French Polynesia News API

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The country paramter for the French Polynesia is PF.

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https://newsdata.io/api/1/sources?country=pf&apikey=YOUR_API_KEY

Some of the well known sources

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Headlines from French Polynesia

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      • "description": "Tahiti, le 11 mai 2025 – Quinze médecins de la Presqu’île ont co-signé un courrier adressé le mois dernier au président de la Polynésie française et au ministre de la Santé. Ils y plaident la nécessité d’un renforcement de l’offre hospitalière à Taravao. Un “projet d’intérêt public” qu’ils souhaitent soutenir “activement”, au même titre que la communauté de communes Terehēamanu. Avec des plans dans les cartons depuis de nombreuses années, le projet de nouvel hôpital au sud de Tahiti peine à se concrétiser. Dans un courrier adressé au mois d’avril au président de la Polynésie française, Moetai Brotherson, et au ministre de la Santé, Cédric Mercadal, quinze médecins libéraux et du service public soulignent qu’il “devient indispensable d’envisager une modernisation profonde ou la construction d’un nouvel établissement hospitalier structurant pour notre région”. Prêts à “soutenir activement ce projet d’intérêt public” et à participer à la “constitution d’un comité de pilotage intercommunal et interinstitutionnel”, les professionnels de santé listent cinq priorités : un service d’urgences performant accessible 24h/24 ; une maternité de proximité pour répondre aux besoins des familles ; un plateau technique moderne (imagerie, blocs opératoires, chimiothérapie) ; une unité de télémédecine en lien avec le centre hospitalier de la Polynésie française (CHPF) ; et une capacité d’hospitalisation adaptée aux besoins avec des lits supplémentaires. Des besoins croissants “On a besoin d’une structure hospitalière digne de ce nom. On est 55.000 habitants de Papara à Hitia’a o te ra et la population vieillit”, rappelle Henri Loquet, médecin généraliste depuis une quarantaine d’années à Taravao. “On a de plus en plus de patients pour lesquels on a besoin d’un rapport avec l’hôpital, car la population a de plus en plus de problèmes de santé avec des maladies chroniques, cardiovasculaires et des cancers. Ce suivi se fait souvent avec le Taaone, car l’hôpital de Taravao n’est pas doté de certains moyens, comme un scanner. Ça permettrait de désengorger le CHPF et les cliniques en ville”, poursuit Marania Penanhoat, médecin généraliste de 34 ans. L’hôpital de Taravao a enregistré une augmentation des activités de l’ordre de 30% en un an. Malgré des améliorations apportées ces dernières années (unité de chimiothérapie, hélistation, centre de santé et de prévention, dépôt de sang, travaux de rénovation), une partie des locaux reste vétuste, les ressources humaines sont à flux tendu et certains services manquent toujours à l’appel. Unique gynécologue du secteur depuis 2006, Laurent Bonnamy continue de dresser le même constat : “On a de plus en plus de population et de demandes pour accoucher à la Presqu’île. En théorie, on a aujourd’hui à peu près 1.200 accouchements par an à prévoir. Les patientes ont de plus en plus de soucis à se rendre dans les lieux d’accouchement centralisés en ville. Depuis une bonne quinzaine d’années, je signale aux autorités ce phénomène. On avait même fait une pétition avec 1.000 patientes... Je pense qu’on arrive vraiment à un point de rupture et de saturation. Le moment est venu de prendre la décision d’avoir une structure dédiée à Taravao”. “Ne pas perdre de temps” La communauté de communes Terehēamanu (Papara, Teva i Uta, Taiarapu-Est, Taiarapu-Ouest et Hitia’a o te Ra) se mobilise aux côtés des médecins. “Le développement de la Presqu’île ne peut pas se faire sans la création d’un nouvel hôpital”, défend son président, Tearii Alpha. “Nous nous sommes déjà réunis avec les élus, les professionnels de santé et la directrice de l’hôpital, et nous allons nous réunir à nouveau pour aboutir à un projet écrit qui sera présenté au Pays et à l’État, pour les convaincre qu’ils ne sont pas tout seuls (...). Il ne faut pas perdre de temps, car avant d’inaugurer un hôpital, il peut se passer une décennie ! Le nouveau Schéma d’organisation sanitaire est attendu, mais il ne peut que conforter le projet d’hôpital à Taravao”, ajoute-t-il. Le représentant des communes du sud de Tahiti est favorable à une mutualisation des moyens publics et privés pour venir à bout de ce projet qui pourrait atteindre près de 30 milliards de francs. Une piste évoquée en décembre dernier par le ministre de la Santé en marge du conseil des ministres délocalisé à Taiarapu-Est, lors duquel le représentant du gouvernement avait annoncé un appel à manifestation d’intérêt au premier semestre 2025 pour préciser les contours de cette approche. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 7 mai 2025 - La Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, le 17 mai prochain, sera l’occasion de libérer la parole en Polynésie. Mais entre discriminations, violence sociale et lenteur politique, le chemin vers l’égalité reste semé d’embûches. Et ce, même si le Fenua reste pionnier en matière de soutien et de droits en faveur de la communauté LGBT dans le Pacifique. Créée en 2004 par le Comité IDAHO, la journée du 17 mai marque l’anniversaire du retrait de l’homosexualité de la liste des maladies mentales par l’Organisation mondiale de la santé, en 1990. Un rappel, chaque année, que les droits humains ne se négocient pas à l’aune des mœurs locales, et que l’égalité, y compris dans les endroits les plus reculées du globe, ne saurait rester un principe creux. En Polynésie, cette date s’inscrit dans un calendrier militant dense, porté notamment par l’association Cousins Cousines, en première ligne depuis deux décennies. Pour son président, Karel Luciani, la visibilité reste une arme. “C’est une journée nécessaire et essentielle. C’est un moment pour célébrer les avancées, mais aussi pour rappeler que la violence, les discriminations et la souffrance psychologique sont encore des réalités pour beaucoup.” Familles brisées, insultes scolaires et discrimination sociale Derrière les discours officiels sur la tolérance et l’ouverture culturelle, la réalité sociale tranche singulièrement. Homosexualité et transidentité pâtissent toujours d’une solide intolérance et sont encore, pour beaucoup, vécues dans la souffrance. “Il y a encore des ados frappés en classe parce qu’ils sont perçus comme efféminés”, souffle Karel Luciani. Dans les familles, les ruptures sont fréquentes. L’association SOS Suicide reçoit chaque année des appels de détresse liés au rejet. “Un quart des appels viennent de personnes LGBT. Une jeune trans s’est donné la mort il y a quelques semaines, rejetée par sa propre famille”, déplore-t-il. Des appels désespérés arrivent aussi sur la ligne d’écoute de l’association, ouverte 24h/24. “Parents, enfants, amis... On vous écoute”, invite l’activiste. Les violences ne se limitent pas à la sphère privée. Dans les centres de formation, dans les internats des collèges et lycées, certaines jeunes transgenres sont renvoyées à leur sexe administratif. “Tu es un homme sur le papier, donc tu portes l’uniforme des garçons. C’est ça, le discours. On appelle ça comment, si ce n’est de la transphobie institutionnelle ?” questionne, agacé, Karel Luciani. Même les dispositifs publics se font parfois les relais d’une norme discriminante. Un conformisme autoritaire, qui confine à l’exclusion, se manifeste trop souvent pour l’accès aux toilettes, ou aux vestiaires de sport. “On laisse ça à l’appréciation des responsables d’établissement. Certains comprennent, d’autres non. Et, au final, ce sont les jeunes qui décrochent.” Sur le plan législatif, le PACS, toujours non reconnu par le droit civil en Polynésie française, constitue un symbole criant d’inégalité juridique. “Des textes locaux prévoient des droits pour les personnes pacsées... mais on empêche les Polynésiens de se pacser ici. C’est une discrimination, purement et simplement.” ​Une vitrine progressiste qui peine à convaincre Et pourtant, le Pays ne ménage pas ses efforts pour afficher une image progressiste. En mars dernier, le gouvernement polynésien a nommé une ministre chargée des questions LGBT+, une première dans le Pacifique, y compris devant l’Australie et la Nouvelle-Zélande. “Symboliquement, c’est fort. Mais il faut que les actes suivent.” Car derrière les gestes symboliques, les reculs s’amoncellent. Le drapeau arc-en-ciel, hissé sur le fronton de la présidence en 2022 et 2023, pourrait ne pas flotter cette année. Plus grave encore : la politique sectorielle LGBT, actée en décembre 2023 par le conseil des ministres, restent aujourd’hui sans conséquence. Aucun budget, aucune mesure concrète, aucun calendrier. “Si ces textes restent dans les tiroirs, ça ne sert à rien”, tranche le militant, en saluant tout de même le courage du gouvernement qui a adopté ces textes, malgré des réticences souvent discrètes mais encore trop présentes dans le monde politique comme social. Dans l’avancée À l’approche du 17 mai, le constat est tout de même positif. “Oui, on a progressé depuis dix ou quinze ans”, confirme Karel Luciani. Pour l’association, la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie n’est pas seulement une célébration : c’est un appel, brut et politique, que pour dire que l’égalité reste un chantier. “Elle se construit, par la bienveillance, par le courage politique, et avec la société tout entière.” En 2026, la Polynésie accueillera la conférence régionale sur les droits humains. L’occasion, peut-être, de transformer enfin les discours en actes. Une série d’événements pour rendre visibles les fiertés, au-delà du 17 mai Si la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie est officiellement célébrée le 17 mai, les initiatives se déploient tout au long du mois, sur l’ensemble du territoire. Jusqu’au 28 mai, le Musée de Tahiti et des Îles accueille l’exposition Fier.e.s, signée Louise Michèle Cartouche. Une plongée sensible dans les identités queer d’Océanie. En écho, le documentaire Fier.e.s sera projeté le 21 mai à 18 heures, dans l’enceinte du musée. Le 17 mai, cap sur l’île sœur avec le Pirogue Pride Day, organisé par Moorea Explorer. Le 24 mai, le bar Le Malabar accueillera une soirée spéciale placée sous le signe de l’inclusion. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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Des appels désespérés arrivent aussi sur la ligne d’écoute de l’association, ouverte 24h/24. “Parents, enfants, amis... On vous écoute” , invite l’activiste. Les violences ne se limitent pas à la sphère privée. Dans les centres de formation, dans les internats des collèges et lycées, certaines jeunes transgenres sont renvoyées à leur sexe administratif. “Tu es un homme sur le papier, donc tu portes l’uniforme des garçons. C’est ça, le discours. On appelle ça comment, si ce n’est de la transphobie institutionnelle ?” questionne, agacé, Karel Luciani. Même les dispositifs publics se font parfois les relais d’une norme discriminante. Un conformisme autoritaire, qui confine à l’exclusion, se manifeste trop souvent pour l’accès aux toilettes, ou aux vestiaires de sport. “On laisse ça à l’appréciation des responsables d’établissement. Certains comprennent, d’autres non. Et, au final, ce sont les jeunes qui décrochent.” Sur le plan législatif, le PACS, toujours non reconnu par le droit civil en Polynésie française, constitue un symbole criant d’inégalité juridique. “Des textes locaux prévoient des droits pour les personnes pacsées... mais on empêche les Polynésiens de se pacser ici. C’est une discrimination, purement et simplement.” Et pourtant, le Pays ne ménage pas ses efforts pour afficher une image progressiste. En mars dernier, le gouvernement polynésien a nommé une ministre chargée des questions LGBT+, une première dans le Pacifique, y compris devant l’Australie et la Nouvelle-Zélande. “Symboliquement, c’est fort. Mais il faut que les actes suivent.” Car derrière les gestes symboliques, les reculs s’amoncellent. Le drapeau arc-en-ciel, hissé sur le fronton de la présidence en 2022 et 2023, pourrait ne pas flotter cette année. Plus grave encore : la politique sectorielle LGBT, actée en décembre 2023 par le conseil des ministres, restent aujourd’hui sans conséquence. Aucun budget, aucune mesure concrète, aucun calendrier. “Si ces textes restent dans les tiroirs, ça ne sert à rien” , tranche le militant, en saluant tout de même le courage du gouvernement qui a adopté ces textes, malgré des réticences souvent discrètes mais encore trop présentes dans le monde politique comme social. À l’approche du 17 mai, le constat est tout de même positif. “Oui, on a progressé depuis dix ou quinze ans” , confirme Karel Luciani. Pour l’association, la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie n’est pas seulement une célébration : c’est un appel, brut et politique, que pour dire que l’égalité reste un chantier. “Elle se construit, par la bienveillance, par le courage politique, et avec la société tout entière.” En 2026, la Polynésie accueillera la conférence régionale sur les droits humains. L’occasion, peut-être, de transformer enfin les discours en actes. Une série d’événements pour rendre visibles les fiertés, au-delà du 17 mai Si la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie est officiellement célébrée le 17 mai, les initiatives se déploient tout au long du mois, sur l’ensemble du territoire. Jusqu’au 28 mai, le Musée de Tahiti et des Îles accueille l’exposition Fier.e.s, signée Louise Michèle Cartouche. Une plongée sensible dans les identités queer d’Océanie. En écho, le documentaire Fier.e.s sera projeté le 21 mai à 18 heures, dans l’enceinte du musée. Le 17 mai, cap sur l’île sœur avec le Pirogue Pride Day, organisé par Moorea Explorer. Le 24 mai, le bar Le Malabar accueillera une soirée spéciale placée sous le signe de l’inclusion.",
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Car, outre son retour sur la scène internationale, la compétition s’est aussi agrandie en accueillant pour cette nouvelle édition, la catégorie féminine. “C’était important pour nous d’avoir les filles sur cette compétition”, justifie Max Wasna. “C’est une organisation plus complexe. Il faut trouver des price money supplémentaires. Mais il était hors de question de ne pas les avoir. D’une part car le surf est un sport mixte et les compétitions devraient toutes rassembler les hommes et les femmes. Mais aussi car ici, en Polynésie, nous avons des surfeuses extraordinaires qui ne demande qu’à s’exprimer. Et de les mettre dans le bain international était une évidence”, continue le président de la FTS. Des paroles qui font écho à une véritable génération dorée. Des filles en or Emmenée par leur figure de proue, Vahine Fierro qui bataille depuis cette année sur le Champion Tour, la plus haute division mondiale du surf, nos hine suivent l’exemple de leur ainée et démontrent à chaque compétition, nationale ou internationale, que la Polynésie regorge de talents. Et la Toa Pro n’a pas dérogé à la règle. Sur les 27 filles inscrites, 13 étaient Tahitiennes. Sept d’entre elles se sont hissées en quart de finale, cinq en demie finale et quatre en finale. Une fierté pour le cadre technique de la fédération, Kevin Bourez : “On est très contents et très fiers d’avoir intégré les filles sur cette étape. C’était pour elles l’occasion de se montrer et de performer. Quand on voit le classement, elles ont réussi le défi. C’est notre volonté de les faire progresser au niveau national, puis à l’international. C’est dans la continuité.” Certaines de ces surfeuses tahitiennes font même partie du projet “Héritage” mis en place en commun par la fédération française de surf et la FTS. Un projet qui permettra à nos pépites d’avoir les meilleures conditions d’entrainements pour progresser. Un constat flagrant lorsque l’on voit en demi-finale, Alean Vaast, Takihei Ellacot, Kohai Fierro, Tya Zebrowski et Kiara Goold rider les superbes vagues de Taharu’u avec autant d’aisance et de facilité. Elles ont donné du fil à retordre aux trois Hawaiiennes restantes. Et ensemble, elles ont réussi à qualifier trois d’entre elles pour la finale contre une Hawaiienne. Pour cette dernière marche, la lutte a été acharnée. Tya zebrowski a pris très vite l’ascendant en surfant sa première vague à 7.25 points et sa troisième à 9.50 points. Des scores qui l’ont mise très vite à l’abri : “C’était ma stratégie de prendre beaucoup de vagues durant les dix premières minutes”, explique-t-elle. “J’ai réussi à prendre de bonnes vagues très vite avec un 6 et un 7 points et puis j’ai pris celle qui m’a permis d’avoir le 9. Après j’ai laissé passer pas mal de vagues pour que les copines puissent en profiter. C’était tellement génial de se retrouver à trois Polynésiennes sur la finale. Toute cette compétition a été réussie. Pouvoir faire un QS ici à Papara avec les filles et devant ma famille c’était simplement incroyable.” La toute nouvelle représentante sur le circuit WCS (deuxième division du surf mondial) a été flamboyante sur toute la semaine. De même que Aelan Vaast, qui, dans son sillage, est venue prendre la deuxième place de cette finale. Avec un surf propre et entreprenant, la cadette de la famille a éclaboussé de son talent tous les heat qu’elle a eu à faire. Avec un score de 14.05, elle a dominé la rivale hawaiienne, Skai Suitt, un peu seule sur les vagues (12.90). Pour finir : un immense bravo à la petite dernière de la délégation tahitienne, Kiara Goold qui, du haut de ses 14 ans, a tenu la dragée haute à toutes ses concurrentes pour finir à la quatrième place de la Toa Pro, avec 10.90 points. Kauli Vaast, incontestablement Chez les hommes, la concurrence était rude. Avec 72 inscrits, en majorité des Hawaiiens, nos ‘aito ont su tirer leur épingle du jeu pour franchir les étapes tout au long de la semaine. Dès les huitièmes de finales, les Hawaiiens avait pris l’avantage puisque 21 d’entre eux étaient toujours présents contres sept Polynésiens. Mais voilà : le nombre ne fait pas la qualité et dès les quarts de finale il restait nos deux incontournables leader, Kauli Vaast et Mihimana Braye qui n’ont jamais rien lâché jusqu’au dernier heat de la finale. Éliminant tour à tour les gros bras de la division comme Finn McGill ou Oliver Zietz, nos champions ont démontré une passion pour leur surf et une connaissance de la vague qui n’ont laissé aucune chance à leurs adversaires. En finale ils se retrouvaient donc logiquement tous deux en compagnie d’un des favoris de la compétition, Luke Swanson, et le tout jeune Maikai Burdine, qui inaugurait sa première finale sur un WQS. Au milieu des éléments déchainés de Taharu’u, c’est Kauli Vaast qui a su être patient et trouver les bonnes vagues pour l’emporter. Tout récemment revenu sur la région Tahiti/Hawaii, notre champion olympique a pris cette finale avec toujours autant de plaisir. “Je me suis vraiment amusé ici à la maison durant toute la compétition”, a-t-il expliqué à l’issue de la compétition. “C’est un tel plaisir de surfer ces vagues et de partager ça avec les copains et la famille que ça nous pousse à donner le meilleur de nous-mêmes. Aujourd’hui il fallait être patient car les bonnes vagues n’étaient pas tout le temps au rendez-vous. Pendant la finale, je sentais que j’allais pouvoir surfer la bonne vague. J’ai attendu et elle est arrivée. C’était une droite en plus, une super opportunité pour être dans les meilleures conditions. Je l’ai prise et j’ai tout donné pour bien la surfer.” Une vague qui lui a valu la note de 9.25. Cumulé avec un 8.90, Kauli remporte cette Toa Pro sur le magnifique score de 18.15. Dans sa trace, Mihimana Braye a, lui aussi, porté haut les couleurs du Fenua. Avec un surf offensif, il a pris un maximum de vagues et rares sont celles qu’il n’a pas réussi à dompter. Longtemps en pole position durant ce heat, notre surfeur tahitien a réussi à totaliser 16 points. Un score parfait qui montre encore une fois la bonne santé du surf polynésien. Grace à ses résultats, nos surfeurs et surfeuses lancent leur saison de la plus belle des manières et montrent à leurs concurrents qu’il faudra compter sur eux pour cette saison. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
      • "content": "Tahiti, le 10 mai 2025 - La Toa Pro surf, de retour sur le circuit mondial, a été un véritable succès. Autant dans l’organisation qui a été menée de la plus belle des manières par la FTS et ses partenaires, qu’au niveau des résultats sportifs ou deux Polynésiens sont montés sur la plus haute marche des podiums. Kauli Vaast chez les hommes et Tya Zebrowski chez les femmes ont porté haut les couleurs du Fenua. Sans oublier les autres, véritable vitrine de la puissance du surf polynésien. C’était un sacré challenge que la Fédération tahitienne de surf (FTS) a mené avec brio. Dynamisé par ses trois figures de proue, Max Wasna, Gael Vaast et Kevin Bourez, et accompagné par tous ses partenaires, la Toa Pro de Papara a retrouvé ses lettres de noblesse. Elle les a même fait briller. Car, outre son retour sur la scène internationale, la compétition s’est aussi agrandie en accueillant pour cette nouvelle édition, la catégorie féminine. “C’était important pour nous d’avoir les filles sur cette compétition”, justifie Max Wasna. “ C’est une organisation plus complexe. Il faut trouver des price money supplémentaires. Mais il était hors de question de ne pas les avoir. D’une part car le surf est un sport mixte et les compétitions devraient toutes rassembler les hommes et les femmes. Mais aussi car ici, en Polynésie, nous avons des surfeuses extraordinaires qui ne demande qu’à s’exprimer. Et de les mettre dans le bain international était une évidence”, continue le président de la FTS. Des paroles qui font écho à une véritable génération dorée. Des filles en or Emmenée par leur figure de proue, Vahine Fierro qui bataille depuis cette année sur le Champion Tour, la plus haute division mondiale du surf, nos hine suivent l’exemple de leur ainée et démontrent à chaque compétition, nationale ou internationale, que la Polynésie regorge de talents. Et la Toa Pro n’a pas dérogé à la règle. Sur les 27 filles inscrites, 13 étaient Tahitiennes. Sept d’entre elles se sont hissées en quart de finale, cinq en demie finale et quatre en finale. Une fierté pour le cadre technique de la fédération, Kevin Bourez : “On est très contents et très fiers d’avoir intégré les filles sur cette étape. C’était pour elles l’occasion de se montrer et de performer. Quand on voit le classement, elles ont réussi le défi. C’est notre volonté de les faire progresser au niveau national, puis à l’international. C’est dans la continuité.” Certaines de ces surfeuses tahitiennes font même partie du projet “Héritage” mis en place en commun par la fédération française de surf et la FTS. Un projet qui permettra à nos pépites d’avoir les meilleures conditions d’entrainements pour progresser. Un constat flagrant lorsque l’on voit en demi-finale, Alean Vaast, Takihei Ellacot, Kohai Fierro, Tya Zebrowski et Kiara Goold rider les superbes vagues de Taharu’u avec autant d’aisance et de facilité. Elles ont donné du fil à retordre aux trois Hawaiiennes restantes. Et ensemble, elles ont réussi à qualifier trois d’entre elles pour la finale contre une Hawaiienne. Pour cette dernière marche, la lutte a été acharnée. Tya zebrowski a pris très vite l’ascendant en surfant sa première vague à 7.25 points et sa troisième à 9.50 points. 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Avec un score de 14.05, elle a dominé la rivale hawaiienne, Skai Suitt, un peu seule sur les vagues (12.90). Pour finir : un immense bravo à la petite dernière de la délégation tahitienne, Kiara Goold qui, du haut de ses 14 ans, a tenu la dragée haute à toutes ses concurrentes pour finir à la quatrième place de la Toa Pro, avec 10.90 points. Kauli Vaast, incontestablement Chez les hommes, la concurrence était rude. Avec 72 inscrits, en majorité des Hawaiiens, nos ‘aito ont su tirer leur épingle du jeu pour franchir les étapes tout au long de la semaine. Dès les huitièmes de finales, les Hawaiiens avait pris l’avantage puisque 21 d’entre eux étaient toujours présents contres sept Polynésiens. Mais voilà : le nombre ne fait pas la qualité et dès les quarts de finale il restait nos deux incontournables leader, Kauli Vaast et Mihimana Braye qui n’ont jamais rien lâché jusqu’au dernier heat de la finale. 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Aujourd’hui il fallait être patient car les bonnes vagues n’étaient pas tout le temps au rendez-vous. Pendant la finale, je sentais que j’allais pouvoir surfer la bonne vague. J’ai attendu et elle est arrivée. C’était une droite en plus, une super opportunité pour être dans les meilleures conditions. Je l’ai prise et j’ai tout donné pour bien la surfer.” Une vague qui lui a valu la note de 9.25. Cumulé avec un 8.90, Kauli remporte cette Toa Pro sur le magnifique score de 18.15. Dans sa trace, Mihimana Braye a, lui aussi, porté haut les couleurs du Fenua. Avec un surf offensif, il a pris un maximum de vagues et rares sont celles qu’il n’a pas réussi à dompter. Longtemps en pole position durant ce heat, notre surfeur tahitien a réussi à totaliser 16 points. Un score parfait qui montre encore une fois la bonne santé du surf polynésien. 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      • "description": "Tahiti le 11 mai 2025. Cinq pêcheurs, qui avaient passé 55 jours à la dérive en mer, sont arrivés samedi dans un port des îles Galápagos après avoir été secourus par un thonier, a annoncé la marine équatorienne sur X. Les trois Péruviens et les deux Colombiens étaient portés disparus depuis la mi-mars et ont été retrouvés le 7 mai par un bateau équatorien, l'Aldo. Vladimir González, 32 ans, José Albines, 52 ans, José Gabriel Albines, 31 ans, et Jhonny García Jorge Ugarte, 40 ans, sont arrivés à la base navale de San Cristobal dans la matinée et leur état de santé était stable, a indiqué la marine. Les pêcheurs avaient signalé des dommages à l'alternateur du bateau deux jours après avoir appareillé de la baie de Pucusana, au sud de Lima, la capitale du Pérou, a indiqué la marine dans un autre message vendredi. La marine a indiqué qu'elle coordonnait ses efforts avec les autorités locales et étrangères pour assurer leur retour sain et sauf dans leurs pays respectifs. La marine équatorienne a transporté les cinq pêcheurs disparus en mer pendant 55 jours vers sa base des îles Galápagos. Plus tôt cette année, un autre pêcheur péruvien, Máximo Napa, 61 ans, a passé 95 jours seul en mer. Il a également été secouru par un navire équatorien et est rentré à Lima mi-mars pour retrouver sa famille. Napa a déclaré aux médias locaux avoir survécu à cette épreuve en mangeant des cafards, des oiseaux et des tortues, selon l'Agence France-Presse. Plusieurs sauvetages spectaculaires ont eu lieu en mer. En octobre, le Russe Mikhaïl Pitchouguine a été secouru après avoir passé plus de deux mois à la dérive dans un petit canot pneumatique, buvant de l'eau de pluie dans la mer d'Okhotsk, au large des côtes russes. Son frère et son neveu sont morts en mer et il a attaché leurs corps au bateau pour éviter qu'ils ne soient emportés par les eaux. En 2023, le marin australien Tim Shaddock a survécu plus de deux mois en mer avec sa chienne, Bella. Ils naviguaient du Mexique vers la Polynésie française, a raconté l'homme de 51 ans, lorsqu'une mer agitée a endommagé leur bateau et son système électronique, les laissant à la dérive et coupés du monde. Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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      • "description": "Tahiti, le 11 mai 2025 - Superbe spectacle, samedi soir, à Papara, où dix jeunes de la commune ont donné le meilleur d’eux-mêmes sur scène face à un public survolté. Ambiance survoltée, ce samedi soir, sous le grand chapiteau de Hotu Maru, où plusieurs centaines de spectateurs ont assisté à l’élection de Miss et Mister Papara 2025 sur le thème “Te mana o te here”. Après plusieurs semaines de préparation, les dix candidats ont impressionné les huit membres du jury présidé par Steeve Liu, directeur du comité Mister Tahiti, notamment accompagné de Herehia Sanford, Miss Heiva 2024, et de Karl Chung Tan, Mister Tahiti 2024. Avec le soutien de la commune et de nombreux sponsors, le comité Heiva Rau i Papara a proposé un spectacle de qualité pour célébrer le retour du concours après six années d’absence. Le show chorégraphié avec sons, lumières et effets pyrotechniques, porté par deux animatrices de charme et d’humour, était à la hauteur des plus grandes élections. ​Quatre passages Les jeunes étaient visiblement heureux d’être sur scène. Après un premier passage en tenue de ville électrisant, le spectacle est allé crescendo avec un deuxième défilé en tenues végétales, pour lesquelles les créateurs ont rivalisé de talents autour du cocotier. Les candidats ont mis en valeur leurs racines polynésiennes, accompagnés par Teiho Tetoofa et son orchestre. Des lauréates de l’élection depuis 1992 sont venues soutenir la relève avant de passer au troisième passage en maillot de bain, qui a achevé de mettre l’ambiance... entre fun et élégance ! La troupe et les écoles de danse de Papara ont été mises à l’honneur, laissant le temps aux candidats de se préparer pour leur quatrième et dernier passage en tenue de soirée, précédé d’un ‘aparima composé pour l'occasion. La proclamation tant attendue des résultats s’est tenue après les traditionnelles questions orales aux candidats. L’émotion était au rendez-vous pour la nouvelle Miss Papara, Teumere Shan, 20 ans, à la recherche d’un emploi dans le secteur du tourisme : “J’aimerais remercier le comité et ma famille. J’encourage tous les jeunes à croire en eux et en leurs rêves !”, nous a confié la jeune femme, qui succède à Nauriki Dury, Miss Papara 2019. Roane Atu, lycéen de 18 ans élu Mister Papara, avait les mêmes étoiles dans les yeux : “J’espérais gagner, mais ça a été un choc quand j’ai entendu mon nom. C’était une belle aventure avec tous les candidats et le public”. ​Les résultats Miss Papara 2025 : Teumere Shan 1ère dauphine : Samcyale Mahai 2ème dauphine : Maggy Dury Miss Heiva : Waitea Lucas 1ère dauphine Heiva : Kahealani Peretia Mister Papara 2025 : Roane Atu 1er challenger : Kahea Teihotaata 2ème challenger : Hiva Appriou Mister Heiva : Manoa Foucaud Brander 1er challenger Heiva : Ariitea Tepa Meilleur costume : Roane Atu Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti",
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