French Polynesia News API

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The country paramter for the French Polynesia is PF.

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https://newsdata.io/api/1/sources?country=pf&apikey=YOUR_API_KEY

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Headlines from French Polynesia

https://newsdata.io/api/1/latest?country=pf&apikey=YOUR_API_KEY

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      • "description": "Tahiti Infos. 4,296 milliards de francs d'emprunts vont être contractés entre le Pays et l'Agence française de développement pour compléter le financement des Jeux du Pacific sud de 2027. Nos confrères de Radio 1 l’évoquaient en octobre de l’année dernière, c’est désormais chose faite. Le Président de la Polynésie française va conclure un accord-cadre Facilité multi-tranches auprès l'Agence française de développement (AFD), pour le financement partiel du programme de construction, de réhabilitation et de rénovation de divers équipements et installations sportives - Jeux du Pacifique Sud de 2027, apprend-t-on ce mercredi dans le Journal officiel. Cet accord-cadre ouvre une enveloppe maximale de crédit de 36 millions d’euros, soit 4,296 milliards de francs. La durée sera de 3 ans à compter de la date de signature de l'acte. L'enveloppe de crédit sera répartie en 3 tranches annuelles, à finaliser auprès de l'AFD. Chaque tranche fera l'objet d'un accord d'octroi de crédit de type « Prêt au secteur public Transition (PSP - T) » où figureront les caractéristiques financières. Des emprunts qui « assurent le financement de tous les travaux jusqu’à livraison complète des infrastructures dans des conditions de taux et de décaissement très favorables au Pays : taux bonifiés, délais de mobilisation longs, pas de commissions d’engagement et de dédit », précisait le gouvernement dans un « Focus sur les Jeux » présenté aux élus de Tarahoi, rappelait la radio. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 26 mars 2025 – Une quarantaine d’exposants et de nombreuses animations sont au programme du deuxième Papeete Market Street Hine, samedi 29 mars, à partir de 9 heures. L’association Papeete Centre-Ville organise la deuxième édition du Papeete Market Street Hine, samedi 29 mars, de 9 à 17 heures. En marge de la Journée internationale des droits des femmes, une quarantaine d’exposants prendront place entre la promenade de Nice, le front de mer et le quartier du commerce. Des démonstrations et des animations complèteront l’ensemble : initiation aux arts martiaux, réalisation de produits artisanaux (couronne de tête en more, bracelet et boucles d’oreilles en nacre et coquillages), maquillage pour petits et grands et bar à mono’i. Un volet prévention sera également proposé par Amazones Pacific. Les parkings Pomare et Tarahoi seront accessibles gratuitement. Plus d’infos sur la page Facebook PCV Papeete Centre-Ville. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 26 mars 2025 - En grève depuis huit jours, les agents de l’Apair Apurad ont déplacé leur mobilisation devant le siège de l’association à Paea, dénonçant l’absence de négociations réelles avec la direction depuis le début du conflit. La direction qui, elle, affirme que les grévistes bloqueraient les sorties des stocks, ce qui pourrait entraîner, dès demain soir, des ruptures potentielles d’approvisionnement en matériel de dialyse dans certains centres. En grève depuis huit jours, les agents de l’association Apair Apurad ont délaissé le piquet de grève devant les locaux de Mama’o pour se rassembler, ce mercredi matin, à Paea, devant le siège de leur maison mère. Un déplacement symbolique, destiné à rompre le silence qui entoure leur mobilisation. “À Mama’o, la direction et le conseil d’administration passaient devant nous sans même venir nous adresser un mot”, déplore Avearii Lachaux, déléguée syndicale de la CSTP-FO. Mais les négociations demeurent au point mort. “On ne peut même pas parler de négociations. Pour cela, il faut être deux”, lâche la syndicaliste. En toile de fond : l’absence du président de l’association, actuellement hors du territoire, selon les salariés mobilisés. Deux cadres seraient habilités et mandatés à le suppléer, affirment-ils, mais aucun ne semble disposé à prendre des décisions. “Ils ont la capacité juridique pour le faire, mais personne ne veut endosser cette responsabilité”, fustige Avearii Lachaux. Avant d’ajouter : “Ce n’est pas surprenant. Cela fait des années qu’on nous méprise et qu’on nous sous-estime. Mais aujourd’hui, c’est devenu visible de tous.” Pour rappel, les revendications restent inchangées. Les agents exigent une amélioration de leurs conditions de travail, qu’ils jugent “dégradées”. Ils dénoncent un taux de rotation du personnel devenu “incessant”, ainsi qu’une trop forte pression hiérarchique. À cela s’ajoute une demande de revalorisation salariale. Une revalorisation impossible Contactée, la direction de l’Apair Apurad assure avoir répondu favorablement à l’ensemble des revendications, à l’exception de celle portant sur une revalorisation salariale. “J’entends dire que nous refusons de prendre position, mais c’est faux : les positions sont prises. Nous en sommes à la troisième version d’un protocole d’accord”, affirme Frédérique Daviet, directrice des soins de l'association. Selon elle, l’association a proposé “solutions et améliorations sur tous les points de revendication”, à l’exception de l’augmentation salariale réclamée – une hausse de 6 % par an – jugée financièrement intenable. “Nous sommes déficitaires depuis deux ans. Si nous accédons à cette demande, c’est la cessation de paiement”, tranche-t-elle. L’Apair Apurad aurait enregistré une perte de 67 millions de francs l'an dernier, et de 91 millions en 2023. En cause, selon la direction : l’impact de l’inflation, conjugué à la non-augmentation du prix des forfaits de soins versés par la Caisse de prévoyance sociale (CPS). Par ailleurs, Frédérique Daviet pointe le “rôle contradictoire” de Patrick Galenon, secrétaire général de la CSTP-FO, syndicat à l’initiative du mouvement social, qui est également président du conseil d’administration... de la CPS. Rupture de stock pour les dialyses Une réunion entre représentants syndicaux et direction était pourtant prévue ce mercredi matin. Mais elle n’aura pas permis d’amorcer la moindre sortie de crise. “Ils nous ont présenté des choses inadmissibles”, affirme Avearii Lachaux. “On sent qu’ils ne prennent pas la gravité de la situation au sérieux. Ils nous prennent à la légère. C’est une crise aiguë.” Mais au-delà du bras de fer social, c’est désormais la continuité des soins qui pourrait être compromise. La direction alerte sur les conséquences directes de la grève sur les patients dialysés. D’après Frédérique Daviet, les grévistes, désormais regroupés devant le siège de Paea, bloqueraient les sorties des stocks, et donc des dispositifs médicaux indispensables aux traitements, notamment des dialyses. “C’est gravissime. Dès demain (jeudi, NDLR) soir, certains patients risquent de ne plus pouvoir être dialysés, notamment à Mahina. Et d’autres centres pourraient suivre dans les jours à venir”, prévient-elle. Un avertissement qui donne la mesure de la tension à l’Apair Apurad, où la crise semble s’enraciner. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 26 mars 2025 - Mardi, le premier comité de pilotage de la politique de l'eau de 2025 s'est réuni à la présidence de la Polynésie française. L'occasion de dresser le bilan 2024, de coordonner les futures stratégies d'action de gestion de cette ressource, et d'aborder les problématiques persistantes telle que la préservation des cours d'eau face à la pollution et l'incivilité. Ce mardi, à la présidence de la Polynésie française, s'est tenu le premier comité de pilotage (Copil) de la politique de l'eau pour l'année 2025. Composé entre autres de Jordy Chan, ministre des Grands travaux, Cédric Mercadal, ministre de la Santé, Raymond Voirin, maire de Faugatau et représentant des communes des Tuamotu, ainsi que des représentants du ministère des Finances, de l'Aménagement, de l'Aasemblée de Polynésie française, et du Cesec, ce premier Copil a été l'occasion de dresser un bilan de l'année passée puis de coordonner les prochaines stratégies pour une gestion durable et équitable de l'eau dans l'ensemble des archipels. Des stratégies articulées autour de trois grands axes : développer des services publics de l'eau axés sur la qualité de la ressource ; préserver durablement les fonctionnalités du grand cycle de l'eau ; et développer une gouvernance de l'eau adaptée. Des avancées concrètes Si le bilan de la politique sectorielle de l'eau s'articule autour de sujets tels que la gestion, la réglementation et le contrôle de cette ressource, ou même l'acquisition et la bancarisation de données, le Pays assure que pour l'année 2024 les voyants sont au vert : “Sur les 63 actions du plan 2021-2025, 84% sont en cours, 8% sont finalisées, et 8% restent à lancer”, expliquent les membres du Copil. Et parmi les réalisations structurantes qui ont été menées, le comité de pilotage souligne le soutien financier de 1,866 milliard de francs pour la reconstruction de l'émissaire de la STEP de Punaauia, et les 2,7 milliards mobilisés pour le développement de réseaux d'assainissement dans trois communes de Tahiti. Également présent, le représentant de l'Union européenne s'est dit satisfait du travail collaboratif réalisé jusqu'à ce jour et espère poursuivre ces chantiers via l'élaboration d'un nouveau plan d'actions 2026-2030. Pour rappel, la politique de l'eau bénéficie de l'appui financier combiné du Pays, de l'État et de l'Union européenne, avec un soutien budgétaire de 3,7 milliards de francs sur cinq ans, dont deux versements de 716 millions de francs ont déjà été perçues en 2023 et 2024. Un focus sur les rivières En revanche, si le Copil s'est effectivement dit enthousiaste quant aux différents résultats soulevés lors de ce rassemblement, ses membres se sont également penchés sur les problématiques persistantes, à l'exemple de celle des rivières. “Un débat relatif à la perception des rivières par la population s'en est suivi. Aux Tuamotu, l'eau est une denrée rare, aux Marquises, les rivières sont des lieux culturels de rencontre, dans l'agglomération de Papeete, elles sont perçues parfois comme des décharges à ciel ouvert”, constate le bilan du premier Copil de l'eau 2025. “Une optimisation des moyens de sensibilisation à la préservation des rivières sera poursuivie par l'identification de leviers d'évolution des mentalités afin de faire cesser les dépôts de déchets dans les rivières et les rejets d'eaux usées”, promet le comité. D'après communiqué Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti le 26 mars 2025. Le tirage au sort du vendredi 28 mars devrait entraîner un nombre record de grilles. 28,9 milliards de francs sont en jeu pour ce qui est à l’heure actuelle la plus grosse cagnotte jamais jouée. Lors du tirage précédent, mardi dernier, personne en Europe n’a trouvé les cinq numéros gagnants et les deux étoiles, alors que la somme promise atteignait déjà un chiffre très élevé. Depuis le premier tirage en 2004, le plus gros gagnant de l’histoire de l’EuroMillions avait validé sa grille en Autriche en 2023, empochant 240 millions d’euros. Le troisième plus gros gagnant de cette loterie européenne est un polynésien avec un ticket validé 2021 pour 220 millions d’euros (26 milliards de francs) À noter que si ce tirage reste sans grand gagnant, il serait remis en jeu pour un plafond de 29,8 milliards de francs mardi prochain. L’EuroMillions est jouable dans 13 pays de l’Union européenne. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 25 mars 2025 - La jeunesse protestante mā’ohi de Taha’a s’est donné rendez-vous tout le week-end dernier pour échanger, faire du sport ou encore pour louer Dieu au travers de chants et de danses. Trois cent-cinquante jeunes de Taha’a, issus des huit paroisses protestantes que compte l’île Vanille, se sont réunis le week-end dernier à Faaaha dans le cadre des rencontres de la jeunesse protestante. Celles-ci ont lieu deux fois par an, la première au mois de mars et la seconde en novembre. Le vice-président de l’Union chrétienne des jeunes gens (UCJG) de Taha’a, Hitimana Qui, explique que le programme de ces rencontres entre jeunes débute dès le vendredi soir avec “la levée des couleurs, puis on continue la soirée avec les études bibliques et chaque paroisse présente un spectacle en fonction du thème ou d'une question donnée en rapport toujours avec la Bible. La matinée du samedi est réservée uniquement aux jeunes de moins de 30 ans, où des activités sportives toujours en lien avec une écriture biblique sont organisées. Et le samedi soir, c’est la fête car chaque paroisse présente son spectacle.” Mais même si c’est la “fête” comme l’affirme Hitimana Qui, les choses sont quand même sérieuses car les prestations du samedi soir sont notées par un jury puisqu’il s’agit d’un concours. En novembre dernier, le thème choisi était le carnaval du monde et cette fois-ci, il s’agit du Hura Tapairu. Pour la préparation d'un spectacle, “il faut compter entre trois semaines et un mois. Les répétitions sont assez soutenues parce qu'on n'a pas droit à l'erreur et oui, quand on vient, c’est pour gagner, il ne faut pas oublier que c’est un concours”, explique le vice-président de l’UCJG de Taha’a. Ces rencontres permettent également de “faire bouger un peu notre jeunesse”, ajoute-t-il. “Notre rôle est de ramener la jeunesse au Christ” Pour ce rassemblement de la jeunesse protestante mā’ohi, la paroisse de Tiva, en sa qualité d’hôte, s’est occupée de l'organisation et de l’accueil des jeunes des autres paroisses participantes. “La paroisse qui nous accueille a en charge le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner de vendredi soir à dimanche midi. Généralement, on a du ragoût ou des lentilles, ce sont à peu près les mêmes plats qui reviennent, mais ce n’est pas le plus important”, assure Hitimana Qui. En effet, ce qui importe pour les responsables de la jeunesse, ce sont notamment “les échanges entre nos jeunes et surtout de ramener la jeunesse au Christ. C’est cela le plus important. Je suis vice-président du grand comité des huit paroisses et les questions qu’on nous posent sont : à quoi ces rencontres servent-elles et qu’est-ce qu’on fait là ? La réponse est simple : on est chrétien, ces rencontres ont un lien avec l’Église, et notre rôle est de ramener la jeunesse au Christ”. Ces rassemblements permettent également aux responsables de l’Union chrétienne des jeunes gens de Taha’a de sensibiliser et d’occuper les jeunes pour éviter qu’ils ne tombent dans l’oisiveté ou encore dans la drogue. “On a quand même aujourd'hui une jeunesse un peu dissipée donc on essaie de les contenir et les canalyser un peu. Surtout quand on sait que la jeunesse aujourd'hui fait un peu n'importe quoi et quand on se retrouve lors de week-ends comme celui-ci, j’ai l’impression que tout le monde fait un break de tout ce qu'on a l'habitude de faire. C'est l'occasion pour nous de se réunir, de prier ensemble et aussi de s'amuser ensemble”, assure le vice-président de l’UCJG, Hitimana Qui. Une chose le rassure, sur l’île Vanille, les paroisses sont toujours aussi remplies le dimanche. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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Avocat de Gaston Flosse, mais aussi avocat du territoire, François Quinquis mûrissait cette idée de livre depuis de longues années. Un jour, il a sauté le pas. “J’ai tout simplement commencé par son enfance à Mangareva et assez rapidement, on parle de ses conquêtes en politique”, explique-t-il. La mairie de Pirae, le prise du parti cédé par Rudy Bambridge et qui deviendra le Tahoera’a huiraatira, la présidence du Pays. “Je me suis surtout efforcé d’écrire sur ses principales réalisations, jusqu’à ses déboires avec la justice”, poursuit François Quinquis. “Il y a une certaine complicité qui s’est créée” Passer d’avocat du Vieux lion à son biographe est un cheminement peu commun, mais que l’homme assume pleinement. “Au bout de 30 ans de travail avec lui, il y a une certaine complicité qui s’est créée, mais pour autant, je ne suis pas sympathisant de tout ce qu’il a fait. Le statut d’État associé, je ne le comprends pas. Son rapprochement avec le FN, je ne l’ai pas supporté, et même les accords du 7/7/7 avec Oscar Temaru, je ne suis pas certain qu’il savait où il allait à l’époque.” La seule incartade que François Quinquis s’offrira en politique sera contre Gaston Flosse, avec Quito Braun Ortega en 1992. Paradoxalement, c’est aussi cette année-là qu’il commencera à travailler pour lui. “Il y avait la crise des dockers. On sortait d’une réunion entre les armateurs, le gouvernement et les hommes d’Église avec la présence de Monseigneur Michel Coppenrath. J’ai dû lui plaire à l’époque parce qu’il m’a sollicité ensuite.” “C’est un bouquin sur l’âge d’or de la Polynésie, entre 1991 et 2004. Une période de vraie stabilité, même s’il y a la reprise des essais et les émeutes en 1995, et même si Jean Juventin et Émile Vernaudon ont créé quelques turbulences”, se remémore-t-il. À cette époque, le Pays se remet effectivement des émeutes de 1987, qui couleront la présidence de Jacky Teuira. Alexandre Léontieff, “probablement le préféré de Gaston Flosse”, vient de prendre la main mais les deux ne s’entendront pas sur la suite et Gaston Flosse, à l’aide d’une motion de censure, arrivera au pouvoir, pour 13 ans. Un mandat long, trop long pour la population, et pour Gaston Flosse lui-même, qui paiera le tripatouillage de la loi électorale censée lui offrir sa consécration. La descente En 2004, tout s’arrête, et commencent les ennuis. “Déjà en 2001, mais surtout en 2004. Gaston Flosse s’était attiré beaucoup d’animosité”, se remémore l’avocat. Après la perte de la présidence, c’est son principal soutien et compagnon d’arme que perd Gaston Flosse après le départ de Jacques Chirac. Entrent alors en scène trois magistrats, et un tourbillon judiciaire dicté par les juges d’instruction Stelmach et Redonnet, et le procureur José Thorel. Trois noms que François Quinquis ne porte pas dans son cœur, et qu’il fait savoir dans son livre. L’avocat ne digérera jamais son placement sur écoute, pas plus que la perquisition à son cabinet “pour trouver des documents qu’il était très facile de trouver au registre du commerce”. “Une manœuvre purement intolérable, vexatoire” dirigée alors que l’affaire des annuaires de l’OPT bat son plein. La presse non plus n’est pas épargnée et surtout les deux journalistes du Monde, Fabrice Lhomme et Gérard Davet, auteurs du livre L’homme qui voulut être roi dressant le portrait de “monsieur 10%”. François Quinquis aborde cet aspect judiciaire dans son livre, l’affaire des annuaires, les sushis ou encore les emplois fictifs, le SED, etc. Autant de dossiers qui ont marqué le Fenua, et Gaston Flosse. Un dossier retient particulièrement son attention. Celui de la disparition de Jean-Pascal Couraud. “Certaines personnes ont manipulé la vérité pour mouiller Gaston Flosse”, est désormais convaincu l’avocat. “L’épreuve la plus dure qu’il ait subie, c’est celle-là. Son image a été dégradée depuis 1996 à cause de cette affaire alors même qu’il n’a jamais été entendu. Il n’y a strictement rien qui permette de remonter à Gaston Flosse dans cette disparition.” François Quinquis en est convaincu, “la Polynésie d’aujourd’hui, on la doit à Gaston Flosse. La participation financière de l’État après les essais, la PSG, l’hôpital, Air Tahiti Nui, c’est lui.” Lucide, il explique cependant que le Vieux lion n’a pas tout réussi. “Son plus gros échec, c’est la pêche avec Tahiti Nui Rava’i.” François Quinquis sera en dédicace ce samedi à la librairie Odyssey entre 9 h 30 et midi. Le mot de Gaston Flosse “Compagnons, mes chers amis, Me Quinquis a terminé l’écriture d’un essai intitulé Gaston Flosse, Chroniques d’un destin hors du commun. Comme vous le savez, Me Quinquis a été mon avocat conseil, mon ami pendant 30 ans et qui mieux que lui connaît ma vie, ma vie politique. Il raconte l’inanité de certains des ennuis judiciaires : les emplois fictifs, l’affaire des annuaires, etc. Il a également évoqué ma vie privée et je peux dire que l’ensemble du portrait dressé est fidèle à la réalité. La vente du livre au public commencera samedi 29 mars 2025 à 9 h 30 à Odyssey . Nous serons présents et ravis de vous accueillir. À samedi” Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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Avocat de Gaston Flosse, mais aussi avocat du territoire, François Quinquis mûrissait cette idée de livre depuis de longues années. Un jour, il a sauté le pas. “J’ai tout simplement commencé par son enfance à Mangareva et assez rapidement, on parle de ses conquêtes en politique” , explique-t-il. La mairie de Pirae, le prise du parti cédé par Rudy Bambridge et qui deviendra le Tahoera’a huiraatira, la présidence du Pays. “Je me suis surtout efforcé d’écrire sur ses principales réalisations, jusqu’à ses déboires avec la justice” , poursuit François Quinquis. Passer d’avocat du Vieux lion à son biographe est un cheminement peu commun, mais que l’homme assume pleinement. “Au bout de 30 ans de travail avec lui, il y a une certaine complicité qui s’est créée, mais pour autant, je ne suis pas sympathisant de tout ce qu’il a fait. Le statut d’État associé, je ne le comprends pas. 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Un concours de renom Initié par les Disciples Escoffier dans une démarche d’accompagnement, de transmission et d’échange, le concours international Jeunes talents Escoffier compte parmi les grands rendez-vous de la gastronomie. Il est ouvert aux jeunes jusqu’à 25 ans qui s’inscrivent en binôme, l’un à la cuisine et l’autre au service. En 2020, le concours est devenu le Championnat de France Jeunes talents Escoffier au niveau national. La toute première délégation des Disciples d’Escoffier à Tahiti a vu le jour en 2021 grâce à Christian Fréchède. Cet ancien professeur au lycée hôtelier, lui-même disciple d’Escoffier dans une délégation métropolitaine, l’a lancée avec deux autres professeurs. Depuis, des Polynésiens peuvent entrer dans la course des Jeunes talents Escoffier. Leur sélection et leur préparation ont lieu à l’École hôtelière. Le binôme sélectionné participe ensuite aux épreuves régionales Asie-Pacifique (à Singapour en octobre 2025) qui donnent enfin accès à la finale internationale (2026 à Paris). Tremplin Une première sélection d’étudiants polynésiens a eu lieu en 2022. Thomas Teikitohe s’était illustré dans l’art du service de table. Il avait remporté la compétition Asie-Pacifique et était arrivé 4e à Paris. C’est Audrey Ruiz qui l’avait coaché. Thomas Teikitohe poursuit aujourd’hui ses études en France, à Montpellier, dans un établissement de renom (maison Pourcel). “Sa carrière est lancée”, se réjouit Audrey Ruiz. Le concours Escoffier a été un tremplin. Deux binômes en lice Pour les candidats 2025, tout a commencé avec l’inscription et la préparation d’un dossier de sélection. En plus d’une présentation, d’une photo, d’une description de ce qu’Escoffier représente pour eux, ils ont eu à rédiger une fiche technique de ce qu’ils souhaitaient présenter : amuse-bouche, entrée, plat, fromage, dessert. Le menu devait illustrer le thème “Terre et Mer”, se décliner en tartare de thon, chartreuse, volaille farcie avec deux garnitures incluant obligatoirement du ‘uru et du pota, et crêpe Suzette. “Sur cette base, les candidats avaient tout le loisir de revisiter les recettes en intégrant notamment des produits locaux”, précise Pierre Lecorme, le président de l’association Escoffier en Polynésie. Au départ, dix binômes potentiels ont été listés, cinq dossiers ont été retenus. La préparation technique, physique et mentale a démarré. Elle s’est faite en dehors des temps scolaires, à raison de 15 heures par semaine. “Le rythme était intense”, reconnaît Audrey Ruiz. Deux binômes ont d’ailleurs baissé les bras. “Je les pousse à l’excellence, sachant ce qui nous attend à Paris. Je cherche à faire ressortir leur personnalité à travers leur art.” Un troisième binôme a également dû s’arrêter ; l’un des élèves ayant été récemment fauché par une voiture. “On a tout fait pour qu’il puisse participer malgré tout, on a repoussé les épreuves de sélection au maximum”, indique Pierre Lecorme. “Malheureusement, aux dernières nouvelles, il ne pourra pas reprendre avant au moins deux mois. Ni lui, ni son binôme ne peuvent saisir leur chance”, regrette-t-il. Mardi matin, deux binômes se sont donc présentés. Motivés, ils ont tout donné pendant les 5 heures d’épreuves (cuisine et service compris). Les membres du jury ont scruté les moindres détails. La sélection a été âpre. “Quand je repense à tout ce qu’ils ont déjà donné pour cette première sélection”, a commenté Audrey Ruiz. Ce sont finalement Poerava Temakeu et Aanoa Herman qui ont été retenus. Audrey Ruiz fixe désormais les prochaines étapes. Au-delà des épreuves régionales, elle s’imagine à Paris. “Cette fois, on ramènera une médaille de Paris”, promet-elle. La préparation reprendra dès la parution du thème et du menu des épreuves à Singapour. “D’ici deux mois je pense.” “On sort de sa zone de confort” Mardi matin, il comptait parmi les trois membres du jury technique côté cuisine. Le professionnel Nicolas Rutard a lui-même participé à de nombreux concours. “C’est vraiment difficile, on sort de sa zone de confort.” Malgré la préparation “technique, mais aussi physique et mentale”, les gestes maintes fois répétés, les recettes maîtrisées, “avec le stress, la chaleur, on peut perdre ses moyens”. Pour les candidats, c’est une course contre la montre balisée par de nombreuses contraintes “tandis que nous, jury, on leur tourne autour comme des mouches”. En cuisine, comme en service, “il y a beaucoup de choses à gérer”. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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Au-delà des épreuves régionales, elle s’imagine à Paris. “ Cette fois, on ramènera une médaille de Paris ”, promet-elle. La préparation reprendra dès la parution du thème et du menu des épreuves à Singapour. “ D’ici deux mois je pense. ” “On sort de sa zone de confort” Mardi matin, il comptait parmi les trois membres du jury technique côté cuisine. Le professionnel Nicolas Rutard a lui-même participé à de nombreux concours. “ C’est vraiment difficile, on sort de sa zone de confort. ” Malgré la préparation “technique, mais aussi physique et mentale”, les gestes maintes fois répétés, les recettes maîtrisées, “ avec le stress, la chaleur, on peut perdre ses moyens ”. Pour les candidats, c’est une course contre la montre balisée par de nombreuses contraintes “ tandis que nous, jury, on leur tourne autour comme des mouches ”. En cuisine, comme en service, “ il y a beaucoup de choses à gérer ”.",
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Le chef de la police municipale les a plongés dans le vif du sujet, passant en revue les stupéfiants en circulation à Tahiti et dans la commune avec leurs conséquences sur la santé, ainsi que les risques judiciaires encourus en tant qu’auteur ou complice de ce type d’infraction. La police municipale en première ligne “La situation empire, malheureusement, donc j’ai voulu les faire réagir. Le but, ce n’est pas de leur faire peur, mais de leur montrer le bon chemin et les bonnes pratiques. S’engager sur le chemin de la drogue et de l’argent facile, ça a des conséquences, d’autant qu’il n’y a plus d’impunité pour les mineurs. Dans notre société mā’ohi où la famille est très importante, nos actes engagent aussi les parents et les amis. Parler, ce n’est pas dénoncer, c’est aider, mais il faut le faire proprement, pas sur Facebook. À l’adolescence, on veut faire comme les autres, mais consommer de la drogue, c’est un mauvais rite de passage”, prévient le représentant de la brigade, déterminé à provoquer une prise de conscience chez les futurs lycéens. Au-delà de gâcher sa vie, on risque aussi de la perdre : ces derniers mois, la commune a enregistré huit décès sur la route, “tous positifs”. Le maire de Teva i Uta s’est également adressé à ces jeunes de 14 ans, dans la continuité de la réunion publique du 27 février pour la prévention et la lutte contre les stupéfiants destinée à un public adulte. “Nous sommes toujours dans le cadre de notre projet de CLSPD, le Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance que nous avons nommé Teva i Uta ‘Aihau. Nous avons constaté, comme ailleurs, des débuts de trafic et des intrusions dans la vie du collège. Ces faits qui remontent à quelques semaines nous ont choqués. Je félicite la CPE et la principale du collège qui ont proposé cette initiative. Dans les regards ce matin, j’ai vu des enfants qui ont envie de bien faire et de réussir leur scolarité”, confie Tearii Alpha. ​Confiance et écoute Dans cette optique, les élèves ont été vivement encouragés à parler à des adultes référents quand un signalement s’impose. La journée s’est d’ailleurs poursuivie sous forme de groupes de parole animés par des professeurs, des adjoints d’éducation, une assistante sociale et une infirmière, non sans émotion. “Ça a marqué les éducateurs, les parents et les élèves. Ça s’est ressenti sur la classe dont l’élève a été exclu avec des comportements délétères ou d’épuisement, et des difficultés à se positionner par rapport à ce qui s’est passé”, souligne Anne-Yvonne Germé, conseillère principale d’éducation au collège Tinomana Ebb. “En écho aux précédentes interventions à la mairie, on veut libérer et légitimer la parole. Dire, ce n’est pas trahir, c’est aider et trouver des solutions. On veut retrouver un climat favorable à l’apprentissage. On a besoin de tous nos partenaires, que ce soit la mairie ou les parents. Ce travail de prévention est essentiel, aussi pour que les élèves aient confiance en leurs éducateurs : nous sommes là pour les écouter et les accompagner”. Après un déjeuner en commun, la journée s’est achevée sur une note “positive et ludique” avec une partie de volley-ball, sport collectif par excellence pour tisser des liens. Cette initiative devrait être dupliquée aux quatre autres classes de 3e de l’établissement et pourrait en inspirer d’autres, toutes les communes étant concernées. La parole à un élève “Cette journée nous pousse à réfléchir. Je pense que c’est une bonne initiative par rapport aux dangers des drogues et de la délinquance, tout ce qui se passe de mal. Ça m’arrive de voir des jeunes qui fument au bord de la route... Pour moi, ils gâchent leur vie à faire ça. Ça ne va pas les amener vers le haut, au contraire. Ils n’ont aucun but. Consommer ou vendre de la drogue, ça peut conduire en prison et c’est terrible pour la famille. Mes parents, c’est clair : ils sont contre les drogues. Je me sens capable de dire à des collègues que ce n’est pas bien ce qu’ils font si jamais ça arrive, mais je pense que j’hésiterai à dénoncer, car j’aurais peur des conséquences pour moi et pour la personne concernée”. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 25 mars 2025 - Les employés de la Banque de Polynésie ont massivement débrayé ce mardi, en entamant une grève. En toile de fond, une protestation contre un projet de réorganisation vers la Nouvelle-Calédonie. Selon les syndicats, 75% des salariés auraient suivis le mouvement social. La BP a, elle, annoncé la fermeture de toutes ses agences jusqu'à nouvel ordre. Au siège de la Banque de Polynésie, ce mardi matin, les rideaux métalliques n’ont pas eu besoin d’être baissés. C’est de l’intérieur que la grève s’est imposée. Rassemblés la veille en assemblée générale, les salariés ont décidé de cesser le travail, en réponse à ce qu’ils dénoncent comme une double attaque : contre leur emploi, et contre l’ancrage polynésien de leur établissement. “Aujourd'hui, on à trois quarts de l'effectif en grève”, confie Moea Parrino, délégué syndicale Otahi. “On va parler de déception, de colère et de ras le bol général. C'est ce qui nous a fait entrer en grève, pour qu'on puisse se faire entendre, car nous ne sommes pas écoutés.” Depuis le dépôt du préavis, mardi dernier, seulement trois réunions ont eu lieu avec la direction, selon les syndicats. Refus de suspendre la réorganisation, refus d’aborder le rattrapage du pouvoir d’achat, refus de négocier sur la pérennité des postes en Polynésie : la direction est restée campée sur sa ligne. “Ils ont écartés la majorité de nos points qu'on a demandé. On ne peut même pas parler de proposition de leur part. On est donc présents pour montrer notre mécontentement.” Les salariés sont actuellement dans l'attente d'une nouvelle proposition de rencontre avec la direction afin de poursuivre les négociations. Contre la réorganisation Depuis l’annonce en 2022 par la Société Générale – maison mère de la Banque de Polynésie – d’un projet de rapprochement informatique entre la Banque de Polynésie (BP) et sa cousine calédonienne, la Société Générale de Nouvelle-Calédonie (SGNC), les inquiétudes n’ont cessé d’enfler. Officiellement, il s’agissait d’un simple projet de mutualisation des outils numériques. Mais pour les personnels polynésiens, les apparences sont trompeuses. “Au départ, cela avait du sens, mais à partir du moment où on réduit la voilure du côté de la BP, on se retourne”, souligne Moea Faatau, délégué syndicale A Tia I Mua. D'autant qu'à mesure que les directions fonctionnelles s’éloignent de Papeete pour se concentrer dans le giron calédonien, les conséquences s’annoncent lourdes : suppressions de postes, perte d’autonomie stratégique, appauvrissement de l’expertise locale. “17 postes seraient impactés en Polynésie contre deux en Nouvelle-Calédonie [...]. On est les grands perdants”, s’indigne, amère, la représentante A Tia I Mua. Enjeu de souveraineté locale Au-delà de la défense des conditions de travail, ce conflit met en lumière un enjeu plus large : celui de la souveraineté économique et décisionnelle de la filiale polynésienne. Le transfert de fonctions-clés vers Nouméa est perçu comme une dépossession insidieuse, au détriment de l’autonomie locale. “Nous, tout ce qu'on demande, c'est de garder un équilibre avec les compétences de chacun. Ce sont deux filiales à part entière, c'est dans cet esprit que l'on veut poursuivre”, explique Moea Parrino, qui estime, de plus que cette réorganisation n'a rien de logique, au vu du climat politique instable qui a secoué la Nouvelle-Calédonie, ces derniers mois. “C'est l'inverse du bon sens. Nous avons ici un climat serein et enviable.” Un questionnement auquel la direction ne leur a, selon leurs déclarations, apporté aucune réponse. “On a demandé des chiffres. Quel gain ça pourrait leur rapporter, mais pas de réponse concrète... On est des banquiers, on sait calculer [...]. Il y a une rétention d'information.” Les regards sont désormais tournés vers la reprise des négociations avec la direction. Malgré nos tentatives, nous n’avons réussi à joindre personne de la direction de la Banque de Polynésie. L'ensemble des agences fermées Dans un communiqué, la Banque de Polynésie informe que l'ensemble des agences, pôles d'expertises (Espaces professionnel et patrimonial), ainsi que son centre d'appels, sont fermés en raison du mouvement social. Il invite les usagers à réaliser leurs opérations bancaires via les services de banque à distance Polyweb & Polyapp. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti le 25 mars 2025. La Chambre territoriale des comptes a tenté de mener une enquête sur la gestion de la commune de Ua Huka. Elle s’est retrouvée confrontée à des archives partielles, un système administratif défaillant, nimbé d’une petite couche de mauvaise volonté des élus. La Chambre territoriale des comptes s’est penchée ce deux dernières années sur la gestion de la commune de Ua Huka. Un contrôle rendu très difficile \"du fait des manques de la commune de Ua Huka à ne conduire qu’en partie le contrôle des comptes et de la gestion de celle-ci\", explique la CTC dans la synthèse de son rapport. En effet, la Chambre dans son contrôle a été constamment entravée dans son travail \"par la quasi absence de production des pièces de la part des services de la commune. Le taux de réponse constaté in fine n’est en effet que de 7 %.\" Rarement contrôle s’est avéré aussi compliqué et la commune gérée par Nestor Ohu n’a pas brillé par sa capacité à collaborer. \"Le profil des documents demandés et les délais impartis sont pourtant adaptés à ce type de collectivité\" note la CTC. Des exemples ont alors été envoyés pèle-mêle. \"Incapacité des services à transmettre les documents sollicités\", \"défaut de sauvegarde des documents\", \"perte de ces documents\", etc. De surcroit, les PV de conseils municipaux n’ont jamais été rédigés. Des excuses difficiles à avaler pour la CTC puisque le contrôle a permis de mettre à jour un système informatique renouvelé en 2019, comprenant des dispositifs de sauvegarde des fichiers qui sont opérationnels, sans aucun rapport d’incident technique. Ne restait alors qu’une conclusion : \"Une volonté dissimulée de ne pas transmettre les documents ne peut être totalement exclue\" afin \"de ne pas communiquer à la Chambre les pièces dans un but de dissimulation d'erreurs ou d’irrégularités.\" Cependant, dans ce contexte de travail rendu très compliqué, la Chambre est malgré tout allée au coeur de la gestion de la commune, avec les données qu’elle pourrait trouver. \"Les quelques éléments portés à la connaissance de l’équipe de contrôle indiquent après examen que l’organisation et la gestion internes sont lacunaires au-delà de la seule gestion documentaire : une fiabilité des comptes à revoir, des registres des actes administratifs non tenus alors que cela est rendu obligatoire par la loi, et des approximations dans le pilotage de la compétence eau potable », explique le rapport rendu public hier. De plus, « la situation financière est à surveiller, même si l’expertise réalisée est restreinte, l’absence de documents empêchant de contextualiser les données et la fiabilité incertaine réduisant la portée de ce type d’analyse. » Les recommandations - Démarrer dès à présent la production et l’archivage systématique, des pièces administratives de la commune. - Dès 2025, mettre en place un inventaire communal. - Adopter, conformément à la loi, en 2025, un schéma directeur de l’eau potable. - Engager dès son adoption les investissements tels que prévus dans le schéma directeur de l’eau potable. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti le 25 mars 2025. La directrice de la Direction de la santé, Romina Ma, est déjà sur le départ après 7 mois en fonction. A peine arrivée à la CPS que Romina Ma en démissionnait déjà. Un passage de quelques mois seulement avant de prendre la Direction de la santé en aout 2024. Un poste par intérim, renouvelé le 14 février dernier après publication au Journal officiel d’un étranger arrêté ne la nommant que du 17 février 2025 au 30 avril 2025 inclus. Mais l’aventure se termine déjà pour elle. Selon nos informations, le jour même de la prolongation de ce contrat, le ministère de la Santé aurait stipulé à Romina Ma sa fin de fonction à venir. Plusieurs noms circulent déjà pour la remplacer à la Direction de la Santé, comme le docteur Spaak, actuel directeur de l’hôpital de Moorea, ou encore Maeva Wong Fat, néphrologue et présidente de l’APEE (Association Polynésienne de l'éducation thérapeutique) de Polynésie. Ce nouveau jeu de chaises musicales à la Direction de la santé place un quatrième directeur à la tête de l'établissement en seulement 3 ans. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti le 24 mars 2025 – La Direction du travail est intervenue comme médiateur dans le conflit entre l’association Apair Apurad et la CSTP-FO qui déplore que “les discussions tournent en rond”. De son côté la direction assure que la revalorisation salariale est “légitime”. Elle ajoute que l’association a un déficit de 158 millions de francs : “Si ça continue on va tous couler”. La direction de l’association Apair-Apurad ainsi que les représentants de la CSTP-FO se sont retrouvés ce lundi matin à la Direction du travail. Le service public est intervenu en tant que médiateur dans ce conflit. “Au départ on ne comprenait pas la demande de médiation puisque les débats se sont toujours passés de manière très cordiales et respectueuses” a assuré la déléguée syndicale CSTP-FO, Avearii Lachaux. Elle souligne que cela a encore été le cas ce lundi matin mais qu’il n’y ait pas eu “d’avancées concrètes”. La déléguée syndicale regrette que “le principal interlocuteur” de l’association, le docteur Grégory Detrun, soit “hors territoire”. Conséquence, selon elle : “Les discussions tournent en rond (...). Nous n’avançons pas car les mandataires ne peuvent pas prendre de décisions. Ils reçoivent leurs directives du président de l’association.” Avearii Lachaux assure que tous les points de revendication sont “tout aussi importants” que celui concernant la revendication salariale et explique que “tout se recoupe finalement : souffrance au travail, harcèlement, risques psycho-sociaux”. D’autant qu’à ce jour “aucune mesure concrète” n’a, selon elle, été mise en place pour “faire face à ces problématiques” anciennes. Si la direction découvre cette situation de souffrance au travail, la déléguée syndicale se dit “étonnée” : “C’est malheureux quand même car des signalements ont été émis, des autorités ont été saisies.” Quant à une revalorisation salariale, il a été indiqué à Avearii Lachaux par la direction qu’une telle décision relevait du conseil d’administration de Apair-Apurad. Déficit de 158 millions La directrice des soins, Frédérique Davier, explique que les comptes sont contrôlés par un commissaire au compte et que “tout est transparent” : l’association est structurellement “déficitaire” depuis deux ans et fait face à un trou de 158 millions de francs, lié, selon elle, au “refus de la Caisse de prévoyance sociale de revaloriser les forfaits de dialyses.” Les prestations de soins à domicile ont été revues à la baisse “par deux fois”, indique-t-elle aussi. Dans ce contexte, rappelle-t-elle, les salariés ont bénéficié l’an dernier “d’une prime d’engagement, on a doublé leur ancienneté. Une prime décentralisée est versée à tous les salariés qui représente les deux tiers de notre salaire (...). Si cela continue on va tous couler.” Frédérique Davier assure aussi que les demandes des salariés, notamment la revalorisation salariale est “légitime. L’inflation ils le vivent de plein fouet. L’association aussi la subit de plein fouet”. Elle explique que l’association Apair-Apurad a subi des “augmentations de 8 à 10% sur tout ce qui est dispositifs médicaux”. Elle affirme avoir pris les devants en vain auprès du Pays pour permettre une revalorisation salariale des infirmiers collaborateurs. “Si je n’ai pas d’infirmiers, on ferme. J’ai beau leur expliquer notre problématique ; ils ne nous entendent pas”. La représentante de la direction assure enfin, concernant les grévistes, que la direction “leur a tout donné le deuxième jour de grève. Et le syndicat passe cela sous silence comme si on bloquait”. Une nouvelle rencontre doit avoir lieu mercredi entre la direction et le syndicat. Les “allégations diffamatoires et mensongères” de la CSTP-FO Le collectif infirmier de l’association Apair-Apurad a tenu à rectifier, au travers d’un communiqué de presse, les “allégations diffamatoires et mensongères” de la CSTP-FO relatives à “une augmentation de salaire au seul bénéfice des infirmiers”. Selon le collectif, cette information est “erronée”. Il déplore ainsi les propos mensongers du syndicat concernant les “disparités salariales”. Le collectif rappelle que les infirmiers ont un niveau d’études qui est reconnu depuis 2019 dans les pays ou territoires français sauf au Fenua. Il souligne que l’association “a pris les devants sur la loi du Pays à sortir et a choisi de prendre en compte le Bac+3 des infirmiers dès l’année dernière”, et ce pour être “plus concurrentielle” car ces derniers “se détournaient” de l’association vers d’autres établissements qui avaient déjà, selon le collectif, “agi sur la rémunération des infirmiers”. Une concurrence “accrue” avec notamment le passage des infirmiers fonctionnaires territoriaux en catégorie A. Selon le collectif, la déléguée syndicale “connait parfaitement” ce dossier pour avoir été associée en tant que membre du comité d’entreprise et cadre de l’association. Le collectif regrette que c’est “sans soutien de sa part” que les infirmiers ont “pu faire reconnaître à sa juste valeur leur niveau d’étude après tant d’années” avec le soutien de “la seule confédération syndicale Otahi”. Au travers de ce communiqué, les infirmiers espèrent que “le clivage social cesse”, et regrettent avoir “ni été consultés, ni informés”. C’est la raison pour laquelle ils n’ont pas adhéré au mouvement de grève. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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La déléguée syndicale regrette que “le principal interlocuteur” de l’association, le docteur Grégory Detrun, soit “hors territoire” . Conséquence, selon elle : “Les discussions tournent en rond (...). Nous n’avançons pas car les mandataires ne peuvent pas prendre de décisions. Ils reçoivent leurs directives du président de l’association .” Avearii Lachaux assure que tous les points de revendication sont “tout aussi importants” que celui concernant la revendication salariale et explique que “tout se recoupe finalement : souffrance au travail, harcèlement, risques psycho-sociaux”. D’autant qu’à ce jour “aucune mesure concrète” n’a, selon elle, été mise en place pour “ faire face à ces problématiques” anciennes . Si la direction découvre cette situation de souffrance au travail, la déléguée syndicale se dit “étonnée” : “ C’est malheureux quand même car des signalements ont été émis, des autorités ont été saisies .” Quant à une revalorisation salariale, il a été indiqué à Avearii Lachaux par la direction qu’une telle décision relevait du conseil d’administration de Apair-Apurad. La directrice des soins, Frédérique Davier, explique que les comptes sont contrôlés par un commissaire au compte et que “tout est transparent” : l’association est structurellement “déficitaire” depuis deux ans et fait face à un trou de 158 millions de francs, lié, selon elle, au “ refus de la Caisse de prévoyance sociale de revaloriser les forfaits de dialyses .” Les prestations de soins à domicile ont été revues à la baisse “par deux fois”, indique-t-elle aussi. Dans ce contexte, rappelle-t-elle, les salariés ont bénéficié l’an dernier “d’une prime d’engagement, on a doublé leur ancienneté. Une prime décentralisée est versée à tous les salariés qui représente les deux tiers de notre salaire (...). Si cela continue on va tous couler.” Frédérique Davier assure aussi que les demandes des salariés, notamment la revalorisation salariale est “légitime. L’inflation ils le vivent de plein fouet. L’association aussi la subit de plein fouet” . Elle explique que l’association Apair-Apurad a subi des “augmentations de 8 à 10% sur tout ce qui est dispositifs médicaux”. Elle affirme avoir pris les devants en vain auprès du Pays pour permettre une revalorisation salariale des infirmiers collaborateurs. “Si je n’ai pas d’infirmiers, on ferme. J’ai beau leur expliquer notre problématique ; ils ne nous entendent pas” . La représentante de la direction assure enfin, concernant les grévistes, que la direction “leur a tout donné le deuxième jour de grève. Et le syndicat passe cela sous silence comme si on bloquait”. Une nouvelle rencontre doit avoir lieu mercredi entre la direction et le syndicat. Le collectif infirmier de l’association Apair-Apurad a tenu à rectifier, au travers d’un communiqué de presse, les “allégations diffamatoires et mensongères” de la CSTP-FO relatives à “une augmentation de salaire au seul bénéfice des infirmiers” . Selon le collectif, cette information est “erronée” . Il déplore ainsi les propos mensongers du syndicat concernant les “disparités salariales”. Le collectif rappelle que les infirmiers ont un niveau d’études qui est reconnu depuis 2019 dans les pays ou territoires français sauf au Fenua. Il souligne que l’association “a pris les devants sur la loi du Pays à sortir et a choisi de prendre en compte le Bac+3 des infirmiers dès l’année dernière” , et ce pour être “plus concurrentielle” car ces derniers “se détournaient” de l’association vers d’autres établissements qui avaient déjà, selon le collectif, “agi sur la rémunération des infirmiers” . 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      • "description": "Moorea, le 24 mars 2025 - Un nouvel appel d’offres relatif au transport scolaire par voie terrestre à Moorea a été lancé le 12 mars dernier. “C’est la première fois qu’un appel d’offres est reporté autant de fois (...) et surtout on ne connait pas les raisons”, confie Xavier Chung Sao de RCTC. Les candidats regrettent également d’avoir appris le nouvel appel d’offres en scrutant le Journal officiel. “Je ne sais pas quelle est la stratégie du gouvernement.” En janvier 2024, le ministre de l’Éducation Ronny Teriipaia avait annoncé à Tahiti Infos qu’un appel d’offres relatif à la délégation de service public du transport scolaire terrestre à Moorea allait être lancé en février 2024 pour les dix prochaines années. Il avait également assuré que cela allait être en vigueur à la rentrée 2024. Mais plus d’un an plus tard, on en est toujours au même point. Rien de ce que le ministre de l’Éducation avait annoncé n’a été fait. Plusieurs appels d’offres se sont succédé depuis sans qu’aucun résultat et surtout sans que les candidats ne soient tenus informés du résultat. Le directeur de production de RTCT (Tere Tahiti) Xavier Chung Sao, candidat à ces différents appels d’offres, se dit “étonné de la procédure car cela prend beaucoup de temps et à chaque fois, c’est reporté ou repoussé et surtout, on ne connait pas les raisons, du coup on est étonné. Normalement, si le marché ne va pas au bout, on doit quand même être informé du pourquoi le marché n’est plus bon. On est dans le flou car on n’a pas d’éléments du tout.” Des reports incessants Le directeur de production de RTCT Xavier Chung Sao assure que “c’est la première fois qu’un appel d’offres relatif au transport scolaire est reporté autant de fois. C’est une situation inédite, on est navré pour la population de Moorea.” Il regrette également de ne pas avoir de nouvelles quant aux précédents appels d’offres. “On a déposé un dossier à chaque appel d’offres et on n’a eu aucune réponse pour nous dire si on a été retenu ou pas ni si le marché a été déclaré infructueux ou pas. On découvre dans le Journal officiel qu’il y a un nouvel appel d’offres pour toujours le même marché.” Xavier Chung Sao affirme même être inquiet de la situation et s’interroge : “Je ne sais pas quelle est la stratégie du gouvernement”. Mais qu’importe, il assure avoir répondu à tous les appels d’offres relatifs à la délégation de service public du transport scolaire terrestre à Moorea. “On est prêt à travailler pour améliorer la situation”, dit-il. Autre inquiétude du directeur de production de RTCT, c’est qu’à chaque fois qu’il répond aux appels d’offres relatifs à la délégation de service public du transport scolaire terrestre à Moorea, “on donne notre analyse technique selon notre expérience. On espère que ces éléments, une fois les dossiers ouverts et dépouillés, ne vont pas être divulgués à d’autres personnes et que cela restera confidentiel. Et que cela ne va pas profiter à d’autres personnes.” Il a une nouvelle fois retiré le dossier d’appel à candidatures et est actuellement en train de l’examiner, “même si le délai est quand même assez court”. En effet, les candidats ont à peine trois semaines pour constituer leur dossier puisque l’offre a été publiée au Journal officiel le 12 mars dernier et la date limite de remise des candidatures a été fixée au 31 mars à 15 h 30. Contactée, Juliana Ruta, l’une des autres candidats, n’a pas souhaité s’exprimer. Le président de la commission de l’éducation à l’assemblée, Heinui Le Caill, tout comme le transporteur Warren Guilloux, qui assure depuis janvier 2024 le service public du transport scolaire par voie terrestre de Moorea, n’ont pas répondu à nos différents appels. Au bureau de Warren Guilloux à Ra’iatea, on nous a même assuré que ce dernier n’est pas disponible pour une interview car “il travaille avec les touristes, il fait des navettes”. Quant au ministre de l’Éducation Ronny Teriipaia, il a donné un avis “défavorable” pour une interview avec la Direction générale de l’éducation et des enseignements (DGEE) ainsi qu’avec lui. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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