquent les rencontres majeures, mettant en lumière les choix tactiques, les performances individuelles et les moments décisifs. Ces analyses permettent de saisir les subtilités du jeu et d’améliorer ses propres connaissances. Débats et Discussions La rubrique Débats et Discussions invite les fans à participer à des échanges passionnés sur divers sujets. Qu’il s’agisse de discuter des règles du jeu, de comparer les performances des joueurs ou de débattre des évolutions tactiques, les discussions sont animées et enrichissantes. Cette section crée un espace où chacun peut exprimer ses opinions et apprendre des autres. Jeunes Talents La découverte de nouveaux talents est une des joies du basketball. La rubrique Jeunes Talents met en avant les futurs prodiges du sport. Suivez les parcours des jeunes joueurs prometteurs, leurs performances et leurs progrès. Partagez et découvrez des pépites qui pourraient bien devenir les stars de demain. Actualités : Les dernières nouvelles des ligues et des clubs. Analyses de match : Des décryptages détaillés des rencontres. Débats et Discussions : Des échanges sur divers sujets liés au basketball. Jeunes Talents : La découverte des futures stars du basketball. La diversité et la profondeur des rubriques de Basketinforum en font une ressource précieuse pour tous les passionnés de basketball, qu’ils soient simples amateurs ou experts aguerris. Les discussions les plus animées Comparaisons entre joueurs Les débats sur les performances des joueurs sont parmi les plus animés sur Basketinforum. Les utilisateurs comparent régulièrement les statistiques, les styles de jeu et les contributions générales des athlètes de différentes époques. Les discussions sur les légendes comme Michael Jordan et LeBron James, ou encore sur les jeunes prodiges comme Luka Dončić et Zion Williamson, attirent une forte participation. Ces échanges permettent de mieux comprendre les nuances qui font la grandeur d’un joueur. Évolutions tactiques Les changements stratégiques dans le basketball moderne sont un autre sujet de discussion très actif. Les utilisateurs décortiquent les nouvelles tendances telles que le small-ball, les défenses en zone et le rôle croissant des big men capables de tirer à trois points. Ces discussions offrent des perspectives riches sur l’évolution du jeu et les innovations des entraîneurs. Règlements et arbitrage Les débats sur les règles du jeu et l’arbitrage sont souvent passionnés. Les décisions controversées des arbitres, les modifications des règlements et leur impact sur le jeu font l’objet de discussions approfondies. Les utilisateurs partagent leurs avis et proposent des solutions pour améliorer l’équité et la fluidité des matchs. Impacts socio-économiques Basketinforum ne se limite pas aux aspects purement sportifs : les discussions abordent aussi les impacts socio-économiques du basketball. Les salaires des joueurs, les contrats de sponsoring, et l’influence du sport sur les communautés locales sont des sujets fréquemment débattus. Ces échanges permettent de comprendre le rôle du basketball dans la société contemporaine. Comparaisons entre joueurs : Performances et styles de jeu à travers les époques. Évolutions tactiques : Nouvelles tendances et innovations stratégiques. Règlements et arbitrage : Décisions controversées et propositions d’amélioration. Impacts socio-économiques : Salaires, sponsoring et influence sociétale. Les avantages de rejoindre Basketinforum Communauté engagée Rejoignez une communauté de passionnés où les discussions sont riches et variées. Les membres de Basketinforum sont des connaisseurs du basketball, ce qui garantit des échanges de qualité. Les débats sont animés par des utilisateurs qui partagent une passion commune et un désir d’approfondir leurs connaissances du jeu. Accès à des analyses détaillées Les analyses fournies par les membres de Basketinforum sont d’une profondeur rare. Vous trouverez des études statistiques poussées, des analyses tactiques pointues et des commentaires éclairés sur les performances des équipes et des joueurs. Ce niveau d’analyse est rarement disponible ailleurs, ce qui fait de Basketinforum une ressource précieuse pour les amateurs de basketball. Actualités en temps réel L’actualité du basketball évolue rapidement, et Basketinforum permet de rester à jour grâce à des fils de discussion en temps réel. Les dernières nouvelles, les transferts, les blessures et autres événements majeurs sont immédiatement commentés et analysés par la communauté. Cela permet de ne rien manquer des événements marquants du monde du basketball. Ressources éducatives Basketinforum propose aussi des ressources éducatives pour ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension du jeu. Que ce soit des guides sur les fondamentaux du basketball, des explications des règles ou des tutoriels vidéo, ces ressources sont précieuses pour les joueurs et les entraîneurs. Communauté engagée : échanges de qualité entre passionnés. Analyses détaillées : études statistiques et tactiques approfondies. Actualités en temps réel : suivi immédiat des événements majeurs. Ressources éducatives : guides, explications des règles et tutoriels.",
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      • "content": "Former British Army officer and mercenary Simon Mann, who was part of a coup attempt in Equatorial Guinea in 2004, has died of a heart attack while exercising, friends confirmed. The 72-year-old made millions of pounds from protecting businesses in conflict zones before he took part in the failed attempt to overthrow the west African nation's ruler. Mr Mann was sentenced to 34 years in prison on arms charges and later admitted he had been the \"manager, not the architect\" of the scheme. In 2009, the ex-SAS commando was pardoned, released and given 48 hours to leave the country. Mr Mann attended private boys' school Eton before studying at Sandhurst Royal Military Academy and then joining the Scots Guards. He became a member of the SAS - the army's special forces unit - and rose through the ranks to become a commander. In 2011, he said the attempted coup in Equatorial Guinea - which saw him arrested with fellow mercenaries after trying to load weapons onto a plane in Zimbabwe - was foiled by the CIA. After serving three years of his 34-year sentence in Zimbabwe, he was moved to Black Beach Prison in Equatorial Guinea. Speaking in 2011 about that move, he said \"friends, family, and enemies\" had told him \"if that happens, you have had it, you're a dead man\". After being pardoned and released, he expressed regret for what he had done, saying that \"however good the money is\", the moral case \"has to stack up\".",
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      • "title": "South Africa hits out at US Afrikaner refugee plan",
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      • "description": "There are reports that the first set of South Africans could arrive as refugees in the US next week.",
      • "content": "South Africa has criticised the US amid reports it could receive white Afrikaners as refugees as early as next week. A document seen by the BBC's US partner, CBS, describes the potential resettlement as a \"priority\" for President Donald Trump's government, however the timing has not been publicly confirmed by the White House. In a statement published on Friday , South Africa's foreign ministry described the purported move as \"politically motivated\" and designed to undermine South Africa's \"constitutional democracy\". In February President Trump described Afrikaners as victims of \"racial discrimination\" in an executive order, opening up the prospect for them to resettle in the US. The South African authorities said they would not block the departures of those chosen for resettlement, but that the government had sought assurances from its American counterpart that those selected had been fully vetted and did not have pending criminal charges. South Africa reiterated that allegations of discrimination against the country's white minority are unfounded, adding that crime statistics do not indicate that any racial group has been targeted in violent crimes on farms. Some groups representing the rights of white farmers have said they are being deliberately killed because of their race. A spokesperson for the US state department told the BBC they were interviewing individuals interested in resettling in the US, and prioritising \"Afrikaners in South Africa who are victims of unjust racial discrimination\", but would not confirm when the resettlement would begin. The Trump administration has also accused South Africa of seizing land from white farmers without compensation, something Pretoria has repeatedly denied. Go to BBCAfrica.com for more news from the African continent. Follow us on Twitter @BBCAfrica , on Facebook at BBC Africa or on Instagram at bbcafrica",
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      • "title": "Overwatch 2 Is Getting a Street Fighter 6 Crossover Event and Fans Have Thoughts About The Skin Choices",
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      • "description": "\"Genuinely such a stacked collab.\"There have been some truly inspired collabs in gaming, but I never saw this one coming: Overwatch 2 is getting a Street Fighter 6 crossover event.As revealed on X/Twitter — and leaked a few days ago by PlayStation Network — ...",
      • "content": "There have been some truly inspired collabs in gaming, but I never saw this one coming: Overwatch 2 is getting a Street Fighter 6 crossover event. Though the teaser isn't very long, it does give us a peek at the characters getting a fresh skin for the collab, including Zenyatta as Dhalsim, Winston as Blanka, Sigma as M. Bison, Hanzo as Ryu, Juno as the inimitable Chun Li, and Soldier: 76 as Guile. We also get to see Chun Li kick the crap out of a truck — never a bad thing — and some more familiar faces sure to make both Overwatch and Street Fighter fans very, very happy. \"Soldier 76 as Guile is sending me,\" laughed one commenter , whereas another simply said: \"Genuinely such a stacked collab.\" \"A COLLAB WITH TWO OF MY FAVORITE FRANCHISES?!?\" cried this player. \"THIS HAS TO BE [Overwatch's] BEST ONE YET!\" Not everyone is convinced, though, with some players questioning the skin choices. \"Glad to see Winston and Sig get anything, but not having any SF6 original characters in a SF6 collab feels weak,\" suggested this commenter. \"Manon was right there for Widow. Marisa Zarya. Jamie Weaver. Doomfist also should have probably been a lock for this, he’s the best character that fits the theme.\" \"Genuine question. Juri is literally a spider — why is she not Widowmaker lol?\" asked this player . And if there was any doubt that developers do listen to their communities, sometimes it's worth trying to manifest these things — this fan mocked up a Street Fighter x Overwatch crossover two years ago , and this one, also posted two years ago, took a stab at what \"easy\" crossover outfits could be available. ( This fan really, really wants a Resident Evil crossover next.) Last week, Blizzard unveiled its Overwatch 2 Stadium roadmap for 2025 , teasing some of the heroes and features it plans to add in Season 17, Season 18, Season 19, and beyond. Overwatch 2 brought Stadium to players when Season 16 launched at the end of April. It’s part of Blizzard’s ongoing initiative to reinvigorate the Overwatch 2 player base, which began with an all-encompassing Spotlight presentation in February. It’s led to the return of loot boxes and an improved Steam rating as players celebrate what some feel is the best Overwatch experience fans have seen in years . Vikki Blake is a reporter, critic, columnist, and consultant. She's also a Guardian, Spartan, Silent Hillian, Legend, and perpetually High Chaos. Find her at BlueSky .",
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      • "content": "<p>Addis Ababa: The death toll from Africa&#39;s ongoing mpox outbreak has surpassed 1,750, as the number of cases reported since the beginning of 2024 approaches 130,000, according to the Africa Centers for Disease Control and Prevention (Africa CDC).</p><p>During an online media briefing on Thursday evening, Ngashi Ngongo, chief of staff and head of the Executive Office at the Africa CDC, said that 24 mpox-affected African countries have reported 129,711 mpox cases since the start of last year. Of these, 29,609 were confirmed and about 1,751 related deaths were recorded.</p><p>Data from the African Union (AU)&#39;s specialized healthcare agency showed that last week alone, the continent reported 3,553 new cases, including 758 confirmed ones and 12 new related deaths. Sierra Leone, the Democratic Republic of the Congo, and Uganda contributed to 93.3 percent of all confirmed cases reported during the past week.</p><p>The Africa CDC further warned over the continued surge in mpox cases, as the total number of cases reported so far this year constitutes about two thirds of last year&#39;s total. The continent has recorded 52,082 mpox cases since the beginning of this year, it noted.</p><p>Meanwhile, the Africa CDC has raised the alarm regarding the increasing trend of public health emergencies occurring throughout the continent.</p><p>&quot;In 2024, we had, in total, 117 moderate and high risk public health events. This year, we are already at 120. We have had 34 high risk, and 86 moderate risk events this year. This shows that the situation is not reducing,&quot; Ngongo said, adding that the top disease outbreaks reported by AU members so far in 2025 include mpox, cholera, dengue, and Lassa fever.</p><p>Mpox, formerly known as monkeypox, was first detected in laboratory monkeys in 1958. It is a rare viral disease typically transmitted through body fluids, respiratory droplets, and contaminated materials. The infection often causes fever, rash, and swollen lymph nodes.</p><p>In August last year, the Africa CDC declared the mpox outbreak a public health emergency of continental security. Shortly afterward, the World Health Organization designated the viral disease as a public health emergency of international concern.</p>",
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      • "content": "After nine years, Behaviour Interactive is finally bringing Five Nights at Freddy’s to Dead by Daylight – and Matthew Lillard is joining in on the fun. Lillard, who starred as William Afton in 2023’s Five Nights at Freddy’s movie adaptation, has embodied the spirit of the role once again to lend his likeness and record new voice lines for Dead by Daylight’s latest Killer: Springtrap. This evil animatronic bunny, otherwise known as Yellow Rabbit or Spring Bonnie, will be available as a Legendary Outfit when the collection eventually arrives. Behaviour calls Five Nights at Freddy’s the “most requested license in Dead by Daylight history,” so fans should be excited to hear that the content drop will also include a Freddy Fazbear’s Pizza map that is said to be filled with a buffet of Easter Eggs and surprises to uncover. More news, including a specific release date, is expected to arrive in the near future. A Five Nights at Freddy’s Dead by Daylight crossover has been a long time coming, but it’s not the only gaming collaboration in the cards. Also revealed at PAX East was the news that CD Projekt Red’s The Witcher series is also set to make an appearance in Behviour’s hit horror experience. The set will make its mark as a special Witcher Collection June 3 and includes outfits inspired by the popular fantasy RPG universe. This includes a Legendary piece inspired by the White Wolf himself, Geralt of Rivia, as well as Very Rare outfits for Yennefer, Ciri, Triss, and Eredin. As an added bonus, those who pick up the Geralt costume will notice that original voice actor Doug Cockle contributed new voice lines just for this very occasion. “Our favorite of the Collection is, of course, Geralt’s Legendary Outfit for Vittorio Toscano,” Dead by Daylight Product Director Rose Li said in a statement. “Not only will it let players essentially take on the exact look of The White Wolf, but we’ve also added some really nice details as part of this Outfit. Geralt will have unique lobby animations, and best of all, brand-new voice lines recorded for our game by the original voice actor, Doug Cockle.” Dragula, Shudder’s monster-themed drag reality competition series, is also doubling down on its relationship with Dead by Daylight. Players can look forward to picking up a Boulet Brothers Collection come July 8, which includes a Winter Warrior outfit for The Huntress and the Boulet Brothers Artist outfit for The Artist. Also included in Behaviour’s PAX East showcase was the promise that the team will deliver fresh quality of life updates throughout 2025 and beyond. June highlights include a The Archives revamp and adjusted Gamma Settings, with the months ahead set to bring updates that add more spectators in Custom Matches, map and key item rebalancing, an MMR rework, and more balance tweaks. Creative Director Dave Richard also teased something completely new: a Dead by Daylight Chapter entirely created by fans. It’s a move that will see Behaviour working with its community to create a Killer and Survivor from the ground up in what sounds like a choose-your-own-adventure-style narrative, meaning everything about each character will be voted on by the players. It’s due out in 2026, so we’ll have to wait a while to learn more. Dead by Daylight launched in 2016 and has only grown since. Other crossover Collections include content based on Dungeons & Dragons , Resident Evil , and Tokyo Ghoul . Michael Cripe is a freelance contributor with IGN. He's best known for his work at sites like The Pitch, The Escapist, and OnlySP. Be sure to give him a follow on Bluesky (@mikecripe.bsky.social) and Twitter (@MikeCripe).",
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      • "content": "( MENAFN - APO Group) The Spanish Chamber of Commerce in South Africa has partnered with the African Energy Week (AEW): Invest in African Energies conference to foster collaboration between Spanish and South African energy companies. The partnership builds on dual goals of driving investment and development in South Africa and will support greater participation by Spanish firms at this year's edition of the conference – scheduled for September 29 to October 3. As a non-profit entity whose main objective is the promotion of commercial, economic and industrial relations between Spain and South Africa, the Chamber of Commerce seeks to strengthen business prosperity and trade between the two nations. At the heart of this strategy is the energy industry, with the Chamber committing to exposing its members to emerging opportunities in both Spain and South Africa. At AEW: Invest in African Energies, the Chamber will play an instrumental part in strengthening energy relations and trade, supporting market entry by Spanish firms into South Africa. AEW: Invest in African Energies is the platform of choice for project operators, financiers, technology providers and government, and has emerged as the official place to sign deals in African energy. Visit for more information about this exciting event. The opportunities for heightened collaboration between Spain and South Africa are extensive. While Spain is a net-importer of oil and gas, Spanish oil and gas firms have seen great success abroad, highlighting the level of expertise the country has to offer. Spanish companies such as multinational energy and petrochemical firm Repsol already have a strong presence in Africa, offering significant expertise that could help unlock South Africa's energy industry. The company has been active in Algeria since 1973, recently receiving approval to invest up to €731 million in oil and gas blocks in the country. The Chamber has also been active in Libya since the 1970s and is implementing an ambitious exploration agenda in the country. It plans to drill nine wells consecutively via two drilling rigs by November 2025, and aims to increase production to 350,000 barrels per day (bpd) in the country. As of December 2024, production stood at 300,000 bpd. Meanwhile, for South Africa, which is only just starting to realize the full potential of its oil and gas market, Spanish partnerships could propel a hydrocarbon evolution. Despite being a frontier market, South Africa has proven oil and gas discoveries and significant upside potential. The Luiperd and Brulpadda discoveries, for example, are the largest discoveries of natural gas resources in South Africa to date. Situated in the Outeniqua Basin, operator Africa Oil Corp plans to conduct surveys within the Block 11B/12B area to determine a development plan. Additionally, South Africa's Orange Basin – shared with Namibia where several high-impact finds have been made – offers strategic opportunities for billion-barrel finds. International companies have recently expanded their footprint in the basin, led by firms such as Eco Atlantic, TotalEnergies and QatarEnergy. In the green energy sector, Spain is spearheading Europe's energy transition through rapid developments in green hydrogen. According to the World Economic Forum, the country already accounts for 20% of green hydrogen projects announced in the European Union, with plans to create industrial clusters expected to bolster the bloc's clean energy adoption. South Africa is also targeting ambitious green hydrogen projects. The government introduced a R300 billion investment pipeline in 2023, targeting between 6 and 13 million tons of green hydrogen and derivatives production per annum by 2050. Up to 19 projects were identified for accelerated development and global support will be key to bring these projects into fruition. In 2023, Spain committed $2.3 billion to help fund South Africa's energy transition, but further support could unlock greater value from the country's renewable energy industry. “Global partnerships are fundamental for countries seeking to rapidly grow their oil, gas and renewable energy industries. Spain and South Africa have significant potential to expand their trade, energy and business ties, and the Spanish Chamber of Commerce in South Africa works hard to achieve mutual development goals,” states Tomás Gerbasio, VP Commercial and Strategic Engagement, African Energy Chamber. Distributed by APO Group on behalf of African Energy Chamber. MENAFN09052025004934011406ID1109530177 Legal Disclaimer: MENAFN provides the information “as is” without warranty of any kind. We do not accept any responsibility or liability for the accuracy, content, images, videos, licenses, completeness, legality, or reliability of the information contained in this article. If you have any complaints or copyright issues related to this article, kindly contact the provider above.",
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      • "content": "( MENAFN - APO Group) President Cyril Ramaphosa today convened ministers and senior business leaders under the Government Business Partnership. The partners agreed to fast-track the implementation of key structural reforms and support performance improvements at Transnet and Eskom through an accelerated delivery plan and an intensified phase of the Partnership's ongoing efforts to expedite delivery on priority interventions vital to economic growth and job creation. The partnership believes that this acceleration is necessary to achieve a step-change in progress in response to difficult economic headwinds. Focus will remain on improving Eskom's Energy Availability Factor (EAF) and unblocking delays in new generation capacity to ensure a continued reprieve from load shedding. Work is underway to resolve grid access and allocation bottlenecks that hinder new generation projects. Whilst Transnet's performance is not at the level required, it has stabilised and there is a significant focus on growing volumes which will increase exports and revenue collected to support economic growth and preserve and grow employment. Expediting reforms and performance improvement is crucial to reducing the possible negative impact of the complex global and domestic environment, which continues to present substantial challenges and uncertainty. GDP growth projections for 2025 have been revised down, and current forecasts remain far below the minimum 3% required to create the level of jobs needed to make an impact on the country's high levels of unemployment. The Government Business Partnership, established in 2023, is focused on accelerating crucial reforms and operational improvements to lift confidence levels and to drive economic growth in four priority areas: energy, transport and logistics, crime and corruption, and youth employment (the latter added in January 2025). President Cyril Ramaphosa said:“Through the strength of this partnership, we have been able to unlock many constraints that undermine growth and job creation. While there is much to improve, the dedication and commitment from both government and business remains undiminished. The pace of our work must increase to match the scale of the challenge.” Important progress has been made to lay the groundwork for sustained accelerated action, including the finalisation of the Transnet Network Statement, the launch of a Request for Information (RFI) to attract private investment in port and rail infrastructure, and NERSA's approval of electricity wheeling regulations. These reforms enable broader private sector participation in energy and transportation and logistics. Both the crime and corruption and the youth employment focal areas are largely tracking against their plans which have a longer-term time horizon. In line with this commitment to focused execution, the Partnership welcomed the launch of the second phase of Operation Vulindlela, which has a delivery focus that closely aligns with the Partnership's objective of more rapidly accelerating reforms and operational improvements that will drive growth and job creation. Adrian Gore, BUSA Vice President and business co-convenor of the Partnership, said:“We are entering this accelerated execution“sprint” with a real sense of urgency. Progress has been made, but it's not enough. This requires a step change in the pace of decision making and execution. We need to redouble our collective efforts to help shift the country onto a sustained upward trajectory and deliver on our shared ambition of a virtuous cycle of growth, jobs, a more positive narrative and increased investment.” Distributed by APO Group on behalf of The Presidency of the Republic of South Africa. MENAFN09052025004934011406ID1109530171 Legal Disclaimer: MENAFN provides the information “as is” without warranty of any kind. We do not accept any responsibility or liability for the accuracy, content, images, videos, licenses, completeness, legality, or reliability of the information contained in this article. If you have any complaints or copyright issues related to this article, kindly contact the provider above.",
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