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The country paramter for the Luxembourg is LU.

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https://newsdata.io/api/1/sources?country=lu&apikey=YOUR_API_KEY

Some of the well known sources

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Headlines from Luxembourg

https://newsdata.io/api/1/latest?country=lu&apikey=YOUR_API_KEY

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      • "content": "Six jours après une première manche incandescente et spectaculaire, considérée alors comme l’un des plus beaux matches de l’année, l’Inter et le Barça ont fait encore plus fort. Encore plus fou aussi, et de loin. Leur second duel n’a peut-être jamais atteint les sommets techniques de l’aller, illuminé par les coups de génie du phénomène Lamine Yamal. Mais ils ont sans doute écrit l’une des pages les plus mémorables de l’histoire de la compétition après 120 minutes d’une intensité rare et de rebondissements à rendre fous les supporters des deux équipes. L’histoire retiendra que l’international italien Davide Frattesi est celui qui a scellé cette double confrontation gloutonne en buts (13 !) et en suspense à la 99e minute. Avant qu’il n’offre la victoire à l’Inter, le Barça a cru avoir décroché son billet pour la finale de Munich avec un but inscrit à la 87e minute. Mais ce sont bien les Nerazzurri qui tenteront de s’offrir contre le Paris SG ou Arsenal une quatrième Ligue des champions et d’effacer la désillusion de la finale 2023 perdue de peu contre Manchester City (1-0). En première période, le dispositif mis en place par Simone Inzaghi a parfaitement fonctionné et l’Inter a éteint Yamal avec un double marquage intransigeant. Sur sa première accélération, à la 4e minute, le prodige de 17 ans a compris qu’il allait passer une soirée difficile: Federico Dimarco qu’il avait essoré et écoeuré à l’aller, s’est chargé de l’en informer avec un tacle rugueux. Quelques secondes après, une première occasion de Nicolo Barella avec une reprise en demi-volée, après un sombrero, repoussée, en deux temps, par Wojciech Szczesny (20), l’Inter a ouvert la marque. Dimarco a intercepté une relance catalane et a aussitôt lancé dans la profondeur Denzel Dumfries. Le milieu néerlandais, intenable depuis son retour de blessure et auteur de deux des trois buts milanais à l’aller, a servi impeccablement Lautaro Martinez, seul dans la surface, pour son neuvième but de la saison dans la compétition-reine (21). Le capitaine argentin de l’Inter était pourtant incertain jusqu’à lundi à cause d’une blessure à une cuisse qui avait écourté sa demi-finale aller. Mais retapé en quatrième vitesse par le staff médical de l’Inter, il a aussi été à l’origine du deuxième but de son équipe à la 42e minute lorsqu’il a filé vers le but avant d’être taclé par derrière par Pau Cubarsi. Après consultation du VAR, l’arbitre a accordé un penalty à l’Inter qui a été transformé par le grand spécialiste de l’exercice, Hakan Çalhanoglu, en prenant à contrepied Szczesny. Après la pause, les joueurs de l’Inter ont vite déchanté. C’est d’abord Eric Garcia, oublié dans la surface de réparation qui a réduit la marque d’une superbe reprise de volée du pied droit (54). Six minutes plus tard, sur un coup franc de Gerard Martin, Dani Olmo a égalisé de la tête. L’Inter, aux abois, est sauvé par son gardien Yann Sommer, déjà décisif à la 54e minute: la gardien suisse a dévié une frappe enroulée du pied gauche de Yamal qui filait dans sa lucarne (77). À la 87e minute, il s’est bien interposé une première fois face à Raphinha, mais le ballon est revenu dans les pieds du Brésilien qui l’a trompé à bout portant, en pensant avoir inscrit le but de la qualification. Mais au bout du temps additionnel, l’Inter Milan a arraché l’égalisation en profitant d’une erreur de Gerard Martin: l’inévitable Dumfries a récupéré le ballon pour servir parfaitement le vétéran Francesco Acerbi, qui, tel un avant-centre, a fait exploser San Siro, avec sa frappe du pied droit. Et en prolongation, sous la pluie, Frattesi, servi par Mehdi Taremi, est entré dans l’histoire d’une frappe d’une gauche et mis San Siro en transe. Pour l’éternité.",
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      • "title": "Russische Angriffe: Zwangsevakuierungen für Kinder in Donezk angeordnet",
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      • "description": "Die Bewohner in der Region Sumy haben am Dienstag mit Evakuierungen begonnen. Die russischen Angriffe hatten zuletzt massiv zugenommen. Die Behörden warnen, dass sich die Sicherheitslage in der Stadt verschlechtert habe.",
      • "content": "Die ostukrainische Stadt Charkiw wurde rund zwei Stunden lang von russischen Drohnen angegriffen. Augenzeugen berichteten von rund 20 Explosionen in der gesamten Stadt. Nach Angaben des Bürgermeisters, Ihor Terechow, brachen in vier Bezirken Brände aus. Einer der größten Brände loderte auf dem Barabaschowo-Markt, der damit zum vierten Mal seit Beginn der russischen Invasion in voller Ausdehnung in Flammen stand. Offiziellen Angaben zufolge wurden 90 Geschäfte auf dem Markt zerstört. Im westlichen Teil der Stadt wurde ein mehrstöckiges Wohnhaus beschädigt. Eine Anwohnerin sagte, die Drohnenangriffe seien in mehreren Wellen erfolgt. \"Gegen 4.20 Uhr gab es die erste Explosion, und dann kam eine nach der anderen. Nach der zehnten Explosion haben wir aufgehört zu zählen\", so Nataliia Mishukova. \"Meine Haustür wurde weggesprengt, ebenso wie der Balkon und das Fenster. Auch mein Auto ist beschädigt.\" Vier Drohnen trafen auch einen Hotel- und Restaurantkomplex im Norden der Stadt. Der Leiter der regionalen Militärverwaltung, Oleh Syniehubov, sagte, dass vier Menschen dadurch unter akutem Stress litten. Angriffe auf Sumy Unterdessen haben die Bewohner von Bilopillia in der Region Sumy am Dienstag wegen verstärkter russischer Angriffe mit Evakuierungen angefangen. Die örtlichen Behörden, darunter Bürgermeister Yurii Zarko, berichteten, dass sich die Sicherheitslage in der Stadt in den vergangenen Tagen verschlechtert habe. \"Selbst diejenigen, die die Stadt nicht verlassen wollten oder die sie verlassen haben und dann zurückgekehrt sind - diejenigen, die noch einen Ort haben, an den sie zurückkehren können - sehen, dass sich die Situation verschlechtert, und evakuieren erneut\", so Zarko. \"Die meisten Menschen, die über ein eigenes Transportmittel verfügen, sind bereits auf eigene Faust aufgebrochen. Aber diejenigen, die keine Möglichkeit haben, die Region zu verlassen - vor allem jetzt, wo die Brücken zerstört sind und es keine öffentlichen Verkehrsmittel gibt - sind ganz auf die aktuelle Situation angewiesen. Und da sich die Situation immer weiter verschlimmert, beschließen die Menschen, die Stadt zu verlassen, um in Sicherheit zu sein.\" Viele Bewohner, darunter ältere Menschen und Menschen mit eingeschränkter Mobilität, verließen die Stadt mit Hilfe von Rettungsdiensten und Teams des Ukrainischen Roten Kreuzes. Volodymyr Moskalenko, Kommandeur der schnellen Eingreiftruppe des Ukrainischen Roten Kreuzes, sagte, dass zwei Krankenwagen eingesetzt würden, um Menschen mit eingeschränkter Mobilität zu transportieren. \"Wir fahren sie direkt nach Sumy. Das geländegängigere Fahrzeug wird dorthin fahren, wo die Straßen wirklich schlecht sind, wo der Zugang schwierig ist - wir werden die Menschen auch von dort abholen\", sagte er. Zwangsevakuierung für Kinder Nach Angaben des Leiters der örtlichen Militärverwaltung, Serhiy Sazhko, wurden in den vergangenen drei Tagen mehr als 30 Kinder aus dem Dorf Shakhove in der Region Donezk evakuiert. Am 2. Mai kündigten die Behörden wegen des anhaltenden russischen Beschusses eine Zwangsevakuierung für Familien mit minderjährigen Kindern sowohl in Shakhove als auch in Toretske an. \"Wir hatten bereits eine Zwangsevakuierung von zwei Verwaltungsbezirken, aber damals war die Sicherheitslage viel besser. Jetzt sehen die Menschen die Situation mit eigenen Augen\", erklärte Sazhko. \"In Shakhove gab es 54 Kinder, jetzt sind es noch 23. Ich denke, in zwei oder drei Tagen werden wir alle Kinder von hier evakuiert haben. In Toretske, das etwas weiter entfernt liegt, sind noch 22 Kinder. Wir müssen zuerst alle Kinder aus Shakhove evakuieren, und dann werden wir mit der Evakuierung von Toretske fortfahren. Die Familien werden in Voloshyne in der Region Zhytomyr in Sicherheit gebracht, wo sie von Freiwilligen aufgenommen werden.",
      • "pubDate": "2025-05-07 05:16:29",
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      • "content": "Les missiles indiens qui se sont abattus sur six villes au Cachemire et au Pendjab pakistanais ont tué au moins huit civils, dont une fillette de trois ans, et en ont blessé 35 autres, selon le porte-parole de l’armée pakistanaise, le général Ahmed Chaudhry. L’Inde a pour sa part fait état de huit morts et 29 blessés dans le village cachemiri indien de Poonch (nord-ouest) lors des tirs d’artillerie opposant les armées des deux puissances nucléaires. Engagée dans la nuit, la bataille s’est poursuivie le matin autour du village visé par de nombreux obus pakistanais, selon des journalistes de l’AFP. La localité était surmontée d’un nuage de fumée noire et secouée à intervalles réguliers de très fortes explosions. « Nous avons été réveillés par des tirs (...) j’ai vu des obus tomber. J’ai dit à mes associés de sortir du bâtiment, j’ai eu peur que le toit ne s’écroule », a rapporté à l’agence Press Trust of India (PTI) un habitant de Poonch, Farooq. De violentes explosions ont également été entendues plus tôt dans la nuit autour de Srinagar, la principale ville de la partie indienne du Cachemire. Au matin, une source sécuritaire indienne a indiqué que trois chasseurs de l’armée de l’air indienne s’étaient écrasés, pour des raisons qui n’ont pas été immédiatement précisées. Les débris de deux appareils ont été retrouvés dans la partie indienne du Cachemire, l’autre dans l’État indien du Pendjab (nord-ouest), a précisé sous couvert d’anonymat cette source, sans donner de précision sur le sort des pilotes. Plus tôt, le ministre pakistanais de la Défense Khawaja Asif avait assuré que le Pakistan avait abattu « cinq avions ennemis » sans donner plus de détail. Il était également revenu sur une déclaration précédente dans laquelle il assurait que des soldats indiens avaient été capturés. Un photographe de l’AFP a observé les débris d’un aéronef portant des inscriptions en français dans un champ à Wuyan, non loin de Srinagar. L’avion est un Mirage 2000 de l’armée de l’air indienne, a indiqué une source sécuritaire indienne. Le sort de son pilote n’était pas immédiatement connu, a-t-elle ajouté. L’armée indienne a annoncé qu’elle tiendrait un point de presse à 10 h locales (6 h 30 heure de Luxembourg).Trente minutes plus tard, le Pakistan réunira son Comité de la sécurité nationale, convoqué uniquement pour les urgences extrêmes. Deux semaines après l’attaque qui a fait 26 morts à Pahalgam, dans la partie indienne du Cachemire, l’Inde, qui assure qu’Islamabad est derrière cette attaque malgré ses dénégations, a mis ses menaces à exécution. Dans la nuit de mardi à mercredi, elle a tiré des missiles sur neuf sites abritant selon elle des « infrastructures terroristes » au Pakistan. Islamabad a démenti toute implication dans l’attentat, le plus meurtrier à avoir visé des civils au Cachemire depuis plus de 20 ans. L’un des sites ciblés dans la nuit par l’armée indienne est la mosquée Subhan, à Bahawalpur, dans le Pendjab pakistanais, liée selon le renseignement indien à des groupes proches du mouvement jihadiste Lashkar-e-Taiba (LeT). L’Inde accuse ce groupe, soupçonné des attaques qui avaient fait 166 morts à Bombay en 2008, d’avoir mené l’attentat de Pahalgam. Les villes de Kotli et Muzaffarabad, à 120 et 130 km d’Islamabad, font partie des cibles visées par les missiles indiens, selon le Pakistan. À Muzaffarabad, la police et l’armée ont bloqué tous les accès à la mosquée Bilal, visée par sept projectiles indiens. Plusieurs habitations alentour ont été aussi été touchées et la population du quartier évacuée. Au Pendjab pakistanais, Mohammed Khourram, un habitant de Mouridke, une autre ville frappée, a raconté que tout avait commencé par « un grand boum, très bizarre ». « J’ai eu très peur, comme si c’était un tremblement de terre. Puis un missile est arrivé et a frappé, et un second une minute après, trois ou quatre ont suivi pendant les trois ou quatre minutes suivantes », a-t-il poursuivi. G B Rajakumar, chauffeur à New Delhi, lui, se félicitait du fait que le Premier ministre indien Narendra « Modi fait ce qu’il dit ». « Il a vengé les morts (du 22 avril) en détruisant des cibles terroristes. Elles ont été visées une par une. C’est pour cela que ça a pris 10-15 jours pour les venger », a-t-il assuré. La riposte pakistanaise n’a pas tardé, sous la forme de tirs d’artillerie visant plusieurs points en territoire indien. « La riposte a commencé et si Dieu le veut, elle va s’accentuer (...) il ne faudra pas beaucoup de temps pour régler le problème », a menacé dans un entretien, le ministre Asif. Environ 200 Pakistanais ont défilé tôt mercredi matin dans la ville méridionale de Hyderabad, brûlant des drapeaux indiens et des portraits de Narendra Modi. Dans la nuit, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio s’est entretenu avec ses homologues indien et pakistanais, les appelant au dialogue pour « désamorcer la situation et éviter une nouvelle escalade », selon la Maison Blanche. Interrogé peu auparavant, Donald Trump a dit espérer que les affrontements « s’arrêtent très rapidement ». « Le monde ne peut pas se permettre une confrontation militaire », a pour sa part plaidé l’ONU. La Chine a appelé les deux pays « à éviter de prendre des mesures qui compliqueraient davantage la situation ». « Aucune installation militaire pakistanaise n’a été visée », a assuré le gouvernement indien, estimant faire preuve d’une « retenue considérable » pour « éviter toute escalade ». « L’action irresponsable de l’Inde rapproche les deux États nucléaires d’un conflit majeur », a pour sa part estimé la diplomatie pakistanaise. New Delhi doit recevoir mercredi le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui était lundi à Islamabad pour une médiation. Juste avant les premières frappes de son armée, Narendra Modi avait annoncé son intention de « couper l’eau » des fleuves qui prennent leur source en Inde et irriguent le Pakistan — une menace impossible à mettre à exécution à court terme, selon les experts. « L’eau appartenant à l’Inde s’écoulait jusque-là vers l’extérieur, elle sera désormais stoppée pour servir les intérêts de l’Inde », a déclaré Narenda Modi. Dès le lendemain de l’attentat, l’Inde avait suspendu sa participation à un traité de partage des eaux signé en 1960 avec son voisin. Mardi, le Pakistan avait accusé l’Inde de modifier le débit du fleuve Chenab, l’un des trois placés sous son contrôle selon le traité dit de l’Indus. Ce document accorde à New Delhi le droit d’utiliser les fleuves partagés pour ses barrages ou ses cultures, mais lui interdit de détourner des cours d’eau ou d’altérer le volume d’eau en aval.",
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      • "content": "Le grimpeur luxembourgeois va participer pour la troisième fois de sa carrière au Tour d’Italie, qui s’élancera vendredi d’Albanie. Michel Ries avait terminé à la 25 place du Tour d’Italie en 2024. Alors que son équipe Arkéa-B&B Hotels va s’élancer d’Albanie pour la 108 édition, le grimpeur luxembourgeois de 27 ans fait le point. «Je me sens très bien. Je sors d’une bonne préparation. Après le Tour de Catalogne, nous sommes partis pour un stage d’altitude de trois semaines en Sierra Nevada. C’est positif. Je suis revenu le 1 mai pour le Grand Prix de Francfort pour au moins faire une course avant le départ du Giro. Avec les effets immédiats du stage, c’était correct, même si les sensations étaient moyennes, ce qui est normal les jours qui suivent le retour d’altitude. Mais c’était bien de courir.» «Je pense que ma saison est assez correcte. J’ai commencé doucement. J’espérais davantage du Tour d’Oman (44 ), mais sur le Tour de Catalogne (33 ), j’ai trouvé que c’était pas mal. Je n’ai pas eu de gros problèmes, cela se passe bien pour le moment.» «Ce sera spécial avec le départ en Albanie. Je remarque que, contrairement aux deux années passées, les deux premières semaines sont plus faciles. Il n’y a pas de grandes étapes de montagne avant la dernière semaine, où se jouera donc le classement général. Mais en dernière semaine, on va retrouver un Giro très difficile. Avec de très grosses étapes de montagne. Globalement, cela paraît donc plus facile que les autres années.» «Les cols y sont réguliers, j’apprécie leur profil si je dois comparer avec le Tour d’Espagne où il faut être plus explosif. J’aime aussi le public et l’ambiance si je dois comparer encore une fois avec la Vuelta. Je n’ai pas encore eu la chance de faire le Tour de France, mais j’apprécie fortement l’atmosphère de l’Italie. C’est la troisième fois que je vais y participer et je suis enchanté...» «On n’a pas de gros leaders pour le classement général, donc on peut penser qu’il y aura beaucoup d’ouverture pour tout le monde. Nous avons un sprinteur, Luca Mozzato, qui peut bien faire sur les étapes de sprint. Il aura beaucoup de possibilités les deux premières semaines. Globalement, notre équipe sera homogène. Les jeunes auront la possibilité de se montrer, ce qui est bien.» «Il n’y en a pas une en particulier. Je vais viser chaque étape que je pourrai viser. Nous n’avons personne qui peut gagner le Giro, à nous d’en profiter pour viser des étapes. Je pense que sur ce Giro, il y aura des opportunités et donc il nous faudra pouvoir les saisir. Le meilleur moyen, c’est d’aller dans une échappée. On ne peut choisir par avance. Ce qui est clair, c’est que dans la dernière semaine, il y a de grosses étapes de montagne. Mais le Tour d’Italie, c’est très long.» «Ce n’est pas un col que je connais, car je n’y ai encore jamais roulé, mais j’en ai beaucoup entendu parler. C’est le colle delle Finestre (2 178 m) à Sestrières pour la 20 et avant-dernière étape (le 31 mai). Nous aurons ce jour-là un total de 5 000 m de dénivelé. Je suis curieux d’y aller. C’est un col mythique. Si je peux y briller, ce serait cool.» «(Primoz) Roglic et (Juan) Ayuso sont les deux grands favoris. Cela devrait se jouer entre ces deux-là.»",
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      • "content": "Favori, avec le FK Sarajevo, de la finale de la Coupe de Bosnie, dont la manche aller se joue ce mercredi soir, Mirza Mustafic est à deux matches d’enfin remporter son premier trophée majeur. Il est l’heure pour Mirza Mustafic de régler une anomalie : objet de convoitises multiples à l’adolescence, le milieu n’a, une décennie après avoir signé pro au Borussia Mönchengladbach, encore remporté aucun trophée majeur. Mais à bientôt 27 ans (il les fêtera le 20 juin), le voilà en position d’inscrire une ligne significative à un palmarès qui ne comporte pour l’heure que deux Coupes de Sarre (remportées en 2020 et 2021 avec Elversberg, alors en D4 allemande mais aujourd’hui en 2 Bundesliga). Actuel 3 de son championnat, son club du FK Sarajevo dispute aujourd’hui la finale aller de la Coupe de Bosnie face à Brijeg, une formation qu’il devance de six places et 26 points au classement. Quand bien même Brijeg, qui n’a remporté que deux de ses dix derniers matches toutes compétitions confondues, «joue vraiment mieux» depuis son changement de coach en décembre dernier, un tel écart confère à Sarajevo un statut de grand favori de cette double confrontation que Mustafic assume ouvertement : «On doit les battre, idéalement par deux ou trois buts d’écart, pour être dans une position confortable avant le match retour là-bas». Un impératif également dicté par la «grande rivalité», pour ne pas dire animosité, qui règne entre les deux clubs depuis qu’un supporter du FK a été tué par des fans de Brijeg en marge d’un match les opposant, ce qui vaut à cette finale le statut de «rencontre à risque». Mais aussi par la disette que connaissent les «Divovi» (les géants, leur surnom) ces dernières années : finaliste malheureux en 2022, quelques mois avant l’arrivée estivale de Mustafic, le FK Sarajevo, troisième club le plus titré du pays, n’a plus rien gagné depuis sa victoire en Coupe en 2021. C’est dire l’attente que génère cette finale dans la capitale. «Si on gagnait, ce serait énorme pour le club, la ville et les supporters mais la pression, tu l’as à chaque match ici, rappelle l’ancien Folaman. Les supporters attendent que tu gagnes le championnat et la Coupe chaque année. La pression est toujours là, mais moi, ça me motive.» Cela le motive d’autant plus que ses parents, tous deux Bosniens, prendront place dans les travées du stade olympique Asim-Ferhatović, où «15 000 à 20 000» spectateurs sont attendus ce soir. «Pour eux aussi, ce serait vraiment quelque chose de spécial de me voir gagner un trophée dans leur pays, projette le joueur passé par les équipes de jeunes du RFCU et du FC Metz. J’ai hâte de jouer ce match.» Avec quel statut, titulaire ou «finisseur»? Hier encore, le joueur l’ignorait. C’est qu’après une saison 2023/2024 aboutie (32 matches, dont 25 comme titulaire, pour 4 buts et une passe décisive) et conclue par sa toute première convocation en équipe nationale du Luxembourg, Mustafic connaît jusqu’ici un exercice 2024/2025 moins faste : il n’a débuté que 11 des 28 rencontres auxquelles il a participé, et été décisif que trois fois (un but, deux passes décisives). La faute, justement, à cette blessure à l’épaule contractée quelques instants après sa première entrée en jeu avec les Rout Léiwen, le 5 juin face à la France (3-0), à Metz, et qui lui a fait rater le bon wagon. «On a eu un nouveau coach durant l’été, rembobine l’intéressé. Je suis rentré un peu tard dans l’équipe (mi-août), et il avait déjà son onze. L’équipe, qui avait fait de bons résultats, s’était construite sans moi. Ça a été difficile pour moi, mais ça fait partie du jeu. Mais ces derniers temps, je joue plus : je sors de deux matches de 90 minutes, ça m’a fait du bien.» Débarrassé, depuis un mois, de la protection avec laquelle il devait jouer depuis plusieurs mois, mais aussi de toute forme d’appréhension dans les duels depuis qu’il a recouvré «une belle stabilité dans l’épaule», le n° 10 des Bordo-bijeli (les Bordeaux et Blanc) estime ainsi être «revenu à 100 %». Pile au bon moment.",
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      • "title": "Incendie à Pétange : largué par sa copine, il met le feu à l’appartement",
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      • "description": "«Je n’aurais jamais cru faire une chose pareille. Cela ne correspond pas à mon éducation. Je ne voulais faire de mal à personne. Je me suis senti abandonné», admet Diogo, 28 ans, en pleurs. «Je ne mangeais plus beaucoup, je buvais. Dans un moment de rage, j’ai fermé toutes les fenêtres. Je fumais une cigarette et ...",
      • "content": "En détresse émotionnelle et en proie à des problèmes d’alcool, le prévenu a allumé trois foyers dans l’appartement qu’il partageait avec son ex-copine à Pétange après une rupture. «Je n’aurais jamais cru faire une chose pareille. Cela ne correspond pas à mon éducation. Je ne voulais faire de mal à personne. Je me suis senti abandonné», admet Diogo, 28 ans, en pleurs. «Je ne mangeais plus beaucoup, je buvais. Dans un moment de rage, j’ai fermé toutes les fenêtres. Je fumais une cigarette et j’ai pris une bombe de déodorant pour mettre le feu.» Le jeune homme admet avoir mis le feu à l’appartement qu’il partageait avec son ancienne compagne le 27 octobre 2023 dans la rue des Ateliers à Pétange. Diogo n’aurait pas supporté une rupture. «Il m’a dit que c’est comme dans le film , Jack et Rose, ils sont toujours restés ensemble», indique un expert psychiatre à la barre de la 12 chambre criminelle du tribunal d’arrondissement de Luxembourg. Le prévenu ne semble pas supporter les ruptures sentimentales. Quelques semaines avant les faits, il s’était entaillé le torse. L’expert note un trouble de l’attachement remontant à l’enfance, ainsi qu’une dépendance majeure à l’alcool banalisée, mais pas de trouble pyromaniaque. «Le feu a été le moyen d’expression de sa violence.» Après avoir mis le feu au canapé du salon, au matelas de la chambre et à une pile de vêtements dans la salle de bains, le prévenu a quitté l’appartement en fermant la porte à clé derrière lui. «J’ai marché jusqu’au commissariat, mais je n’ai pas eu le courage de rentrer», explique le jeune homme qui s’est réfugié dans un café où il a été retrouvé par les policiers. Pendant ce temps-là, les secours arrivaient dans l’appartement du rez-de-chaussée où les foyers étaient déjà en train de s’éteindre, faute d’oxygène pour les alimenter. Les témoins interrogés ont évoqué de nombreuses disputes de couple, rapporte un membre du service des enquêtes spéciales de la police judiciaire. La consommation d’alcool du jeune homme est à l’origine des problèmes du couple qui s’était séparé peu de temps avant les faits. Le 25 octobre 2023, son ancienne copine avait déposé plainte pour harcèlement. «Il basculait entre menaces et supplications», précise le policier qui au fil des auditions conclut également que «le prévenu a un problème d’alcool». « On voyait dans les messages qu’il envoyait qu’il était perdu dans ses émotions.» «C’était l’homme de ma vie», raconte la jeune femme qui évoque une relation «fusionnelle» jusqu’à ce qu’elle découvre ses problèmes d’alcool. «Je lui ai laissé le temps de régler son addiction. Je ne voulais pas d’un homme comme cela dans ma vie. Il me faisait des promesses, j’y ai cru. Quand nous avons emménagé ensemble, cela n’a fait qu’empirer.» La jeune femme semble encore très affectée par cette relation. «Je l’aimais trop pour le voir souffrir comme cela. Je ne pouvais plus continuer.» Elle finit par quitter l’appartement que le couple louait. Aujourd’hui, elle réclame plus de 36 000 euros de dommages et intérêts. Frustration, rage, tristesse... tout doit sortir. Le policier a trouvé l’appartement sens dessus dessous. «Il voulait reprendre le bail, mais le propriétaire avait refusé.» Une déception supplémentaire que Diogo n’a pas supportée. Le tribunal cherche à comprendre si le feu aurait pu se communiquer au bâtiment et si cela faisait partie des intentions de Diogo. Un expert a indiqué que le plâtre du plafond au-dessus des foyers avait commencé à se déliter. Un voisin prétend avoir entendu Diogo menacer de mettre le feu à l’appartement lors d’une dispute. «Mettre le feu à l’appartement ne m’est jamais passé par la tête avant les faits», annonce le prévenu. «C’était un acte de rage. Je voulais faire comme avec un verre sur une bougie.» «Vous avez pris le risque que cela se termine autrement», lui lance le juge. «Vous n’êtes pas expert en incendie.» Le parquet est d’avis que le prévenu «n’a pas voulu contenir le feu». «Il a allumé trois foyers indépendants pour repartir l’incendie dans l’appartement. Cela laisse peu de doutes sur ses intentions. Il voulait détruire l’appartement. Les objets enflammés pouvaient communiquer le feu au bâtiment.» «Le crime est consommé», selon une jurisprudence. Le magistrat retient l’incendie criminel, mais concède des circonstances atténuantes à Diogo. Notamment sa détresse émotionnelle. Ce type de crime est normalement puni d’une peine de réclusion criminelle de 15 à 20 ans. Le magistrat a requis une peine de 10 ans de prison avec un sursis probatoire partiel avec obligation de traitement.",
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      • "description": "Die Energiewende lässt das Interesse an einer Reihe von Bodenschätzen, die die EU als wichtig betrachtet, auch in Spanien neu entflammen. Die vielschichtige Debatte dreht sich um die Frage nach dem Bedarf und die Frage nach Anwendungsmöglichkeiten.",
      • "content": "Der großflächige Stromausfall auf der iberischen Halbinsel hat Debatten über Schwachstellen und Energiesicherheit ausgelöst. Es ist ein Thema mit vielen Verzweigungen, einschließlich der Sicherheit der Versorgung mit Rohstoffen, die die Produktion von Technologien zur Erzeugung und Speicherung sauberer Energie ermöglichen. In einer sich stetig wandelnden Weltordnung, in der die Europäische Union versucht, angesichts der angespannten transatlantischen Beziehungen, des \"Systemrivalen\" China und der russischen Bedrohung Fuß zu fassen, setzt die EU weiterhin entschlossen auf die Beschaffung kritischer Rohstoffe für \"strategische Autonomie\". Auch Spanien folgt nun diesem Beispiel und unternimmt Schritte im Spannungsfeld zwischen Energie und digitalem Wandel, geopolitischen Spannungen, Aufrüstungswettlauf und Handelsunsicherheiten. Doch während die EU versucht, ihre enorme Ressourcenabhängigkeit von China und anderen Ländern zu verringern, fordern viele der von der jüngsten Genehmigung neuer Bergbauprojekte durch Brüssel betroffenen Bevölkerungsgruppen Transparenz bei den Auswahlkriterien. Mehr als 200 zivilgesellschaftliche Gruppen aus neun EU-Mitgliedstaaten haben Ende April einen Brief an die Präsidentin des Europäischen Parlaments, Roberta Metsola und die Fraktionsvorsitzenden im Europäischen Parlament geschickt. Sie fordern die Abgeordneten auf, sich dafür einzusetzen, dass die Europäische Kommission Auskunft zu den Plänen gibt - sie war ihnen bisher verweigert worden. \"Wir brauchen Zugang zu diesen Informationen, um zu prüfen, ob die Anträge den rechtlichen Anforderungen entsprechen, und, falls dies nicht der Fall ist, um unsere zukünftigen Optionen zu erwägen\", heißt es in dem Schreiben. Von den 230 Unterzeichnern sind 90 Prozent (207) Spanier. Darunter sind zahlreiche Nachbarschaftsverbände aus Städten, die potenziell von Bergbauprojekten betroffen sind, Anwaltskanzleien, andere zivilgesellschaftliche Gruppen und auch Organisationen wie \"Ecologistas en Acción\" und \"Amigas de la Tierra\". \"Wir wollen unser Recht auf Zugang zu öffentlichen und umweltrelevanten Informationen in Verfahren wahrnehmen, die über unseren Verbleib in den Gebieten, in denen wir leben, entscheiden\", erklärt die Plattform SOS Suído-Seixo, die gegen das Lithiumabbauprojekt Mina Doade in Galicien protestiert. Ziel der Petition ist nach Angaben von Ecologistas en Acción, \"die ökologischen und sozialen Auswirkungen\" der genehmigten Projekte beurteilen zu können. \"Der Mangel an Transparenz verunsichert\", fügt die Gruppe hinzu, die auch befürchtet, dass die Beschleunigung der Genehmigungen aufgrund der Erwägung eines strategischen Projekts \"die effektive Beteiligung der lokalen Bevölkerung verhindert\". Europa will seine Versorgung \"sichern und diversifizieren\" Mit der jüngsten Genehmigung der Europäischen Kommission für eine erste Serie von 47 strategischen Projekten - sieben davon in Spanien - zur \"Sicherung und Diversifizierung des Zugangs zu Rohstoffen in der EU\" versucht die EU, das Tempo in einem Wettlauf zu verschärfen, in dem China seit Jahrzehnten die Nase vorne zu haben scheint - und in dem US-Präsident Trump mit expansionistischem Eifer auf den Plan getreten ist. Eine davon führt nach Grönland, dem autonomen dänischen Territorium, das reich an kritischen Mineralienreserven ist und das der US-Präsident als \"absolute Notwendigkeit\" für seine \"nationale Sicherheit\" ins Visier genommen hat. Seine Ambitionen führen ihn auch in die Ukraine, wo Washington versucht, seine transaktionale Diplomatie durchzusetzen. Washington hat vor kurzem einen Mineraliendeal mit Kiew abgeschlossen, der darauf abzielt, aus der anhaltender Unterstützung im Krieg gegen Russland Kapital zu schlagen. Ohne Rohstoffe kann keine Energiewende geben - Windturbinen, Sonnenkollektoren oder Batterien für Elektrofahrzeuge können beispielsweise nicht ohne sie funktionieren. Die EU hat eine Reihe von Rohstoffen identifiziert, die in dem Prozess von strategischem Interesse sind und die auch für die neuen digitalen Technologien, die Militär- und die Raumfahrtindustrie von zentraler Bedeutung sind. Die im vergangenen Jahr von der EU verabschiedete \"Europäische Akte über Schlüsselrohstoffe\" setzt das Ziel, bis 2030 zehn Prozent der von der EU benötigten kritischen Rohstoffe vor Ort zu gewinnen und 40 Prozent der Verarbeitung zu übernehmen sowie 25 Prozent des Bedarfs durch Recycling zu decken. Die Strategie zur Sicherung des Zugangs zu diesen Ressourcen bezieht sich nicht nur auf den Boden der EU, sondern umfasst auch die Stärkung von Vereinbarungen mit Drittländern, um Lieferquellen zu diversifizieren - und die übermäßige Abhängigkeit Europas von China und anderen Ländern zu verringern. Auf die asiatische Supermacht entfallen beispielsweise 62 Prozent der weltweiten Produktion von Seltenen Erden und 92 Prozent ihrer weltweiten Verarbeitung, so die Internationale Energieagentur. Nach eigenen Angaben der EU stammt die gesamte Versorgung der EU mit schweren seltenen Erden aus China. Umweltgruppen stellen das Modell in Frage Umweltgruppen sind misstrauisch, was die wahren Absichten Brüssels angeht. \"Gestern wurden uns die gleichen Mineralien und Minen als unverzichtbar für die Energiewende verkauft. Heute werden sie uns als unverzichtbar für die europäische Aufrüstung verkauft. Was ist die Wahrheit? Wofür werden sie gebraucht?\", fragt Adriana Espinosa, Leiterin des Bereichs natürliche Ressourcen und Abfall bei Amigas de la Tierra, im Interview mit Euronews. Ihre Organisation ist der Meinung, dass es \"ein Interesse daran gibt, dem Bergbau um jeden Preis Vorrang zu geben, weil die Rüstungsindustrie und der Metallurgiesektor in Brüssel viel Lobbyarbeit geleistet haben, um all diese Gesetze und die Wirtschaft bestimmter Akteure zu begünstigen, trotz der \"ökologischen und sozialen Risiken\". Sie befürchtet auch, dass diese Dynamik die \"Unzufriedenheit mit der Klimapolitik\" verstärken wird, und weisen darauf hin, dass \"es keine Garantie dafür gibt, dass die aus europäischem Boden gewonnenen Mineralien für die Energiewende verwendet werden, denn im Moment ist das, was als vorrangige Politik der europäischen Institutionen betrachtet wird, die Wiederaufrüstung\". Das eigentliche Problem sei jedoch der \"Ausgangspunkt\" der Debatten über den Bergbau und das \"extraktivistische Rennen\" rund um die Energiewende. \"Sie versuchen, uns diesen Bedarf an Mineralien zu verkaufen und zu beschleunigen\", anstatt sich auf Maßnahmen zu konzentrieren, die versuchen, die Nachfrage nach Mineralien zu reduzieren \", so Espinosa und bezieht sich dabei auf eine Studie von Ende 2023, die von seiner Organisation veröffentlicht und vom gemeinsamen Forschungsinstitut für Energie- und Ressourceneffizienz von Aragon erstellt wurde. Der Analyse zufolge sind die Technologien, bei denen im Rahmen der Energiewende und des digitalen Wandels am meisten Mineralien benötigen werden, nicht diejenigen, die mit Photovoltaik oder Windenergie zu tun haben, sondern zum Beispiel private Elektrofahrzeuge. \"Sie sind der große Motor dieser Nachfrage nach Mineralien\", wie Espinosa sagt. Die Studie verweist auf eine Kombination von Maßnahmen, mit denen sich die Nachfrage bis 2050 für alle analysierten Metalle um 34 Prozent und für Schlüsselelemente wie Lithium sogar um die Hälfte senken ließe. Dazu gehören die Verlängerung der Nutzungsdauer von Technologien, Verbesserungen beim Recycling von Metallen, die Wiederverwendung von Batterien für Elektroautos und die Reduzierung der privaten Autobestände zugunsten eines Mobilitätsmodells, das den kollektiven Elektroverkehr stärkt und fördert. In Bezug auf die Debatte über den Bergbau ist Espinosa kategorisch: \"Wir werden keine Mine irgendwo auf der Welt befürworten oder für zulässig erachten, solange wir mit einem Produktionsmodell fortfahren, das auf unbegrenztem Wachstum basiert, das die Rechte der lokalen Gemeinschaften verleugnet und das vor allem die Rechte der großen Bergbau- und Rüstungskonzerne in den Vordergrund stellt\". Schätzungen und Empfehlungen der Weltbank Ein von der Weltbank im Jahr 2020 veröffentlichter Bericht schätzt, dass drei Milliarden Tonnen Mineralien und Metalle für die Umsetzung von Wind-, Solar- und geothermischer Energie sowie für die Entwicklung von Energiespeichersystemen benötigt werden, um \"eine Zukunft unter 2°C Erderwärmung\" zu gewährleisten. Die Studie prognostiziert, dass selbst bei einer signifikanten Steigerung des Recyclings \"eine starke Nachfrage nach Primärmineralien bestehen bleiben wird\", was insbesondere \"für die Mineralien mit dem höchsten Nachfragewachstum gilt, für die es kein vorhandenes Material für Recycling und Wiederverwendung gibt\". Die in Washington ansässige Agentur fügt hinzu, dass \"künftige Steigerungen der Recyclingraten eine wichtige Rolle bei der Abschwächung der Nachfrage nach Primärmineralien spielen können, ebenso wie die Wiederverwendung von Komponenten für Energiespeichertechnologien\". In dem Bericht werden daher \"weitere politische Maßnahmen zur Intensivierung von Aktionen\" gefordert, um Anreize für Recycling und Wiederverwendung zu schaffen. Das Potenzial der kritischen Rohstoffe in Spanien Das spanische Institut für Geologie und Bergbau (IGME-CSIC) hat es sich zur vorrangigen Aufgabe gemacht, die Bemühungen um einen erfolgreichen Abschluss des ökologischen Übergangs zu unterstützen. Obwohl Spanien nicht das einzige Land mit Bodenschätzen in der EU ist, wird ihm aufgrund mehrerer Faktoren eine wichtige Rolle zugeschrieben: unter anderem wegen seiner relativ großen Fläche, seiner \"großen geologischen Vielfalt\" und der Wahrscheinlichkeit, \"Lagerstätten von sogenannten kritischen Mineralien zu finden\". Das erklärt Ester Boixereu, Expertin für mineralische Ressourcen am IGME-CSIC gegenüber Euronews. Das spanische Ministerium für ökologischen Wandel hat Anfang April das Anhörungs- und öffentliche Informationsverfahren für den Vorschlag abgeschlossen. Der Entwurf wurde im März auf einer Veranstaltung in Madrid vorgestellt, auf der der Staatssekretär für Energie, Joan Groizard erklärte, dass der Plan \"einen '360°-Ansatz' für die Bewirtschaftung von Rohstoffen\" anstrebt, der sich auf die Ermittlung des Bedarfs, Recycling und die Kreislaufwirtschaft, die Rückverfolgbarkeit der von uns importierten Materialien, die Kenntnis der in Spanien vorhandenen Ressourcen und die Rückgewinnung und nachhaltige Wiederherstellung von Flächen konzentriert\". Der vorgeschlagene Ansatz steht im Einklang mit dem europäischen Rohstoffgesetz und beinhaltet die Umsetzung des Nationalen Programms für Bergbauexploration 2025-2029, das sich noch bis zum kommenden Freitag in der Phase einer öffentlichen Anhörung befindet und bis spätestens 24. Mai bei der Europäischen Kommission eingereicht werden muss. Grund dafür ist eine Auflage aus Brüssel, die darauf abzielt, Kenntnisse über die mineralischen Ressourcen des Landes zu verbessern, wobei der Schwerpunkt auf den von der EU als kritisch eingestuften Rohstoffen liegt. Als in Spanien das letzte Mal im Rahmen des nationalen Bergbauplans, der zwischen 1969 und 1970 erstellt wurde, eine Schürfung von vergleichbarer Tiefe durchgeführt wurde, waren Ressourcen wie Lithium, Nickel, Kobalt und seltene Erden noch nicht auf dem Radar. Heute werden sie als grundlegend angesehen. Die IGME-CSIC, die autonomen Gemeinschaften (die die Bodenschätze in ihren Gebieten verwalten) und andere Akteure werden sich an der Durchführung des Explorationsprogramms beteiligen. Aufgrund seines Umfangs und der strategischen Dimension ist es das erste Programm dieser Größenordnung seit Jahrzehnten, obwohl die IGME-Wissenschaftler schon seit langem dazu forschen. \"Die Untersuchung des spanischen Bergbaupotenzials ist etwas, was die Verwaltung schon immer getan hat\", so Ester Boixereu. Der Plan sei eine \"stärkende Maßnahme, um kritische Rohstoffe zu untersuchen\", fügt sie hinzu. Erkundung von Primärlagerstätten und Bergbaurückständen Bei der Suche nach unbekannten Mineralien sollen neueste Technologie genutzt werden. Dazu werden frühere geowissenschaftliche Studien überprüft und neue Sondierungen, geophysikalische und Fernerkundungsuntersuchungen durchgeführt. Neben der Erkundung von Primärvorkommen berücksichtigt das Programm auch Kriterien der Kreislaufwirtschaft, indem es die Suche nach Sekundärressourcen in mehr als tausend Bergbauabfallanlagen in Betracht zieht. Laut Boixereu soll ermittelt werden, \"welche Ressourcen sich in den Teichen und Halden befinden, die in der Vergangenheit vielleicht uninteressant waren, jetzt aber nutzbar gemacht werden können\". Das Programm wird auch den Wert der Zusammenarbeit zwischen dem öffentlichen und dem privaten Sektor hervorheben. Auch wenn das Budget noch nicht feststeht, wird es nach Angaben des Ministeriums über einen eigenen Finanzrahmen verfügen, der zwei Fördermechanismen für die Suche nach unbekannten Ressourcen und Abfallanlagen vorsieht. Die Gebiete Spaniens, die von größtem Interesse sind und in denen am ehesten kritische Rohstoffvorkommen vermutet werden, sind die westliche Hälfte und der Süden der Halbinsel. Spanien ist derzeit der einzige EU-Produzent von Strontium, der erste von Flussspat und der zweite von Kupfer und Magnesit. Außerdem werden andere wichtige Rohstoffe wie Wolfram, Feldspat und Tantal produziert. Abgesehen von den grundlegenden Rohstoffen ist Spanien auch ein hervorragender Produzent von Baumaterialien: Es ist der führende Produzent von Gips in der EU, der weltweit führende Produzent von Dachschiefer, der zweitgrößte Produzent von Marmor und Ziergestein weltweit und der drittgrößte Produzent von Granit.",
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      • "content": "Les députés n’ont pas trouvé de consensus concernant la proposition du Conseil européen de prolonger l’accord d’association UE-Israël. Les constats sont les mêmes, les conclusions divergent. Pas de consensus, pas de position. Voilà à quoi se résume la réunion de la commission des Affaires étrangères lors de laquelle les députés devaient discuter de deux propositions d’avis politique, l’une émanant du LSAP, l’autre du DP, concernant la décision du Conseil européen de prolonger, pour deux années supplémentaires, l’accord d’association UE-Israël. Pour les socialistes, la proposition de décision du Conseil européen n’est pas acceptable. L’accord qui est entré en vigueur en 2000 «comprend des dispositions mentionnant explicitement l’importance du respect des droits humains», rappellent-ils. L’article 2 stipule clairement que «les relations entre les parties, de même que toutes les dispositions du présent accord, se fondent sur le respect des droits de l’homme et des principes démocratiques, qui inspire leurs politiques internes et internationales et qui constitue un élément essentiel du présent accord». Les socialistes, comme les libéraux, constatent que l’État d’Israël a commis et continue tous les jours à commettre de graves violations des droits humains. Le LSAP parle de «crimes contre l’humanité» dans les Territoires palestiniens occupés et dans la bande de Gaza. Le DP observe que l’État d’Israël «viole de manière continue» les principes de démocratie, de l’État de droit, des droits humains et du droit international «qui constituent les fondements de la politique étrangère du Grand-Duché de Luxembourg». Pourtant, opposition et majorité ne sont pas parvenues à se mettre d’accord. Le LSAP n’est pas favorable à une prolongation de l’accord entre l’UE et Israël, à l’inverse du DP. Le premier estime qu’il est plus que nécessaire de suspendre cet accord alors qu’Israël, depuis maintenant plus de deux mois, a mis en place un blocage de l’aide humanitaire, de l’eau et de l’électricité vers la bande de Gaza. «À travers cette mesure cruelle, Israël instrumentalise la faim comme arme de guerre. Nous constatons également la mort de plus de 400 travailleurs et travailleuses humanitaires par des attaques israéliennes», écrivent les socialistes dans leur avis. Les libéraux, qui constatent les mêmes dérives, relèvent que les faits peuvent être qualifiés de «crimes contre l’humanité». Sauf que le DP n’entend pas suspendre l’accord d’association, mais répète qu’il y a urgence d’imposer le cessez-le-feu «immédiat» et de «permettre la reprise des livraisons d’aide humanitaire, conditions préalables essentielles à une paix durable fondée sur la solution à deux États». Les libéraux dénoncent la souffrance humanitaire «dramatique» et le blocus, mais estiment pouvoir donner son accord à la proposition de décision du Conseil européen «à condition que celle-ci serve et soit activement utilisée comme levier pour pousser Israël vers une reprise inconditionnelle de l’aide humanitaire et l’instauration d’un cessez-le-feu». Si les libéraux sont favorables à une prolongation de l’accord, c’est avant tout par qu’il permet de donner une «plateforme politique et régionale puissante» et que celle-ci «devra davantage être employée pour promouvoir la position et le poids de l’Union européenne», pour aboutir à un cessez-le-feu, un déblocage de l’aide humanitaire et à la libération des otages. Les socialistes rappellent qu’en vertu du droit international, «l’accord en question ne concerne pas les territoires occupés par Israël depuis 1967». Ils condamnent les intentions «de nettoyage ethnique et d’annexion de la bande de Gaza et des Territoires palestiniens occupés propagées par des membres du gouvernement israélien, à commencer par le Premier ministre Netanyahou». Ce dernier est d’ailleurs visé par un mandat d’arrêt du procureur de la Cour pénale internationale, et les socialistes ne voient pas comment la commission des Affaires étrangères pourraient faire autrement que d’exiger la suspension immédiate de l’accord euro-méditerranéen entre l’UE et Israël. Cet accord est la base juridique des relations commerciales de l’UE avec Israël. L’Union européenne, selon les conclusions du Conseil, «reste fermement attachée à une paix durable et pérenne reposant sur la solution à deux États». Elle continuera de soutenir l’Autorité palestinienne et son programme de réformes. Faute de consensus et à l’issue d’un vote, la commission des Affaires étrangères et européennes a retenu de ne pas se positionner à la proposition de décision du Conseil. Les socialistes pourraient revenir sur la question en déposant une motion réclamant la reconnaissance d’un État palestinien. Actuellement, 148 pays membres de l’ONU reconnaissent l’État palestinien, avec le Vatican. Douze des 27 pays de l’ reconnaissent la Palestine comme un État souverain. La France pourrait être le prochain. Le Luxembourg observe.",
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      • "content": "Tout est bien qui finit bien ? L’Allemagne dispose depuis lundi après-midi d’un nouveau chancelier, au bout d’un flottement politique qui aura duré six mois. Les bonnes nouvelles s’arrêtent là. Car Friedrich Merz entame son mandat en étant fortement fragilisé. Contre toute attente, il a subi un échec retentissant en se faisant barrer, , le chemin pour succéder au malheureux Olaf Scholz. Celui qui se voit en nouvel homme fort de l’Allemagne a été lâché par plusieurs membres de sa propre majorité, formée entre l’union conservatrice (CDU/CSU) et les sociaux-démocrates (SPD). Il a fallu passer par un deuxième tour, sans précédent dans l’histoire politique allemande d’après-guerre, pour que Friedrich Merz obtienne la majorité absolue requise. Ce camouflet vient s’ajouter au fait que la CDU/CSU a remporté les élections anticipées en février avec un résultat plutôt mitigé. Les conservateurs n’ont pas eu d’autre choix que de s’allier au SPD du chancelier sortant, sévèrement sanctionné dans les urnes. Le gouvernement Merz ne dispose que d’une fine majorité de 12 sièges au Parlement fédéral. Bien avant le scrutin, Friedrich Merz avait pris la décision délibérée de faire adopter, avec les voix des extrémistes de droite AfD, une motion purement symbolique visant à durcir la politique migratoire. Pendant la campagne électorale, le chef de file des conservateurs avait promis de ne pas toucher au «frein à la dette», une clause inscrite dans la Constitution allemande pour éviter des dérapages financiers. Il a fait marche arrière après les élections pour ouvrir la voie, avec le concours du SPD et des Verts, à des investissements record dans la défense et les infrastructures. Même si ce paquet est indispensable, Friedrich Merz, déjà peu populaire, a perdu du crédit auprès des citoyens et à l’intérieur de son parti. Les raisons qui font que le nouveau chancelier chancèle déjà sont donc nombreuses. Seule une politique forte et cohérente pourra faire oublier ce faux départ. Sa coalition a bien le «devoir historique» de réussir, dans l’intérêt de l’Allemagne, mais aussi de l’Europe dans son ensemble.",
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      • "content": "Les cardinaux éliront le pape à partir de cet après-midi. Les portes de la chapelle Sixtine se fermeront à 15 h. Qui prendra la succession du pape François ? Les cardinaux ont tenu hier dans la matinée leur dernière réunion préparatoire avant d’emménager au Vatican où ils entameront aujourd’hui le conclave, une réunion à huis clos pour élire le successeur du pape François. Plus de deux semaines après la mort du jésuite argentin, les 133 cardinaux électeurs s’enfermeront à partir de cet après-midi sous les majestueuses fresques de la chapelle Sixtine pour un conclave qui s’annonce particulièrement ouvert. Ils prendront place autour de tables recouvertes de nappes en satin beige et rouge, avant de voter sous la célèbre fresque du de Michel-Ange. Les prélats inscriront le nom de leur choix sur le bulletin, sous la mention , qui signifie en latin «J’élis le souverain pontife». Puis le bulletin plié sera placé sur un plateau d’argent, et ensuite glissé dans l’urne. Lundir matin, les cardinaux, électeurs (âgés de moins de 80 ans) ou non, se sont retrouvés pour la dernière réunion préparatoire, évitant les micros et caméras d’une centaine de journalistes de nombreux pays, signe de la médiatisation planétaire de l’évènement. À l’issue de cette réunion, ils ont lancé un appel pour «une paix juste et durable» en Ukraine, au Moyen-Orient et «dans tant d’autres parties du monde», a indiqué le service de presse du Vatican. Avant la fermeture des portes de la chapelle Sixtine cet après-midi, les cardinaux jureront de garder le secret absolu, sous peine d’excommunication. Il leur sera interdit de communiquer avec le monde extérieur tant qu’ils n’auront pas élu un nouveau pape. Le Vatican a annoncé qu’il couperait le réseau téléphonique à l’intérieur de la petite cité-État aujourd’hui à partir de 15 h jusqu’à l’élection, mais pas place Saint-Pierre où seront massés les fidèles. Les cardinaux, qui devront se séparer de leurs téléphones portables, informeront le monde de l’avancée de leurs travaux en brûlant leurs bulletins de vote pour produire de la fumée – noire en l’absence de choix, blanche pour un nouveau pape, un cérémonial à la forte symbolique visuelle retransmis en mondovision. Les discussions du «préconclave» ont jusqu’à présent abordé un large éventail de sujets, des finances du Vatican au scandale des violences sexuelles, en passant par l’unité de l’Église et le profil du prochain pape. Avec 133 cardinaux électeurs – un record – originaires de quelque 70 pays des cinq continents, ce conclave est le plus grand et le plus international jamais organisé, rendant son issue plus incertaine que jamais. «Il y a divers profils, de nombreuses personnalités qui peuvent être élues. Au moins cinq ou six, je dirais», a affirmé au l’archevêque d’Alger, Jean-Paul Vesco. «Il y avait les candidats pour ainsi dire naturels, ceux qui par leur rôle et leur personnalité sont déjà connus. Et il y a aussi ceux qui interviennent et vous font penser : c’est une parole forte. Mais il n’y a personne qui écrase les autres, quelqu’un dont on pourrait penser : ce sera lui», a-t-il ajouté. Plus d’une douzaine de noms circulent comme candidats potentiels, de Pierbattista Pizzaballa, le patriarche latin de Jérusalem, au conservateur hongrois Peter Erdö. «Il ne doit pas être trop fermé d’esprit», estime Veronica de Garcia, 30 ans, une touriste mexicaine. Mais «un pape favorable à l’avortement est impensable», assure pour sa part Enzo Orsingher, 78 ans, originaire de Rome. François a multiplié les réformes au cours de ses douze années de pontificat, mais son action a été la cible d’une vive opposition interne. Il a nommé environ 80 % des cardinaux électeurs actuels, mais les experts estiment que ceux-ci ne choisiront pas nécessairement un successeur marchant sur ses traces. Les «princes de l’Église» séjournent traditionnellement dans la résidence Sainte-Marthe au Vatican, qui dispose de salles de bains privatives et d’un service d’étage de type hôtelier. Lundi, en fin d’après-midi, les premiers cardinaux arrivaient valise à la main. Ils peuvent accéder à leur chambre – attribuée par tirage au sort – d’ici la messe de ce matin. Médecins, chauffeurs, cuisiniers, personnel de sécurité et de nettoyage : les personnes entourant les cardinaux sont également tenus au secret et ont prêté serment lundi.",
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      • "content": "L'Inde a tiré des missiles sur des zones contrôlées par le Pakistan mercredi matin, causant la mort d'au moins huit personnes, dont un enfant, une action que le dirigeant pakistanais a qualifiée d'acte de guerre. L'Inde affirme avoir visé d es installations utilisées par des militants associés au récent massacre de touristes dans la région du Cachemire administrée par l'Inde . Selon un communiqué de l'armée indienne, les tirs pakistanais ont causé la mort d'au moins trois civils dans la partie du Cachemire administrée par l'Inde. Les relations entre les deux pays voisins, dotés de la capacité nucléaire, se sont considérablement détériorées à la suite de l'attentat perpétré la semaine dernière à Pahalgam, qui a fait 26 morts et que l'Inde attribue à l'appui du Pakistan. Islamabad a réfuté ces affirmations. Le Premier ministre Shehbaz Sharif a dénoncé les frappes aériennes qui ont eu lieu mercredi, les qualifiant d'attaques lâches de la part d'un adversaire perfide, et a affirmé que son pays répondrait en conséquence. \"Le Pakistan a tout à fait le droit de donner une réponse vigoureuse à cet acte de guerre imposé par l'Inde, et une réponse vigoureuse est effectivement donnée\" , a déclaré M. Sharif. M. Sharif a demandé la tenue d'une session d'urgence du comité de sécurité nationale, prévue pour mercredi matin, afin de discuter des attaques et de formuler une réponse pakistanaise. Stéphane Dujarric, porte-parole des Nations unies, a déclaré mardi en fin de journée que le secrétaire général Antonio Guterres était \"très préoccupé par les opérations militaires indiennes au-delà de la ligne de contrôle et de la frontière internationale\" et qu'il appelait les deux pays à la plus grande retenue militaire. \"Le monde ne peut pas se permettre une confrontation militaire entre l'Inde et le Pakistan\", peut-on lire dans le communiqué. Les missiles ont frappé six sites au Cachemire sous administration pakistanaise et dans la province orientale du Pendjab , tuant au moins huit personnes et en blessant plus de trois douzaines d'autres, selon le porte-parole de l'armée pakistanaise. Un missile a frappé une mosquée à Bahawalpur, dans la province du Pendjab , tuant un enfant sur le coup. D'autres missiles ont visé des zones proches de Muridke, au Pendjab, et de Kotli, au Cachemire sous contrôle pakistanais. Les autorités du Cachemire sous administration pakistanaise ont annoncé l'instauration de l'état d'urgence dans les hôpitaux de la région. Les cours ont également été annulés dans les écoles du Cachemire et du Pendjab à la suite de l'attaque. Les séminaires du Cachemire ont été fermés plus tôt en prévision d'un éventuel assaut de l'Inde. Le ministère indien de la Défense a indiqué qu'au moins neuf lieux avaient été ciblés, où des plans d'attaques terroristes contre l'Inde auraient été élaborés. \"Nos actions ont été ciblées, mesurées et non escalatoires par nature. Aucune installation militaire pakistanaise n'a été visée\" , précise le communiqué, qui ajoute que \"l'Inde a fait preuve d'une grande retenue dans le choix des cibles et des méthodes d'exécution\" . L'armée a indiqué que l'opération avait été baptisée \"Sindoor\" , un mot hindi désignant la poudre de vermillon rouge vif que les femmes hindoues mariées portent sur le front et les cheveux, en référence aux femmes qui ont vu leur mari se faire tuer devant elles. Le Pakistan riposte L'armée indienne a déclaré que trois civils avaient perdu la vie à la suite de tirs aveugles des forces pakistanaises , qui comprenaient à la fois des tirs d'armes à feu et des tirs d'artillerie sur la ligne de contrôle, la frontière non officielle qui sépare la région contestée du Cachemire entre les deux nations, ainsi que sur leur frontière internationale. L'armée a ajouté qu'elle prenait des mesures proportionnées. À la suite des actions militaires de l'Inde, un avion s'est écrasé sur un bâtiment scolaire à la périphérie de la principale ville du Cachemire administré par l'Inde , comme l'ont confirmé la police locale et les habitants. La télévision d'État pakistanaise, citant de hauts responsables des services de sécurité, a indiqué que l'armée de l'air pakistanaise avait abattu cinq avions indiens en réponse, sans toutefois donner plus de détails. L'Inde n'a pas encore répondu à l'affirmation du Pakistan. Le ministère des Affaires étrangères d'Islamabad a affirmé que les forces indiennes avaient lancé les attaques depuis leur propre espace aérien.",
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      • "title": "Konflikt zwischen Atommächten: Indien greift Pakistan an, mindestens 8 Tote",
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      • "description": "Der Konflikt zwischen den Atommächten Indien und Pakistan scheint zu eskalieren. Als Vergeltung für den Angriff auf Pahalgam im indisch verwalteten Teil Kaschmirs im vergangenen Monat startet Indien die \"Operation Sindoor\" und nimmt mehrere Gebiete in Pakistan ins Visier.",
      • "content": "Indien hat am Mittwochmorgen Luftangriffe auf mehrere Ziele in Pakistan gestartet. Dabei sind mindestens acht Menschen, darunter ein Kind, getötet worden. Der pakistanische Staatschef Shehbaz Sharif spricht von einer \" Kriegshandlung\". Nach indischen Angaben wurden Einrichtungen angegriffen, die von Militanten genutzt werden, die mit dem jüngsten Massaker an Touristen in der von Indien verwalteten Region Kaschmir in Verbindung gebracht werden. Durch den pakistanischen Beschuss waren mindestens drei Zivilisten getötet worden. Die Beziehungen zwischen den atomwaffenfähigen Nachbarländern haben sich nach dem Anschlag in Pahalgam, bei dem 26 Menschen getötet wurden, erheblich verschlechtert. Indien macht Pakistan dafür verantwortlich. Islamabad hat diese Behauptungen zurückgewiesen. Premierminister Shehbaz Sharif verurteilte die Luftangriffe vom Mittwoch als feige Angriffe eines \"verräterischen Gegners\" und versicherte, dass sein Land entsprechend reagieren werde. \"Pakistan hat jedes Recht, auf diese Kriegshandlung Indiens mit aller Entschiedenheit zu reagieren, und das wird auch geschehen\", sagte Sharif. Sharif hat für Mittwochmorgen eine Dringlichkeitssitzung des Nationalen Sicherheitsausschusses einberufen, um die Angriffe zu diskutieren und eine pakistanische Antwort zu formulieren. Der Sprecher der Vereinten Nationen, Stéphane Dujarric, erklärte, Generalsekretär Antonio Guterres sei \"sehr besorgt über die indischen Militäroperationen jenseits der Kontrolllinie und der internationalen Grenze\" und rief beide Länder zu größtmöglicher militärischer Zurückhaltung auf. \"Die Welt kann sich eine militärische Konfrontation zwischen Indien und Pakistan nicht leisten\", hieß es in der Erklärung. Die Raketen schlugen an sechs Orten im pakistanisch verwalteten Kaschmir und in der östlichen Provinz Punjab ein, wobei nach Angaben des pakistanischen Armeesprechers mindestens acht Menschen getötet und mehr als drei Dutzend weitere verletzt wurden. Eine Rakete schlug in einer Moschee in Bahawalpur (Punjab) ein und tötete beim Einschlag ein Kind. Andere Raketen trafen Gebiete in der Nähe von Muridke im Punjab und Kotli im pakistanisch kontrollierten Kaschmir. Die Behörden im pakistanisch verwalteten Kaschmir haben für die Krankenhäuser der Region den Ausnahmezustand ausgerufen. Auch der Unterricht in den Schulen in Kaschmir und Punjab wurde infolge des Angriffs ausgesetzt. Seminare in Kaschmir wurden bereits früher geschlossen, um auf einen möglichen Angriff Indiens vorbereitet zu sein. Das indische Verteidigungsministerium teilte mit, dass mindestens neun Orte angegriffen wurden, an denen angeblich Pläne für Terroranschläge gegen Indien geschmiedet wurden. \"Unsere Aktionen waren zielgerichtet, maßvoll. Es wurden keine pakistanischen Militäreinrichtungen ins Visier genommen\", hieß es in der Erklärung, und weiter: \"Indien hat bei der Auswahl der Ziele und der Art der Ausführung erhebliche Zurückhaltung geübt.\" Die Armee gab der Operation den Namen \"Sindoor\", ein Hindi-Wort für das leuchtend rote Zinnoberpulver, das verheiratete Hindu-Frauen auf der Stirn und im Haar tragen, in Anspielung auf die Frauen, die mit ansehen mussten, wie ihre Ehemänner vor ihren Augen getötet wurden. Pakistan übt Vergeltung Die indische Armee teilte mit, dass drei Zivilisten durch den wahllosen Beschuss der pakistanischen Streitkräfte ums Leben gekommen seien. Dabei handelte es sich sowohl um Gewehrfeuer als auch um Artilleriebeschuss über die Kontrolllinie hinweg, die inoffizielle Grenze, die die umstrittene Region Kaschmir zwischen den beiden Nationen trennt, sowie die internationale Grenze. Die Armee sagte, dass sie die Maßnahmen in angemessener Weise ergreife. Nach den Militäraktionen Indiens stürzte ein Flugzeug in ein Schulgebäude am Rande der wichtigsten Stadt im indisch verwalteten Kaschmir, wie die örtliche Polizei und Anwohner bestätigten. Das staatliche pakistanische Fernsehen berichtete unter Berufung auf ranghohe Sicherheitsbeamte, dass die pakistanische Luftwaffe daraufhin fünf indische Flugzeuge abgeschossen habe, wobei jedoch keine weiteren Einzelheiten bekannt gegeben wurden. Indien hat noch nicht auf die pakistanischen Aussagen reagiert. Das Außenministerium in Islamabad sagte, die indischen Streitkräfte hätten die Angriffe aus ihrem eigenen Luftraum heraus initiiert.",
      • "pubDate": "2025-05-07 04:30:53",
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      • "title": "[BGL Ligue] Reinhold Breu : «Ils sont nombreux à être venus me trouver pour « racheter le club »»",
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        • "Julien Mollereau"
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      • "description": "Pourquoi Reinhold Breu plutôt que le projet mis en avant par un investisseur qui débarquait avec 200 000 euros pour faire passer un cap budgétaire au club, mais qui voulait installer Sébastien Allieri ? Marc Theisen : Parce que déjà, pour la première fois depuis longtemps, nous avions pléthore de candidatures sur la table, une vingtaine. On cherchait ...",
      • "content": "Pour prendre Reinhold Breu, la Jeunesse a choisi de dire non à un gros investisseur qui voulait venir avec son propre coach (Sébastien Allieri). Quelques jours après l’annonce, Marc Theisen justifie cette décision de politique sportive majeure. Marc Theisen : Parce que déjà, pour la première fois depuis longtemps, nous avions pléthore de candidatures sur la table, une vingtaine. On cherchait un coach avec une expérience du football luxembourgeois et une autre de la gestion du secteur jeunes pour nous permettre de franchir un nouveau palier dans ce domaine. C’est ce que d’autres, dans le coin, comme la Jeunesse, le F91... ont réussi à faire et nous sommes d’avis que nous devons approfondir notre approche pour essayer d’avoir, chaque année, un à deux juniors capables d’intégrer l’équipe 1. Il nous est resté trois candidats qui étaient d’un très haut niveau et Breu avait tous les critères. Ça veut dire quoi, investir? Ces dernières années, certains sont venus me trouver pour racheter le club ou, effectivement, comme ils disent : investir . Mais on est une ASBL! Et ce genre d’offres, j’en ai vu arriver dix fois en trois saisons. Nous, on discute avec tous ceux qui désirent soutenir le club. Certains à qui l’on dit directement non , d’ailleurs. Mais je me suis aussi assis trois fois très concrètement, avec des gens, pour un tour de table. Pour ce projet dont vous parlez, le plus récent, il y a des choses qui ne peuvent pas sortir du comité et je ne dévoilerai rien de ce qui doit rester en interne. Attention, je ne veux pas dire que c’est impossible que nous accueillions de nouveau quelqu’un, même si l’expérience grecque – que j’ai vécue de l’extérieur – a été particulièrement désastreuse et nous a laissés quasiment pour morts. On examine tout, on n’exclut personne, mais il faut juste que le projet de cette personne entre dans la philosophie du club. On ne se vendra pas corps et âme. Les séquelles de l’expérience grecque restent. On sait désormais que dans les structures désuètes comme la nôtre, il faut rester vigilant quand quelqu’un vient de l’extérieur. Mais l’on sait que si l’on veut progresser, l’argent ne peut pas faire de mal. Qu’est-ce que c’est, cher? Nous avons un budget avec beaucoup de postes et si l’on dépense un peu plus d’un côté, il faut juste savoir dépenser moins d’un autre. Alors disons que c’est un effort raisonnable! Dans ce budget, on n’est plus comme en 2022, où un mois de salaire des joueurs représentait 70 000 euros. Aujourd’hui, on est à 30 000 euros. Et mettre plus d’argent dans un coach qui est aussi un coordinateur, quitte à réduire l’effectif de deux ou trois joueurs, cela nous semble un bon calcul. Et puis vous savez, Breu ne viendra pas avec deux adjoints, comme Arnaud Bordi. Sachant que Breu a un carnet d’adresses et que l’on pourrait devenir un bon tremplin pour des U18 ou des U21 de la FLF, cela nous semble rentable. Et puis le ministère subventionne plus les clubs qui possèdent des entraîneurs diplômés, donc c’est joindre l’utile à l’agréable. Avec son savoir-faire, il va pouvoir installer les choses dans un délai raisonnable. Je suis toujours à l’écoute! Mais chacun ses responsabilités et la leur, ce n’est pas de choisir l’entraîneur. Mon expérience, c’est qu’il y a toujours la moitié de l’équipe qui veut garder le coach et l’autre qui veut le virer. L’équipe, ce n’est pas un syndicat d’entreprise, sinon, on leur donnerait un siège au comité. Le choix du coach, c’est celui du comité et surtout pas des joueurs! Il ne faut pas toujours aller dans leur sens. Pour le moment, je n’en cherche pas. Mais à 71 ans dont quarante dans le sport, je n’ai plus rien à prouver et je ne suis donc pas particulièrement aussi attaché à ce poste que si j’avais 40 ans. J’étais juste arrivé en tant que gestionnaire, pour éviter la liquidation du club. Ces dernières années, j’ai croisé des gens venus investir mais encore aucun qui m’a dit vouloir prendre mon poste. Et de toute façon, comme avec les Grecs, c’est en assemblée générale que la décision se prendrait.",
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      • "description": "À l’approche de Noël 1989, en Roumanie, l’heure de la révolution a sonné. Mais entre les autorités qui, plus méfiantes que jamais, tentent de sauver les apparences coûte que coûte, et la grande confusion qui gagne la population, la chute de Nicolae Ceausescu a un goût de terreur, de colère et de joie immense tout ...",
      • "content": "Les dernières heures du régime de Ceausescu, vécues par une poignée de citoyens lambda : avec The New Year That Never Came, Bogdan Mureşanu, nouveau venu dans le cinéma roumain, signe un coup de maître. À l’approche de Noël 1989, en Roumanie, l’heure de la révolution a sonné. Mais entre les autorités qui, plus méfiantes que jamais, tentent de sauver les apparences coûte que coûte, et la grande confusion qui gagne la population, la chute de Nicolae Ceausescu a un goût de terreur, de colère et de joie immense tout à la fois. Ce que Bogdan Mureşanu restitue formidablement dans son premier long métrage, , récompensé à Venise (Grand Prix de la sélection Orizzonti) et double vainqueur du dernier LuxFilmFest (Grand Prix et prix de la critique). Adapté de son propre court métrage (déjà vainqueur du festival de Clermont-Ferrand 2018), Mureşanu étend son observation des dernières vingt-quatre heures de la vie en dictature à six personnages dont le destin sera bouleversé par ce vent de changement. En près de deux heures trente, cette fresque politique à hauteur de citoyens lambda passe d’un personnage à l’autre, sans savoir que leurs histoires individuelles, entre comédie absurde et tragédie âpre, convergent toutes vers le même dénouement. Loin d’être inédit au cinéma, le sujet – précédemment raconté dans (Corneliu Porumboiu, 2006) et (Catalin Mitulescu, 2006), mais aussi dans le film anglais (Nicolas Roeg, 1995) – donne ici lieu à une œuvre chorale magistrale que son auteur a imaginée «dans la tradition roumaine de l’humour noir : pleurer et rire en même temps». Mais plutôt que de s’en remettre à ses aînés du cinéma roumain, cite comme inspirations premières (Paul Thomas Anderson, 1999) et (Robert Altman, 1993). «Ce kaléidoscope au ton tragicomique offre une perspective différente sur la révolution», lance, définitif, Bogdan Mureşanu : «Les personnages ne savent pas qu’il y a un . Ils vivent dans la tragédie, dans un monde de peur (...) Mais pour les spectateurs, c’est une comédie parce qu’ils connaissent déjà la fin de l’histoire.» Parmi les protagonistes qui portent cette passionnante mosaïque de la révolution roumaine, on rencontre un ouvrier et père de famille qui doit cacher son aversion pour le régime, une comédienne de théâtre dissidente appelée à réciter en public un hommage à Ceausescu, une équipe de télévision prise dans un casse-tête lorsqu’elle est forcée de rectifier un plan déjà tourné pour une émission de propagande (une vraie émission «qui, ironiquement, n’a jamais été diffusée puisque Ceausescu a été exécuté le jour de Noël», précise Mureşanu)... Autant de personnages dont l’isolement reflète la vie en dictature, où «la peur et le soupçon transforment la société en un archipel d’îles minuscules et fermées». Le point de départ de la révolution clôt le long métrage, actant ainsi l’improbable réalisation d’un rêve qui, pour les personnages – et par extension l’ensemble de la population roumaine –, semblait jusque-là inatteignable. «Je voulais réaliser un », dit le réalisateur, qui a délibérément «choisi de terminer le récit au moment où tout était parfait» – car, «immédiatement après (la chute du régime), il y a eu de la violence et des morts». Bogdan Mureşanu affronte aussi cette violence, notamment à travers le parcours malheureux d’un adolescent cherchant à fuir le pays, mais il se concentre en premier lieu sur la violence morale des situations kafkaïennes montées par le régime au moment où celui-ci est poussé vers ses ultimes retranchements paranoïaques. Un regard décalé qui prête à rire, parfois aux éclats, derrière le sérieux du sujet. Il en va ainsi de Gelu (Adrian Vancica), l’ouvrier et «héros malgré lui», qui voit rouge lorsqu’il apprend que son fils, dans sa lettre au père Noël, a demandé comme cadeau pour son père «la mort de l’oncle Nic» – le surnom du tyran. Ou les conversations en salle de montage, aussi hilarantes qu’interminables, entre les techniciens de la chaîne de télé, qui doivent redoubler d’inventivité (ou de stupidité, c’est selon) pour remplir le cahier des charges. Malgré un petit budget (1,5 million d’euros), Mureşanu rejoint l’excellence de ses modèles américains à l’aide d’une «caméra libre de ses mouvements» et une esthétique joliment surannée, faussement nostalgique. Le procédé esthétique – caméra portée, format carré, zooms... – éclate dans un final étourdissant monté au son du de Ravel, qui «devait pouvoir saisir l’importance de la scène (...), quand Ceausescu est hué pour la toute première fois en public», explique le réalisateur. «Ce meeting a été retransmis à la télévision et a été vu dans chaque foyer. C’est un moment symbolique (...) : sous les yeux (des Roumains), le leader autrefois élevé au rang de quasi-divinité révélait sa vraie nature, celle d’un vieillard rabougri, terrifié par la colère de la foule.» À l’écran, l’écrasante absence-présence du dictateur vole en éclats; le seul et unique chef, dans ce film que l’on retient déjà comme l’une des meilleures sorties du printemps, s’appelle Bogdan Mureşanu.",
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      • "content": "A number of countries, eager for investment and tax revenue, are hoping to become magnets for the wealthy. European governments are grappling with budget constraints. Weak growth, trade shocks, and ageing populations continue to hit state coffers — while countries are also scrambling to boost defence spending. Against this backdrop, European nations are competing to attract and retain the wealthy, hungry for the investment and tax revenue they may bring. Euronews Business explores the tax perks on offer, along with the pushbacks against them. An earlier version of this article can be found here. Italy Italy is a popular destination with expats not only for its culture and climate, but also because of its tax perks. On the face of it, the country has relatively high levies on personal and corporate income, although there are tax incentives available to foreigners. One of the most well-known is its flat tax regime, which allows wealthy individuals to pay a fixed sum on all foreign-sourced income. This is regardless of the amount earned. The annual fixed fee has recently been increased to €200,000, from the previous €100,000. The advantage is available for up to 15 years, and it's also only open to those who have not been tax residents in Italy for at least 9 out of the last 10 years. Given the cost of the flat tax, it's only interesting for very high-net-worth individuals. \"Italy is very popular,\" tax and immigration advisor David Lesperance told Euronews Business. \"When the flat tax was €100,000, one of my clients told me that's what he paid his accountant every year. You've got to remember that, with the lump sum tax, there are no compliance costs for tax planning.\" Switzerland Switzerland also has a type of lump-sum scheme (forfait fiscal), although the Swiss state claimed last year that fewer than 0.1% of its taxpayers were charged using this method. The way it works is that, instead of collecting fees based on income or wealth, some Swiss regions calculate a rate based on an individual's expenses. While the lump-sum scheme can be interesting for the super rich, the state has put in place a minimum tax base. This is the higher of two figures: either seven times your annual rent or the rental value of your primary property, or higher than CHF 429,100 (around €455,000) - as of 2024. These thresholds apply at a federal level, although specific regions can increase the minimum sum. You're eligible for the forfait fiscal if you have no Swiss citizenship, and if you are coming to live in the country for the first time - or after an absence of 10 or more years. Beneficiaries are also forbidden from holding employment or running a business in Switzerland. This means the scheme is intended to lure a small number of rich expats who have passive income. Portugal Tax perks have become a polemic topic in Portugal due to the soaring cost of living, which has been partially stoked by the arrival of wealthy foreigners. Even so, after scaling back benefits in 2023, the Portuguese government has now reintroduced tax breaks for expats (Non-Habitual Residence 2.0). \"Portugal had the NHR regime which allowed you to live in Portugal for up to 10 years and not pay much tax on foreign income,\" explained Gregory Goossens, a tax lawyer at Taxpatria. In particular, this attracted a large number of retirees, who decided to relocate to Portugal and pay no income tax on their foreign pension income. For those who were generating income in Portugal, specific activities were taxed at a favourable rate of 20%. As well as upsetting locals, the NHR system prompted criticism from Nordic states, who were observing an exodus of their older citizens. Finland and Sweden notably made formal requests to change their double tax treaty rules with Portugal. This would allow them to impose levies on the pensions of their migrating expats. In response to pressure, Portugal has now altered its tax breaks to \"focus on people with an education who can really contribute something to the Portuguese economy\", explained Goossens. Under the NHR 2.0 rules, highly qualified professionals can secure a 20% personal income tax rate for 10 consecutive years, along with tax reductions on certain sources of foreign income. Foreign pensions are excluded from this exemption, meaning they are fully taxable under standard rates. Shell companies Another way that rich individuals can enjoy low effective tax rates is through the use of shell companies, according to the EU Tax Observatory. The body notes that these firms are \"in a grey zone between avoidance and evasion\" in the sense that they are designed to avoid income tax. Individuals sheltering assets in this way decide to place their wealth in the name of a company they control, instead of classing it as personal income. A key feature of a shell company is that it has no active business operations. Withdrawals from the company are taxed at normal rates, although the taxpayer can harbour the excess in the holding firm. Setting up such a structure is particularly profitable in countries where the rate of corporation tax is low. Interesting countries are therefore Ireland (12.5%), Hungary (9%), Bulgaria (10%) and Cyprus (12.5%). While the OECD has been working with member states to introduce a global minimum corporate tax rate of 15%, this only applies to firms earning more than €750 million. More than 140 countries have signed up to the deal, but implementation is still a work in progress. A tax haven for one isn't paradise for all Tax planning cannot simply revolve around one or two types of rate, but rather a whole host of factors must be considered, experts told Euronews. Fees to keep in mind include taxes on personal and corporate income, capital gains, inheritance, and wealth - as well as social security charges. In addition to the locations listed above, countries such as Malta and Monaco can all be considered fiscally advantageous, but it all depends on the nature of someone's income. In some cases, this means even famously high-tax areas such as Belgium can be called havens. As the OECD continues efforts to raise corporation tax, it is yet to be seen whether this will encourage conversations around other rates and diminish tax perks. \"Nations would not provide tax breaks or specialist visas to the wealthy unless they resulted in a greater overall benefit to the state than the cost,\" argued Jason Porter, business development director at Blevins Franks Financial Management. \"You could say whatever tax they collect will be greater than they would have without the encouragement, as the individuals concerned are unlikely to have moved there otherwise.\" \"It is also important to realise what the total benefit might entail, including the property market, spending in local businesses and the potential for entrepreneurial investment locally.\" The trade-offs of wooing wealthy foreigners is a question that continues to dominate political debates, with the push and pull set to continue.",
      • "pubDate": "2025-05-07 04:12:33",
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      • "content": "Officieusement maintenus, les Rout Léiwen vont boucler leur campagne des qualifications de l’Euro-2026 contre du lourd : les Tchèques, mercredi à la Coque, puis les Croates, dimanche à Rijeka. Sur le papier, l’enchaînement final que s’apprêtent à vivre les Rout Léiwen dans le cadre de la phase 2 des qualifications de l’Euro-2026 s’annonce périlleux. Dans les faits, il devrait l’être tout autant. Il faut dire que Ben Weyer et ses équipiers vont affronter, en l’espace de quelques jours, la République tchèque, une nation qui a réussi à se hisser au tour principal du dernier Mondial en s’extirpant du groupe A qualifié comme étant «le plus difficile» par le Polonais Ariel Pietrasik, ce soir à la Coque où des places sont d’ailleurs toujours disponibles à la vente, puis les vice-champions du monde croates, dimanche à Rijeka. Rien que ça. Mais les hommes de Maik Handschke aborderont cette ultime fenêtre de la campagne sans pression particulière puisque l’objectif fixé, à savoir éviter la relégation, sorte de barrage que les deux plus mauvais quatrièmes des huit poules seront amenés à disputer, a, sauf gros retournement de situation de dernière minute, été atteint grâce à la victoire décrochée, en mars dernier à Hasselt, face aux voisins belges. «Les deux points gagnés contre la Belgique devraient être suffisants pour valider notre maintien, explique le sélectionneur national. Dans plusieurs groupes, on retrouve des équipes qui n’ont pas encore de points et normalement celles-ci ne vont pas en obtenir cette semaine étant donné qu’elles seront opposées aux deux premiers de leur poule.» Vraisemblablement maintenu, le Luxembourg, qui va devoir composer sans Ojié Etute, Pierre Veidig et Sam Richard, tous blessés, n’en demeure pas moins audacieux. Hors de question de se présenter en victime expiatoire. «Sur les deux matches, nous sommes clairement les , explique l’Allemand. L’idée c’est de faire du mieux possible, de montrer la meilleure version de nous-mêmes.» Et qui sait, pourquoi ne pas se prendre à rêver d’une qualification historique pour la grand-messe continentale en faisant partie des quatre meilleurs troisièmes ? Si un succès en terre croate, dans une salle qui a des chances d’afficher complet, semble relever de l’utopie, une victoire à domicile devant les Tchèques reste peut-être un poil plus envisageable. En témoigne la première rencontre de la campagne à Prague au cours de laquelle la sélection nationale a longtemps donné du fil à retordre aux locaux. «Nous avions été solides en défense, mais à », précise l’ancien DTN. Et de poursuivre : «Si nous sommes dans un très bon jour et eux dans un moins bon, ce n’est pas impossible de les battre quand bien même cela serait compliqué.» Tout ça pour dire que les handballeurs du Grand-Duché ont une possibilité, aussi infime soit-elle, de toucher du doigt une participation à l’Euro en cas de scénario ultrafavorable.",
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      • "content": "India launches 'Operation Sindoor' striking several areas across Pakistan in retaliation to last month's attack on Pahalgam in Indian-administered Kashmir. India launched missiles into areas controlled by Pakistan on Wednesday morning, resulting in the deaths of at least eight people, including a child, an action that the leader of Pakistan has described as an act of war. India says it targeted facilities utilised by militants associated with the recent massacre of tourists in the Indian-administered region of Kashmir. According to a statement from the Indian army, Pakistani shelling resulted in the deaths of at least three civilians in Indian-administered Kashmir. Relations have soured significantly between the nuclear-capable neighbouring countries following last week’s attack in Pahalgam, killing 26 people, which India attributes to support from Pakistan. Islamabad has refuted these claims. Prime Minister Shehbaz Sharif denounced the airstrikes that occurred on Wednesday, slamming them as cowardly assaults by a treacherous adversary, and asserted that his nation would respond accordingly. “Pakistan has every right to give a robust response to this act of war imposed by India, and a strong response is indeed being given,” Sharif said. Sharif has called for an emergency session of the National Security Committee scheduled for Wednesday morning to discuss the attacks and formulate a Pakistani response. Stephane Dujarric, the United Nations spokesperson, said in a statement late Tuesday that Secretary-General Antonio Guterres was “very concerned about the Indian military operations across the Line of Control and international border” and called for maximum military restraint from both countries. “The world cannot afford a military confrontation between India and Pakistan,” the statement read. The missiles struck six sites in Pakistan-administered Kashmir and the eastern Punjab province, killing at least eight and injuring more than three dozen others, according to Pakistan’s army spokesperson. One missile struck a mosque in Bahawalpur, Punjab, killing a child on impact. Other missiles targeted areas near Muridke in Punjab and Kotli in Pakistan-controlled Kashmir. Officials in Pakistan-administered Kashmir have announced a state of emergency in the hospitals of the region. Classes in schools across Kashmir and Punjab were also cancelled in the wake of the attack. Seminaries in Kashmir were closed earlier in preparation for a potential assault by India. The Indian Defence Ministry reported that at least nine locations were targeted where plans for terrorist attacks against India were allegedly devised. “Our actions have been focused, measured and non-escalatory in nature. No Pakistan military facilities have been targeted,” the statement said, adding that “India has demonstrated considerable restraint in selection of targets and method of execution.” The army said the operation was named “Sindoor,” a Hindi word for the bright red vermillion powder worn by married Hindu women on their forehead and hair, in a reference to the women who saw their husbands killed in front of them. Pakistan retaliates The Indian Army reported that three civilians lost their lives due to indiscriminate firing by Pakistani forces, which included both gunfire and artillery shelling across the Line of Control, the unofficial border separating the disputed region of Kashmir between the two nations, as well as their international border. The army added that it was taking measures in a proportionate manner. Following India's military actions, an aircraft crashed into a school building on the outskirts of the primary city in Indian-administered Kashmir, as confirmed by local police and residents. State-run Pakistan Television quoting senior security officials reported that the nation's air force has downed five Indian aircraft in response, although further details were not disclosed. India has yet to respond to Pakistan's assertion. The Ministry of Foreign Affairs in Islamabad asserted that Indian forces initiated the attacks from within their own airspace.",
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      • "content": "هاي كورة _ وجه الصحفي إنريكي أورتيغو نصيحة في غاية الأهمية إلى برشلونة، بعد خروجه من نصف نهائي دوري الأبطال.إنريكي قال خلال تصريحات له عبر إذاعة أوندا ثيرو التالي:“لكي يعود الفريق إلى المسار الصحيح في الكلاسيكو، يجب عليه أن يلعب بنفس الطريقة التي لعب بها الشوط الثاني ضد الإنتر”.“أداء البارسا في ذلك الشوط كان رائعًا للغاية”.المشكلة من وجهة نظر النقاد ليست في أسلوب اللعب أو الطريقة، لأن البلوغرانا من المتوقع أن تكون له ردة فعل قوية ضد ريال مدريد وخاصة في الشوط الأول، ولكن مع مرور الوقت سينهار جميع لاعبيه بدنيًا لا محالة، عطفًا على المجهودات الاستثنائية المبذولة في مباراتي نصف نهائي الأبطال من أعلى طراز، على عكس الريال المرتاح منذ توديع البطولة من ربع النهائي.",
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      • "content": "هاي كورة _ تحدث الصحفي خوان يوركوين عن خروج برشلونة من نصف نهائي دوري الأبطال.خوان قال خلال تصريحات له عبر إذاعة كادينا سير التالي:“إذا تحدثنا عن الجانب الدفاعي، لا يمكن إلقاء اللوم على الظهيرين، لأن أحدهما سجل هدفًا والآخر صنع هدفين”.“عندما تلعب بنفس أسلوب لعب البارسا، فهذا أمر طبيعي، إذا هاجمت، يجب عليك فعل ذلك بالفريق بأكمله”.هي إشارة منه إلى أن الخلل كان في الأسلوب الهجومي للفريق الكتالوني، لأنه بتلك الطريقة يصبح دفاعه مكشوفًا ومن السهل اختراقه، وليس في كل مرة سيحالفك الحظ وتسجل ضعف عدد الأهداف التي يسجلها المنافس.",
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      • "content": "The day Germany's new leader entered office will now forever be remembered for a very public failure. Friedrich Merz's initial, shock defeat - in his bid to become chancellor - sparked hours of chaotic uncertainty. A man who'd been working to project strength and purpose instead became mired in political intrigue and division. Merz may have won on the second try, but today's messy path to power raises serious questions about the future government. If he couldn't muster the votes amongst coalition colleagues - at such a key moment - how will he fare when trying to push through any contentious legislation? It comes as Germany faces a prolonged recession, fractious arguments on immigration, potentially seismic decisions on defence spending and a surging far-right political force. But Merz's allies insist the situation can quickly be recovered and reject the idea that Merz emerges irreparably damaged. \"Now we are looking in front and forward,\" says Gunther Krichbaum, a veteran of the Christian Democratic Party (CDU) and Germany's new Europe Minister. \"So I think we will have a very, very good and also stable government,\" he told the BBC. \"This is not only necessary for Germany but also Europe.\" Berlin's allies have been impatient to see an effective administration, after the bickering that characterised the last, collapsed coalition government. But Merz now heads off for his planned trips to Warsaw and Paris on Wednesday in the shadow of a tumultuous Tuesday. There's speculation aplenty as to which MPs, in the secret ballot, didn't back Merz on the first round - and why. Disgruntled people, passed over for government jobs, is one theory. Did members within the centre-left Social Democrats (SPD) decide that they had to protest at the political compromises struck with Merz's centre-right party? Or did the forthright Merz - and ambitious SPD Vice-Chancellor Lars Klingbeil - struggle to rally their own ranks? Figures from both sides were quickly keen to suggest that the other was chiefly to blame. Whichever MPs did the deed they were, it seems, willing to risk making Merz and his acolytes sweat. Alternative fur Deutschland (AfD), who are suing Germany's domestic intelligence service for classing the party as extremist , had a ringside seat for the whole show. Following February's election, the AfD is the main opposition party and pounced on events as evidence of the fundamental weaknesses within a coalition made up of the centre-right CDU/CSU parties and centre-left SPD. \"It is very clear that this government... will be a very, very unstable one,\" says Beatrix von Storch, the AfD's deputy group leader. She also echoed claims that it was all further proof that the so-called \"firewall\" of non-cooperation with her party will not last. \"This has shown that this firewall has to fall if you want to have a shift in politics in Germany,\" von Storch told the BBC. Also watching on from the Reichstag's visitors' gallery was Merz's old political rival from within the CDU, former chancellor Angela Merkel. He once lost out to her in a power struggle but returned later to politics - to try and realise his long-held dream of taking the top job. This can't have been the way in which Merz envisioned entering office. But, more importantly, the spectacle leaves his claims of being ready to provide firm government, significantly undermined on day one.",
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      • "content": "( MENAFN - GlobeNewsWire - Nasdaq) UK Casino Experts Crown JACKBIT the #1 Online Casino for 2025 – Find Out Why Players Love It. LONDON, May 06, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- JACKBIT Casino is making a bold impact on the UK's online casino scene for 2025, offering a distinctive mix of privacy, speed, and premium gameplay. Since its launch in 2022, it has become a top choice for UK players who value no KYC requirements, instant crypto withdrawals, and access to over 7,000 games. With a sleek, user-friendly interface and full cryptocurrency support, JACKBIT delivers a modern, secure, and rewarding experience for real-money casino enthusiasts. ✔️JOIN JACKBIT & ACCESS 7,000+ GAMES INSTANTLY (UK ONLY) JACKBIT Casino Features for UK Players JACKBIT ranks among the best online casinos UK for 2025, offering privacy-first gaming with no KYC requirements. 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Start Playing : Dive into 7,000+ games, from best online pokies to sports betting, in best Crypto Casinos . ✔️CLICK HERE TO JOIN JACKBIT DIRECTLY How We Selected JACKBIT as the Best Online Casino in the UK Our rigorous evaluation process ensures JACKBIT ranks among the best online casinos in the UK. We assessed critical factors to identify the top crypto casinos for UK players: License and Security JACKBIT operates under a Curacao eGaming license, guaranteeing legitimacy and fair play. Advanced SSL encryption and a no KYC policy make it a secure best No KYC Casino, safeguarding UK players' data and transactions in best online casinos UK. Bonuses and Promotions JACKBIT's welcome offer, 30% rakeback, and 100 wager-free spins set a high standard in the best online casinos. Weekly $10,000 tournaments, Daily 1000 free spins, and Pragmatic Drops & Wins. The VIP rakeback system (up to 30%) and social media bonuses reward loyalty, making it a favorite in New Online Casinos. 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Its sportsbook, featuring 82,000+ monthly live events, 75,000+ pre-match events, 4,500+ betting types, and 140+ sports, adds unparalleled versatility, making JACKBIT a standout in best crypto casinos. Craps JACKBIT offers digital craps with provably fair outcomes, delivering fast-paced dice action. The intuitive interface and customizable betting options make it accessible for beginners and seasoned UK players in new online casinos. Live Dealer Games With over 250 live dealer games from Evolution Gaming, Pragmatic Play, and Ezugi, JACKBIT provides immersive experiences in blackjack, roulette, baccarat, and game shows like Dream Catcher and Crazy Time. High-definition streaming, multi-camera angles, and professional dealers make it a highlight of the best crypto casinos. Poker Poker fans enjoy variants like Casino Hold'em, Caribbean Stud, Three Card Poker, and Texas Hold'em, with daily tournaments offering cash prizes and leaderboards. JACKBIT's poker offerings are a draw for strategic players in the best online casinos UK. Roulette From XXXtreme Lightning Roulette to classic European, American, and French variants, JACKBIT's roulette selection is diverse, with high RTPs (up to 97.3%) and sleek graphics in the best No KYC casinos. Features like auto-play and bet history enhance the experience. Blackjack Blackjack enthusiasts explore numerous variants, including live dealer tables with side bets (Perfect Pairs, 21+3) and multi-hand options. High RTPs (up to 99.5%) and strategic depth make it a favorite in Anonymous Online Casino. Slots With over 5,000 slot titles, including progressive jackpots (Mega Moolah), Megaways (Bonanza), and classic fruit machines, JACKBIT's best online pokies cater to all preferences. Popular titles like Tasty Bonanza, Rise of Olympus deliver thrilling gameplay with RTPs ranging from 95% to 98% in the best online casinos. 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Dash (DASH) : Enhanced privacy and speed, instant withdrawals. Stellar (XLM) : Low-cost cross-border payments, 1–3 minute processing. Cosmos (ATOM) : Interoperable blockchain, quick withdrawals. Fiat Payment Methods JACKBIT accommodates UK players preferring traditional methods, with secure and reliable options: Visa/MasterCard : Minimum deposit $20, instant deposits, withdrawals in 1–3 days. Apple Pay : Secure mobile payments, instant deposits, withdrawals in 1–2 days. Google Pay : Fast and convenient, instant deposits, withdrawals in 1–2 days. Bank Transfer : Minimum $50, ideal for larger transactions, deposits in 1–3 days, withdrawals in 3–5 days. Additional Payment Notes No Transaction Fees : JACKBIT charges zero fees for deposits or withdrawals, enhancing its appeal in the best crypto casinos. Currency Conversion : Fiat deposits in GBP are supported, with automatic conversion for crypto wallets if needed. Withdrawal Limits : Crypto withdrawals have no upper limit; fiat withdrawals cap at $10,000 per transaction for bank transfers. Large payouts may require verification, slightly delaying processing in best No KYC casino. UK Availability : All listed payment methods are confirmed available for UK players, per JACKBIT's terms and web research. These options ensure JACKBIT's versatility in best online casinos UK, catering to both crypto enthusiasts and traditional payment users. UK players should verify eligibility for fiat withdrawals due to regional banking restrictions. Customer Support JACKBIT's customer support is a pillar of its success in best online casinos UK. Available 24/7 via live chat in multiple languages (English, German, French, Spanish, Russian, etc.), the team resolves queries promptly, typically within 1–3 minutes. Email support ([email protected]) offers a reliable alternative for detailed inquiries, with responses within 12–24 hours. Social media channels (Twitter, Telegram) provide additional support and bonus updates, appealing to UK players in best crypto casinos. The Most Popular Payout Methods at Online New Zealand Casinos While the query mentions New Zealand, we focus on UK-relevant payout methods, as JACKBIT's systems align globally with slight regional variations. The most popular payout methods for UK players in best online casinos UK include: Bitcoin (BTC) : Fastest option, processed in 1–5 minutes, no fees. Tether (USDT) : Stablecoin for predictable payouts, instant processing. Solana (SOL) : High-speed, low-cost withdrawals, 1–3 minutes. Visa/MasterCard : Widely used for fiat withdrawals, 1–3 days, no fees. Bank Transfer : Secure for large withdrawals, 3–5 days, ideal for high rollers. Apple Pay : Growing in popularity for quick fiat payouts, 1–2 days. Crypto withdrawals dominate due to their speed and privacy, reinforcing JACKBIT's status in Pay ID Casino and best crypto casinos. Fiat withdrawals are reliable but slower, with occasional verification for sums exceeding $5,000, aligning with best No KYC Casino practices. Additional JACKBIT Features for UK Players Rakeback VIP Club JACKBIT's Rakeback VIP Club rewards UK players with bonus points based on their VIP level, redeemable for cash, free spins, or exclusive perks. Rakeback ranges from 10% to 30%, with higher tiers unlocking personalized offers, faster withdrawals, and dedicated account managers, making it a draw in best online casinos UK. Tournaments and Leaderboards JACKBIT hosts rewarding tournaments, including slots and live dealer challenges, with an attractive prize pool. Weekly leaderboards for sports betting and casino games offer cash prizes and free spins, enhancing engagement in best crypto casinos. Mobile Compatibility While lacking a dedicated app, JACKBIT's mobile-optimized website delivers seamless gameplay on iOS and Android devices. UK players can access all 7,000+ games, manage payments, and contact support on the go, rivaling New Online Casinos with native apps. Responsible Gambling Tools JACKBIT supports responsible gambling with tools like deposit limits, self-exclusion, and session time alerts. Links to GamCare and BeGambleAware are provided for UK players, reinforcing their credibility in best online casinos UK. Multilingual Platform Available in English, German, French, Spanish, Russian, and more, JACKBIT's platform caters to diverse UK players. The interface supports GBP currency display, ensuring a localized experience in best crypto casinos. JACKBIT Conclusion: The best Online Casino for UK Players JACKBIT Casino leads the best Online Casinos UK in 2025 with its no KYC policy, instant crypto withdrawals, and 7,000+ games. As a best No KYC Casino and anonymous online casino, it ensures privacy and security. With generous bonuses, 20+ cryptocurrencies, fiat options, and 24/7 support, JACKBIT offers UK players an unmatched gaming experience, from best online pokies to sports betting. Join now for thrilling, secure fun in best crypto casinos. ✔️CLICK HERE TO JOIN JACKBIT CASINO Frequently Asked Questions Does JACKBIT offer no KYC withdrawals? Yes, JACKBIT is a best No KYC Casino, allowing anonymous withdrawals. Large payouts (over $5,000) may require verification. How fast are withdrawals at JACKBIT? Crypto withdrawals are instant (1–5 minutes), while fiat withdrawals (Visa, bank transfer) take 1–5 days, a strength in the best crypto casinos. What games can I play at JACKBIT? JACKBIT offers 7,000+ games, including best online pokies, blackjack, roulette, poker, live dealer games, digital scratch cards, mini-games, and a sportsbook with 140+ sports. Email: ... Disclaimer General Disclaimer This content is for informational and entertainment purposes only. It does not constitute legal, financial, or professional advice. Information provided is based on public sources, research, and user feedback available at the time of writing. While we strive for accuracy, no guarantees, express or implied, are made regarding completeness or timeliness. Always verify details independently before making decisions. Use of this content is at your own risk. Casino & Gambling Disclaimer Online gambling involves financial risk and may not be suitable for everyone. Please ensure you meet the legal gambling age in your region before registering at any online casino. Laws vary by country and jurisdiction, and it's your responsibility to stay compliant. We do not promote or encourage gambling, and participation is entirely at the user's discretion. Affiliate Disclosure This article may include affiliate links. We may earn a commission if you sign up or make a purchase through them, at no extra cost to you. Our reviews are independent and unbiased. We only recommend platforms that we believe offer value, but we encourage users to do their research before engaging with any online casino. A photo accompanying this announcement is available at MENAFN07052025004107003653ID1109516334 Legal Disclaimer: MENAFN provides the information “as is” without warranty of any kind. We do not accept any responsibility or liability for the accuracy, content, images, videos, licenses, completeness, legality, or reliability of the information contained in this article. If you have any complaints or copyright issues related to this article, kindly contact the provider above.",
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      • "content": "( MENAFN - Trend News Agency) BAKU, Azerbaijan, May 7. Bulgaria's Energy andWater Regulatory Commission (EWRC) has approved a 14.22% reductionin natural gas prices for May, setting the new rate at 64.40 BGNper megawatt-hour (MWh), excluding transmission, access fees,excise, and VAT, Trend reports via the EWRC. The revised price reflects the full utilization of Azerbaijaninatural gas supplies delivered via the Bulgaria-GreeceInterconnector (IGB), under a long-term agreement withAzerbaijan. In addition to pipeline gas from Azerbaijan, state gas supplierBulgargaz has also secured liquefied natural gas (LNG) supplies forMay. These were acquired through an auction that set minimum priceand payment conditions, under existing contracts with internationaltrading partners. According to the EWRC, the total gas volumes secured aresufficient to meet Bulgargaz's commitments for the month, includingdeliveries to end-suppliers, district heating utilities, andindustrial clients under bilateral contracts. The IGB pipeline links Bulgaria to the Southern Gas Corridor andforms part of the Vertical Gas Corridor, enhancing energy securityand diversification in the region. Currently operating at 3 billioncubic meters per year (bcm/y), it has an expandable capacity of upto 5 bcm/y. The interconnector supplies about 70% of Bulgaria'sdomestic gas needs and also serves as a reliable route for gasdeliveries to Moldova and Ukraine. Follow the author on X: @Lyaman_Zeyn MENAFN07052025000187011040ID1109516325 Legal Disclaimer: MENAFN provides the information “as is” without warranty of any kind. We do not accept any responsibility or liability for the accuracy, content, images, videos, licenses, completeness, legality, or reliability of the information contained in this article. If you have any complaints or copyright issues related to this article, kindly contact the provider above.",
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      • "content": "( MENAFN - UkrinForm) Russian troops launched an attack on the town of Beryslav in the Kherson region, striking a school building. According to Ukrinform, the Kherson Regional Military Administration reported the shelling on Facebook. “This afternoon, Russian forces once again fired on Beryslav,” the statement read. Officials confirmed that six strikes were recorded in the city, with several shells hitting the school. Preliminary reports indicate that there were no casualties. Read also: Russian missile attack on Sumy : two children and a man killed, 11 injured Earlier, Ukrinform reported that in the village of Dudchany, within the Mylove community of the Kherson region, Russian forces used drones to attack a school. The building was completely destroyed by fire. MENAFN07052025000193011044ID1109516322 Legal Disclaimer: MENAFN provides the information “as is” without warranty of any kind. We do not accept any responsibility or liability for the accuracy, content, images, videos, licenses, completeness, legality, or reliability of the information contained in this article. If you have any complaints or copyright issues related to this article, kindly contact the provider above.",
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